C'est pas vraiment un "je m'en veux", mais plutôt un "j'ai du mal à me positionner".
En gros, un pote (que je connais depuis des années, mais dont je ne suis pas forcément proche) m'a dit quelque chose l'autre soir qui m'a beaucoup choquée (une critique très vive des couples de femmes qui ont recours à la PMA). Sur le coup, ça m'a tellement écoeurée que je n'ai pas répondu. Je sais que lui et moi avons des opinions et valeurs éloignées, qui viennent du fait qu'on a un grand écart d'âge. Il n'est pas très progressiste, et autant jusque là j'argumentais, autant là ça m'a juste séchée.
Et donc ça doit faire une, deux semaines ? Et je n'ai toujours pas répondu. Il m'a relancée, plusieurs fois, et je n'ai absolument pas envie de donner d'explications (on n'était pas très proches après tout), pas la foi de me lancer dans un débat. Et en même temps je m'en veux un peu d'agir ainsi, même si d'un côté je trouve que j'ai de bonnes raisons (ce n'est pas la première fois que je trouve ses propos limites). Mais il y a des choses pour lesquelles je n'ai plus aucune tolérance ni patience, et l'homophobie et le sexisme en font partie.
Bref je ne sais pas trop comment appréhender ça, d'un côté je me dis que je m'en fous, de l'autre ça me gêne de couper les ponts de manière si abrupte (mais je SAIS qu'il n'entendra pas mon avis de toute façon, que mes explications seront vaines).
En gros, un pote (que je connais depuis des années, mais dont je ne suis pas forcément proche) m'a dit quelque chose l'autre soir qui m'a beaucoup choquée (une critique très vive des couples de femmes qui ont recours à la PMA). Sur le coup, ça m'a tellement écoeurée que je n'ai pas répondu. Je sais que lui et moi avons des opinions et valeurs éloignées, qui viennent du fait qu'on a un grand écart d'âge. Il n'est pas très progressiste, et autant jusque là j'argumentais, autant là ça m'a juste séchée.
Et donc ça doit faire une, deux semaines ? Et je n'ai toujours pas répondu. Il m'a relancée, plusieurs fois, et je n'ai absolument pas envie de donner d'explications (on n'était pas très proches après tout), pas la foi de me lancer dans un débat. Et en même temps je m'en veux un peu d'agir ainsi, même si d'un côté je trouve que j'ai de bonnes raisons (ce n'est pas la première fois que je trouve ses propos limites). Mais il y a des choses pour lesquelles je n'ai plus aucune tolérance ni patience, et l'homophobie et le sexisme en font partie.
Bref je ne sais pas trop comment appréhender ça, d'un côté je me dis que je m'en fous, de l'autre ça me gêne de couper les ponts de manière si abrupte (mais je SAIS qu'il n'entendra pas mon avis de toute façon, que mes explications seront vaines).