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Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
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@Esturgeon
Tout va très bien ici, avec ou sans covid
Et je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas
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Et je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas 
@Esturgeon
Je m'inscruste, mais pour continuer à éclaircir un peu le tableau global :
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D
Deerdra
Guest
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@Prouk Je suis dans le même cas que ton pote et je comprends ton point de vue (et le sien aussi du coup). J'ai essayé une première fois de passer à une alimentation végétarienne il y a 5 ans. C'était un désastre parce que je faisais n'importe quoi, je ne savais pas par quoi remplacer la viande et le poisson, donc je mangeais toujours les mêmes plats (beaucoup de féculents et de verdure), et malgré de grosses assiettes j'ai perdu du poids et me sentais faible...
À l'époque, j'avais trouvé un blog (je crois d'Antigone XXL) où elle donnait des conseils aux apprentis végétariens/vegans en concluant sur : "ce n'est pas normal d'avoir faim/de se sentir faible après un repas vegan. Si c'est le cas, c'est que tu ne fais pas les choses comme il faut." Ça m'avait fait réaliser qu'effectivement je ne m'étais pas assez renseignée, que même dans le cadre d'une alimentation omnivore je n'avais jamais appris à manger de manière équilibrée etc... Donc j'ai recommencé à consommer des produits animaux mais en me disant que j'allais m'informer sur le sujet, apprendre à cuisiner, et que j'y reviendrai en douceur lorsque je serai prête.
Entre 2018 et 2020 environ, j'ai eu une alimentation quasi exclusivement végétarienne (exceptionnellement du poisson quand je n'avais pas le choix, par exemple à la cantine de mon travail) et de plus en plus axée vers le véganisme. J'avais pris l'habitude de suivre des Youtubeurs vegans proposant des recettes équilibrées et gourmandes, j'avais lu sur le sujet, je tentais de nouvelles choses... Et j'ai passé du temps avec des personnes veganes depuis des années, dont les talents culinaires me faisaient rêver !
Et puis fin 2020, soit il y a presque un an, alors que mon alimentation était à 80 % végétale, je suis revenue presque du jour au lendemain aux produits animaux. J'avais des petits soucis de santé, je me sentais faible et fatiguée au quotidien, et la motivation pour "tout cuisiner" (car difficile de trouver des similis dans ma région de l'époque) a eu raison de moi, quand je pouvais faire un sandwich fromage/charcuterie et ressentir ce coup de boost, d'énergie "rapide" qui me manquait. Et puis surtout, j'ai commencé à mal digérer les légumineuses sous toutes leurs formes, malgré l'ajout de bicarbonate dans l'eau de cuisson, etc... Aujourd'hui, je mange de la viande environ une fois par semaine, du poisson un peu plus souvent, et j'ai l'impression d'avoit (re)trouvé un équilibre. Je pense parfois à cette conclusion d'Antigone et maintenant j'ai un point de vue plus mitigé dessus. D'un côté, je suis bien d'accord que trop souvent, on se lance dans le végétarianisme avec enthousiasme, sans trop s'informer et on attribue les manques nées de nos erreurs à une alimentation qui ne nous convient pas. Cependant, je pense aussi que tout le monde n'a pas les mêmes "ressources" physiques pour s'adapter à une alimentation végétarienne ou végane, que ce soit au niveau du système digestif, des intolérances, ou des besoins nutritifs. De ce fait, l'idée selon laquelle "si ça ne marches pas c'est que tu fais mal les choses" je n'y crois plus totalement.
(J'ai bien compris que ce n'était pas ce que tu disais ici, d'ailleurs, ton message a juste fait écho à mes réflexions du moment
)
À l'époque, j'avais trouvé un blog (je crois d'Antigone XXL) où elle donnait des conseils aux apprentis végétariens/vegans en concluant sur : "ce n'est pas normal d'avoir faim/de se sentir faible après un repas vegan. Si c'est le cas, c'est que tu ne fais pas les choses comme il faut." Ça m'avait fait réaliser qu'effectivement je ne m'étais pas assez renseignée, que même dans le cadre d'une alimentation omnivore je n'avais jamais appris à manger de manière équilibrée etc... Donc j'ai recommencé à consommer des produits animaux mais en me disant que j'allais m'informer sur le sujet, apprendre à cuisiner, et que j'y reviendrai en douceur lorsque je serai prête.
Entre 2018 et 2020 environ, j'ai eu une alimentation quasi exclusivement végétarienne (exceptionnellement du poisson quand je n'avais pas le choix, par exemple à la cantine de mon travail) et de plus en plus axée vers le véganisme. J'avais pris l'habitude de suivre des Youtubeurs vegans proposant des recettes équilibrées et gourmandes, j'avais lu sur le sujet, je tentais de nouvelles choses... Et j'ai passé du temps avec des personnes veganes depuis des années, dont les talents culinaires me faisaient rêver !
Et puis fin 2020, soit il y a presque un an, alors que mon alimentation était à 80 % végétale, je suis revenue presque du jour au lendemain aux produits animaux. J'avais des petits soucis de santé, je me sentais faible et fatiguée au quotidien, et la motivation pour "tout cuisiner" (car difficile de trouver des similis dans ma région de l'époque) a eu raison de moi, quand je pouvais faire un sandwich fromage/charcuterie et ressentir ce coup de boost, d'énergie "rapide" qui me manquait. Et puis surtout, j'ai commencé à mal digérer les légumineuses sous toutes leurs formes, malgré l'ajout de bicarbonate dans l'eau de cuisson, etc... Aujourd'hui, je mange de la viande environ une fois par semaine, du poisson un peu plus souvent, et j'ai l'impression d'avoit (re)trouvé un équilibre. Je pense parfois à cette conclusion d'Antigone et maintenant j'ai un point de vue plus mitigé dessus. D'un côté, je suis bien d'accord que trop souvent, on se lance dans le végétarianisme avec enthousiasme, sans trop s'informer et on attribue les manques nées de nos erreurs à une alimentation qui ne nous convient pas. Cependant, je pense aussi que tout le monde n'a pas les mêmes "ressources" physiques pour s'adapter à une alimentation végétarienne ou végane, que ce soit au niveau du système digestif, des intolérances, ou des besoins nutritifs. De ce fait, l'idée selon laquelle "si ça ne marches pas c'est que tu fais mal les choses" je n'y crois plus totalement.
(J'ai bien compris que ce n'était pas ce que tu disais ici, d'ailleurs, ton message a juste fait écho à mes réflexions du moment
)
@Prouk Je te comprends. Moi aussi je m'en veux de penser ça. Pas parce que je me dis "il a qu'à se renseigner" mais car moi-même, je suis végétarienne depuis des années, je cherche pas particulièrement à manger équilibré: je ne mange quasi jamais de légumineuse, je ne met rien pour remplacer ma viande la plupart du temps (je mange juste + des autres ingrédients)... et j'ai toujours été en superforme. Donc je me dis plus ou moins consciemment que ces gens s'inventent des excuses.
Et c'est pas cool de remettre en doute la parole de quelqu'un
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M
Membre supprimé 205317
Guest
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@Potiron j'avoue que dans ton exemple je trouve ça plutôt amusant mais si c'est tt le temps ça peut-être un peu pénible 
Je m'en veux de penser ça puisque ce n'est pas leur apporter le soutien nécessaire à leur situation, mais je n'en peux plus des histoires de mes amies en couple ou amourachées de mecs médiocres ou juste complètement cons.
Je suis patiente parce-que je les aime (mes amies, pas leurs parasites) mais je n'arrive plus à filtrer ce qui sort de ma bouche quand elles ne font que me parler de leurs comportements de merdeux indignes du temps qu'elles leur consacrent. Je trouve incroyable la facilité de ces personnes à retourner une situation provoquées par personne d'autre qu'elles-mêmes à leur avantage, à faire passer leur compagne pour des connasses ou des meufs méchantes parce-qu'elles ont eu l'outrecuidance de se rebiffer un peu.
Maintenant elles m'en parlent moins, l'une m'a dit "je sais que ça va encore t'énerver" évidemment que ça m'exaspère, je ne vais pas te sortir les cotillons alors que c'est chaque fois la même chose.
Je serai toujours là pour elles quoiqu'il arrive, mais non effectivement, il ne faut pas compter sur des mots doux et rassurants, parce-que la situation ne changera jamais tant qu'elles se contenteront d'être avec des abrutis avec une décence de pédalo.
Je suis patiente parce-que je les aime (mes amies, pas leurs parasites) mais je n'arrive plus à filtrer ce qui sort de ma bouche quand elles ne font que me parler de leurs comportements de merdeux indignes du temps qu'elles leur consacrent. Je trouve incroyable la facilité de ces personnes à retourner une situation provoquées par personne d'autre qu'elles-mêmes à leur avantage, à faire passer leur compagne pour des connasses ou des meufs méchantes parce-qu'elles ont eu l'outrecuidance de se rebiffer un peu.
Maintenant elles m'en parlent moins, l'une m'a dit "je sais que ça va encore t'énerver" évidemment que ça m'exaspère, je ne vais pas te sortir les cotillons alors que c'est chaque fois la même chose.
Je serai toujours là pour elles quoiqu'il arrive, mais non effectivement, il ne faut pas compter sur des mots doux et rassurants, parce-que la situation ne changera jamais tant qu'elles se contenteront d'être avec des abrutis avec une décence de pédalo.
@RainyMood C'est déjà fait (aux trois !) mais je n'ai pas peut-être pas mis assez de décibels dans ma voix, c'est vrai. On a passé une étape quand j'ai clairement signifié que je refusais de les voir si les mecs en question étaient là.
Je me dis après tout que si elles continuent de m'en parler autant c'est qu'elles ont peut-être envie de m'entendre persifler sur ces imbéciles. Je ne comprends pas qu'on puisse être aussi intelligente, brillante, curieuse et drôle et se contenter de se coltiner des simpsons.
Je me dis après tout que si elles continuent de m'en parler autant c'est qu'elles ont peut-être envie de m'entendre persifler sur ces imbéciles. Je ne comprends pas qu'on puisse être aussi intelligente, brillante, curieuse et drôle et se contenter de se coltiner des simpsons.
@RainyMood Elles sont complètement dans ce schéma malheureusement, l'une d'elle préfère ça à être seule (ça a été dit texto). Très bien, mais dans ces cas là je ne peux pas être le bureau des plaintes à chaque fois que l'on se parle.
J'ai été dans une relation pourrie qui a été compliquée à quitter (minute vieille, les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés); je comprends que la dynamique est difficile à quitter a fortiori lorsque la relation dure depuis des années ou qu'il y a un gros rapport de force (voire de la manipulation mais je ne vais pas m'aventurer sur ce terrain). D'un point de vue extérieur, je me rends compte à quel point c'est frustrant de voir les gens se faner pour des personnes qui ne méritent pas toute cette énergie perdue. J'ai eu des mots très durs à l'égard de ces mecs devant elles, je pense sincèrement qu'elles savent très bien ce dans quoi elles sont, ce qui me tue c'est leur défaitisme "je n'y peux rien je suis amoureuse" "mais parfois on rigole bien" "mais il m'a envoyé un sms l'autre jour pour me souhaiter bon courage" "le cul est génial" eh bien top alors.
J'ai été dans une relation pourrie qui a été compliquée à quitter (minute vieille, les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés); je comprends que la dynamique est difficile à quitter a fortiori lorsque la relation dure depuis des années ou qu'il y a un gros rapport de force (voire de la manipulation mais je ne vais pas m'aventurer sur ce terrain). D'un point de vue extérieur, je me rends compte à quel point c'est frustrant de voir les gens se faner pour des personnes qui ne méritent pas toute cette énergie perdue. J'ai eu des mots très durs à l'égard de ces mecs devant elles, je pense sincèrement qu'elles savent très bien ce dans quoi elles sont, ce qui me tue c'est leur défaitisme "je n'y peux rien je suis amoureuse" "mais parfois on rigole bien" "mais il m'a envoyé un sms l'autre jour pour me souhaiter bon courage" "le cul est génial" eh bien top alors.
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