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Membre supprimé 177132
Guest
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Je m'en veux de penser ça mais...
- Initiateur de la discussion Ipsie
- Date de début
Tu considères qu'on est "périmées" à quel âge exactement ? Et ta definition d'une "vieille peau", c'est quoi ?
Je ne sais pas si tu te rends compte de la violence que tu t'infliges à toi-même (et par ricochet, à celles qui te lisent). Pour les jeunes filles (et les moins jeunes) qui lisent en sous-marin, je veux vraiment dire que ce mode de pensée est tout a fait néfaste.
Quand je lis ca je me demande "mais alors pour elle je dois etre une vieille peau périmée ! Elle doit sans doute avoir pitié de moi !" Alors ne t'inquiète pas, on peut vieillir très bien, assumer ses rides et etre bien dans ses baskets (ou ses escarpins, ou ses docs) après 40 ans, et même 50 et même 60.
Je rejoins ce que dit @CCCC au sujet de tes propos @Mimicollo.
Tu dis :
mais aussi
ce qui paraît extrêmement dévalorisant à ton égard en fait.
Peut-être te places-tu, dans ta formulation, à la place des normes induites par la société qui considère que les femmes de plus de 35 ans ont perdu de leur valeur (valeur elle-même calculée selon un système irrationnel, sexiste, violent infondé) et que le modèle pour "réussir" c'est d'avoir une voiture, un enfant et un travail fixe à partir d'un certain âge.
Or tu as l'air de ne pas correspondre à ce modèle que tu valorises - dans tes mots - pourtant.
C'est violent à ton égard. C'est aussi violent/jugeant à lire pour les personnes qui sont dans ta situation et qui ont, j'imagine, déjà subi beaucoup d'injonctions de la société à se conformer à ce qui paraît être les seules normes de réussite. Spoiler : non. Ce ne sont pas les dénominateurs communs de la réussite. Ce ne sont même pas la réussite.
Sans te suggérer quoi que ce soit de déplacer quant à l'image que tu peux avoir de toi-même, je t'invite quand même à te figurer que certaines personnes ont plus de 35 ans, pas de voiture, pas d'enfant, pas de couple, pas de travail fixe et connaissent tout autant le succès que des personnes qui ont toutes ces choses (j'exclus ici la partie succès matériel parce qu'il faut bien avouer qu'un travail fixe permet mine de rien de vivre ce qui est un beau succès déjà).
Je pense qu'il faut arrêter de lire toute la vie de quelqu'un au travers d'une part de ses choix, a fortiori de ses possessions matérielles et d'autre part d'essayer d'en conclure une forme de succès. La définition universelle du succès n'existe pas et aucun des facteurs susmentionnés ne peuvent rendre quelqu'un heureux ou se sentir comme ayant du succès dès lors que ce ne sont pas des choses qu'iels désirent.
Le poids des mots est important pour sortir de ces représentations injonctives.
Je te souhaite - si ce n'est pas déjà le cas, encore une fois, je ne fais qu'interpréter des mots et si ça se trouve je lis de travers- et à celles qui s'identifient aussi à tes propos, de vous détacher - plus facile à dire qu'à faire - de ces injonctions qui, souvent, n'ont pas beaucoup de sens au niveau individuel.
Tu dis :
mais aussi
ce qui paraît extrêmement dévalorisant à ton égard en fait.
Peut-être te places-tu, dans ta formulation, à la place des normes induites par la société qui considère que les femmes de plus de 35 ans ont perdu de leur valeur (valeur elle-même calculée selon un système irrationnel, sexiste, violent infondé) et que le modèle pour "réussir" c'est d'avoir une voiture, un enfant et un travail fixe à partir d'un certain âge.
Or tu as l'air de ne pas correspondre à ce modèle que tu valorises - dans tes mots - pourtant.
C'est violent à ton égard. C'est aussi violent/jugeant à lire pour les personnes qui sont dans ta situation et qui ont, j'imagine, déjà subi beaucoup d'injonctions de la société à se conformer à ce qui paraît être les seules normes de réussite. Spoiler : non. Ce ne sont pas les dénominateurs communs de la réussite. Ce ne sont même pas la réussite.
Sans te suggérer quoi que ce soit de déplacer quant à l'image que tu peux avoir de toi-même, je t'invite quand même à te figurer que certaines personnes ont plus de 35 ans, pas de voiture, pas d'enfant, pas de couple, pas de travail fixe et connaissent tout autant le succès que des personnes qui ont toutes ces choses (j'exclus ici la partie succès matériel parce qu'il faut bien avouer qu'un travail fixe permet mine de rien de vivre ce qui est un beau succès déjà).
Je pense qu'il faut arrêter de lire toute la vie de quelqu'un au travers d'une part de ses choix, a fortiori de ses possessions matérielles et d'autre part d'essayer d'en conclure une forme de succès. La définition universelle du succès n'existe pas et aucun des facteurs susmentionnés ne peuvent rendre quelqu'un heureux ou se sentir comme ayant du succès dès lors que ce ne sont pas des choses qu'iels désirent.
Le poids des mots est important pour sortir de ces représentations injonctives.
Je te souhaite - si ce n'est pas déjà le cas, encore une fois, je ne fais qu'interpréter des mots et si ça se trouve je lis de travers- et à celles qui s'identifient aussi à tes propos, de vous détacher - plus facile à dire qu'à faire - de ces injonctions qui, souvent, n'ont pas beaucoup de sens au niveau individuel.
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Membre supprimé 334599
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@Ben&nuts c'est drôle mon conjoint me parlait justement de certains collègues qui étaient juste vides ou abrutis. Par ex deux collègues qui parlent que de cul et des femmes qu'ils aimeraient b**ser.
Aucune personnalité j ai connu quand je faisais du ménage dans une entreprise informatique, une des salariées ne parlait QUE de biens qu'elle avait acheté. C'est tout.
Aucune personnalité j ai connu quand je faisais du ménage dans une entreprise informatique, une des salariées ne parlait QUE de biens qu'elle avait acheté. C'est tout.
M
Membre supprimé 177132
Guest
@Ben&nuts : au moins, ils ont moins de raison de s'inquiéter par rapport à d'autres. 
Tu leur parles de réchauffement climatique, guerres, etc ... ça leur fait rien du tout. Comme on dit "ignorance is bliss"
Tu leur parles de réchauffement climatique, guerres, etc ... ça leur fait rien du tout. Comme on dit "ignorance is bliss"
Oh, dans le genre personnalité vide, mon mec s'était intéressé à une femme typiquement dans les canons de beauté qui lui tournait autour (un an avant que lui et moi on se mette ensemble), il avait jamais vu une personnalité aussi creuse : elle n'avait aucune passion, aucun loisir à part regarder la télé-réalité, ses sujets de conversation n'étaient jamais creusés...
Le seul point où ils auraient pu s'intéresser à la même chose était leur intérêt pour la mode, elle voulait absolument voir un défilé en Angleterre... mais en dix ans c'est resté au stade de projet
en un mois il a estimé avoir fait le tour et stoppé leur relation là
Le seul point où ils auraient pu s'intéresser à la même chose était leur intérêt pour la mode, elle voulait absolument voir un défilé en Angleterre... mais en dix ans c'est resté au stade de projet
en un mois il a estimé avoir fait le tour et stoppé leur relation là
M
Membre supprimé 334599
Guest
comme les autres madz, tu as raison de t'inquiéter pour ton amie. Sa relation est très déséquilibrée, avec un mec à la fois toxique et sexiste. Le pompom étant le polyamour mais dans son sens, genre il veut bien que sa t eub aille voir deux c hattes comme dans les films porno, mais pas l'inverse ? et le pire serai que ce soit polyamour mais QUE pour lui, genre lui aurai le droit de toucher, mais pas elle. Ca craint sévère!!! du coup ca rejoint @Ripley.
Mon compagnon et moi somme non exclusif pour autant, j'apprécierai moyen (voire pas du tout) de croise au détour d'un coin de rue mon mec bras dessus bras dessous ou pire bras autour de la taille avec une autre meuf ou un autre mec (l'est bi).
Il y a des gestes/mots/attitude que je veux pas qu'il ai avec d'autres que moi. Yep, c'est totalement lié à mes propres incertitude/trauma/schéma d'abandon and CO mais c'est comme ça.
On en a discuté, on s'est mis d'accord. S'il n'avait pas été OK avec mes limites, on serait parti sur de l'exclusivité, tant pis.
Bref, sans savoir si ce couple est au clair avec lui même, on ne peut rien déduire.
Il y a des gestes/mots/attitude que je veux pas qu'il ai avec d'autres que moi. Yep, c'est totalement lié à mes propres incertitude/trauma/schéma d'abandon and CO mais c'est comme ça.
On en a discuté, on s'est mis d'accord. S'il n'avait pas été OK avec mes limites, on serait parti sur de l'exclusivité, tant pis.
Bref, sans savoir si ce couple est au clair avec lui même, on ne peut rien déduire.
doudouillitsa
Mes élégances, c'est moralement que je les ai.
@RainyMood Je ne dis pas ce que je vais dire pour être désagréable. D'ailleurs, quand j'ai lu ton message, je ne me suis pas DU TOUT dit que tu étais chiante et que tu exagérais : sans connaître la situation, je trouve cette histoire plutôt louche, enfin si j'étais à ta place je serais un peu méfiante. Par contre, ton amie a tout à fait le droit de ne pas vouloir être prise par la taille si elle n'en a pas envie. C'est un truc que j'ai parfois du mal à faire comprendre à mes amis les plus proches : je les aime énormément, ce sont des personnes essentielles à ma vie, mais, parfois, je n'ai pas envie de contact physique (parfois j'adore ça, sans vraiment d'explication), et ça devrait être respecté. Même si la raison de ton amie te paraît idiote, c'est elle qui décide. Vraiment, je n'ai aucune intention de te faire de peine ou quoi, je pense juste que c'est important de faire ce rappel. Bon courage, j'espère que ça va aller pour elle comme pour toi !
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