Pour apporter un autre point de vue sur le fait de se fixer des objectifs en termes d'années, mon copain est un peu comme ça! Il a besoin de se fixer une feuille de route pour les années à venir, du genre "atteindre tel niveau de compétence dans 5 ans", "devenir un praticien reconnu dans 10 ans", "être père dans 7 ans", etc. Dans les faits, il s'y tient rarement, il n'est pas rigide dessus, parce qu'il ne s'agit pas tellement d'une question de réalisation personnelle (enfin si, mais cet aspect est accessoire). En fait, c'est surtout pour se rassurer dans le présent, qu'il a besoin de savoir où il va dans le futur, et comment il va y parvenir. Pour celles qui connaissent un peu le MBTI, ce fonctionnement est associé aux INFP (et on peut le généraliser aux I**P, je pense). Il me disait aussi que s'il ne faisait pas ça, s'il se trouvait privé d'objectifs à atteindre, ça générait des angoisses terribles, parce que ça signifiait en fait que son avenir était compromis.
Plus largement, cette discussion fait écho à un ressenti que j'ai éprouvé récemment en regardant Un gars, une fille. Cette série est sortie quand j'avais dans les 10/12 ans, et à l'époque c'était eux les "grands". Ils nous donnaient un aperçu du genre de vie qu'on pourrait avoir une fois adultes (boulot, couple, appartement, vie à deux dans une grande ville etc.). Et en regardant quelques épisodes il y a deux jours, j'ai réalisé qu'à 32 et 25 ans, mon copain et moi on est dans la même tranche d'âge qu'eux quand ils ont tourné la série, et ça m'a mis une sacrée claque
Parce que jusqu'à présent, je les percevais encore comme quand j'étais ado, comme si je n'avais pas grandi et qu'ils étaient toujours plus "adultes" que moi. Finalement, ça désacralise complètement la "barrière" des 25-30 ans telle que je me la représentais quand j'avais 12 ans, parce qu'à certains égards, la vie qu'on mène avec mon copain, est assez éloignée de celle que j'imaginais à l'époque, en regardant Un gars une fille...
Plus largement, cette discussion fait écho à un ressenti que j'ai éprouvé récemment en regardant Un gars, une fille. Cette série est sortie quand j'avais dans les 10/12 ans, et à l'époque c'était eux les "grands". Ils nous donnaient un aperçu du genre de vie qu'on pourrait avoir une fois adultes (boulot, couple, appartement, vie à deux dans une grande ville etc.). Et en regardant quelques épisodes il y a deux jours, j'ai réalisé qu'à 32 et 25 ans, mon copain et moi on est dans la même tranche d'âge qu'eux quand ils ont tourné la série, et ça m'a mis une sacrée claque

Parce que jusqu'à présent, je les percevais encore comme quand j'étais ado, comme si je n'avais pas grandi et qu'ils étaient toujours plus "adultes" que moi. Finalement, ça désacralise complètement la "barrière" des 25-30 ans telle que je me la représentais quand j'avais 12 ans, parce qu'à certains égards, la vie qu'on mène avec mon copain, est assez éloignée de celle que j'imaginais à l'époque, en regardant Un gars une fille...
) mais pas du tout avec la partie que j'ai mise en gras...
J'ai vraiment l'impression qu'on est très (trop ?) laxiste envers les violeurs. Il faut savoir que les peines en dessous de deux ans ne sont pas appliquées, qu'il y a des réductions de peine qui peuvent diminuer de moitié le temps passé en prison etc. Je trouve ça tellement irrespectueux envers les victimes.
(en vrai c'est parce que je connais un peu l'envers du décor et que j'en ai un peu marre qu'on plaigne plus les pauvres criminels que leurs victimes).

)
?
), puisque mon rêve (et objectif vu que j'entame des études pour le réaliser cette année) est d'être journaliste culture, soit le combo ultime, le cliché des clichés
)
