@LadyStardust Merci pour tes réponses (et d'y avoir passer du temps) ! 

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himeshann;4824745 a dit :Je ne comprends pas les gens qui croient savoir comment je vis à cause de mon physique et de ma manière d'être, et qui sont choqués quand je vais à contre-courant de leurs idées.



cyanea;4825393 a dit :C'est très étrange parce que ce soir je me suis fait une réflexion qui se rapprochait de tes propos.shinypony;4825381 a dit :Je ne comprends pas pourquoi la mort est connotée si négativement.
J'étais au volant de ma voiture, et je me disais que j'avais augmenté de manière exponentielle ma probabilité de décéder. Mais qu'en fait, dans l'absolu, je n'ai pas peur de la mort.
C'est chiant parce que ça veut dire que je n'aurai plus de contacts avec mes proches, qu'ils vont être tristes (enfin... j'espère![]()
, que je ne passerai plus de bons moments avec eux. Mais c'est tout. Je ne raisonne pas en me disant "j'aurais aimé faire ci, faire ça, si seulement j'avais pu faire ça, dire tel truc à machin", parce que ma vie me convient totalement et que j'estime que je n'ai aucun regret.
Et puis ça me permettrait de savoir ce qu'il y a derrière. Si jamais il y a une vie après la mort, ça peut être une expérience intéressante. Sinon, il ne se passe rien et c'est pas grave, ce sera juste fini. Rien de bien flippant, je trouve. Je suis plus effrayée par la souffrance physique que par la mort en elle-même.
Mais je vous jure que je suis saine d'esprit et que je n'ai pas d'idées suicidaires![]()
)higreq;4825469 a dit :pinceau_;4825410 a dit :Ton post me donne envie de rebondir sur un autre sujet un peu lié : je ne comprends pas pourquoi de nombreux ado vivent mal le divorce de leurs parents.
Je dis "ado" car pour des enfants, bon, je peux comprendre qu'ils n'aient pas la maturité suffisante pour penser ce que je vais dire ensuite.
C'est dur de répondre à cette question sans tomber dans le récit de sa propre vie et de sa propre expérience, mais ton post m'a un peu interpellée.
Ce qu'il y a de dur dans le divorce de ses parents, ce n'est pas tant le divorce en lui-même, le fait que ses parents ne s'aiment plus et ne sont pas heureux ensemble est normalement bien présente à l'esprit depuis un moment au moment du divorce. Mais un divorce ça a quand même une conséquence non-négligeable : la destruction du foyer. La notion de foyer, de "chez soi", de l'endroit où on se retrouve le soir avec "les siens" est quand même, à mes yeux en tout cas, assez important dans la construction d'un individu, d'autant plus à l'adolescence quand on a besoin de repères, et c'est tout ça qui disparait avec un divorce.

) d'une femme qui disait qu'elle aimait davantage son mari que ses enfants, puisqu'ils se sont connus avant, et que ses enfants découlent de l'amour entre elle et son mari.
) et puis, du point de vue des représentations, c'était quelque chose de positif. En revanche, cette volonté de lui coller à tout prix l'étiquette de personnage 100% lesbien, j'avais pas trouvé ça très pertinent. Parce que c'était vraiment faire table rase de tout ce qu'il y avait avant, alors que ses précédentes amours n'en étaient pas moins sincères et authentiques. Donc si les questions du type "si mon père est gay, a-t-il vraiment aimé ma mère?" reflètent une angoisse légitime, il faut aussi garder à l'esprit que la réalité n'est peut-être pas aussi clivée.
enfin je suppose.