@LoveSalander Le problème c'est que quand on se sent concerné, on n'a pas envie de minimiser.
Ce n'est pas irrespectueux de dire qu'en achetant une brique de lait, on paye quelqu'un qui passe le couteau sur la gorge d'un veau de quelques mois, qui n'a jamais goûter le lait de sa mère, a passé des semaines dans une cage sans pouvoir bouger. C'est juste un fait, il n'y a pas de mots assez dur pour exprimer la souffrance et la détresse derrière ça.
Et on peut faire ce descriptif de toute production animale. Le mythe de la petite ferme des animaux heureux jusqu'à leur doux abattage, ça n'existe pas, la logique économique est bien trop écrasante pour ça.
Donc oui y a des commentaires durs, mais malheureusement ce n'est pas parce que c'est cruel que ça n'existe pas.
Personnellement j'essaye d'être modérée, parce que de mon côté j'ai l'impression que de décrire la froide réalité comme elle est crée plutôt un sentiment de rejet (comme toi tu en as un à la lecture de certains com), plutôt que de faire avancer les mentalités.
Mais je comprend très bien qu'on parle de génocide, un peu moins qu'on parle de viol (parce qu'on ne force pas un taureau sur une vache, c'est que de l'artificiel, c'est un peu différent, sans être plus moral hein), mais je comprend ces mots durs, parce que derrière les petites sensibilités individuelles blessées par ces mots... ce sont des MILLIONS d'animaux exécutés chaque jours pour le plaisir gustatif. Nausée.
Ce n'est pas irrespectueux de dire qu'en achetant une brique de lait, on paye quelqu'un qui passe le couteau sur la gorge d'un veau de quelques mois, qui n'a jamais goûter le lait de sa mère, a passé des semaines dans une cage sans pouvoir bouger. C'est juste un fait, il n'y a pas de mots assez dur pour exprimer la souffrance et la détresse derrière ça.
Et on peut faire ce descriptif de toute production animale. Le mythe de la petite ferme des animaux heureux jusqu'à leur doux abattage, ça n'existe pas, la logique économique est bien trop écrasante pour ça.
Donc oui y a des commentaires durs, mais malheureusement ce n'est pas parce que c'est cruel que ça n'existe pas.
Personnellement j'essaye d'être modérée, parce que de mon côté j'ai l'impression que de décrire la froide réalité comme elle est crée plutôt un sentiment de rejet (comme toi tu en as un à la lecture de certains com), plutôt que de faire avancer les mentalités.
Mais je comprend très bien qu'on parle de génocide, un peu moins qu'on parle de viol (parce qu'on ne force pas un taureau sur une vache, c'est que de l'artificiel, c'est un peu différent, sans être plus moral hein), mais je comprend ces mots durs, parce que derrière les petites sensibilités individuelles blessées par ces mots... ce sont des MILLIONS d'animaux exécutés chaque jours pour le plaisir gustatif. Nausée.