@hawley @khalea : Mais en fait justement, j'ai pas envie d'arrêter, j'aurais l'impression de perdre quelque chose qui m'apporte des sensations uniques et hyper importantes. En fait quand j'y pense, je trouve presque ça plus flippant qu'autre chose de voir l'amour que je voue aux effets de l'alcool J'ai pas besoin d'alcool pour entretenir des relations avec des gens que j'aime et que je connais bien. Avec les gens qui me connaissent bien, je délire, je me lâche, je dis des trucs choquants sans langue de bois parce que je sais que ça ne sera pas mal interprété, je m'amuse à être un peu reloue, je chante... Tout ça, tout ces moments dans lesquels je me débride même si c'est subtile, c'est d'ailleurs les symptômes d'une grande amitié
Mais pour découvrir des personnes, je passe assez souvent par l'alcool. Une entrevue alcoolisée m'aide à créer une complicité avec quelqu'un, à dépasser le quotidien, à varier les sujets de conversation... L'alcool (quand il monte ! Parce que souvent, quand j'arrive quelque part avec une très mauvaise impression et une hyper mauvaise volonté, je peux boire des verres et des verres et garder totalement le contrôle) me met à l'aise avec les personnes que je connais peu, et je ne suis pas sûre que ça changera avec l'âge ou le contexte (mais bon, Inch'allah ). J'ai parfois tendance à m'ennuyer ou à ne pas avoir envie de small-talker avec les gens que je connais peu, et quand on boit, je trouve qu'il y a moyen d'échapper à tout ça. Et vraiment, par rapport aux mecs, c'est fou comme ça m'aide à me sentir à l'aise et à rentrer dans la séduction -si on peut appeler ça comme ça (mais là c'est le point qui me fait le plus chier : ça me soule () d'avoir besoin de boire pour ça).
Et pour en revenir à mes amis, l'alcool m'ouvre aussi de nouveaux horizons. C'est pas que j'ai besoin de l'alcool pour être complice avec mes potes, c'est qu'avec de l'alcool dans le sang on explore une autre facette de notre amitié. Boire ensemble c'est convivial, ne serait-ce que le geste de trinquer pour une pinte, ça rassemble quoi, et partager l'état d'ébriété avec les autres, c'est bête à dire mais je trouve que c'est aussi un peu une expérience privilégiée. Mais ça peut aussi totalement isoler, quand des gens picolent et que tu n'es pas du tout dans cette optique-là. D'ailleurs j'ai beaucoup de mal à être avec des gens bourrés quand moi je suis sobre, et je fais tout pour que ça arrive le moins souvent
J'aimerais tester, juste pour essayer, de faire la fête sans boire. Mais ce rapport de « dépendance » à l'alcool est un peu vicieux parce que même si j'en suis consciente j'ai aucune envie d'y remédier. Et puis finalement je crois que c'est un peu symptomatique de la jeunesse actuelle, et pour le coup, en observant autour de moi, j'ai pas l'impression d'être un cas isolé Et puis ça ne touche pas que les jeunes... De toute façon je sais bien qu'on cherche tous des échappatoires ou des occasions de se sentir appartenir à un groupe. Pour certains c'est la drogue, pour d'autres c'est le sport, d'autres s'évadent via leur art, beaucoup s'échappent via l'alcool... Certaines voies sont plus saines que d'autres, mais du moment que je peux m'échapper, ça me va quand même pour l'instant
Pas citer svp.
Mais pour découvrir des personnes, je passe assez souvent par l'alcool. Une entrevue alcoolisée m'aide à créer une complicité avec quelqu'un, à dépasser le quotidien, à varier les sujets de conversation... L'alcool (quand il monte ! Parce que souvent, quand j'arrive quelque part avec une très mauvaise impression et une hyper mauvaise volonté, je peux boire des verres et des verres et garder totalement le contrôle) me met à l'aise avec les personnes que je connais peu, et je ne suis pas sûre que ça changera avec l'âge ou le contexte (mais bon, Inch'allah ). J'ai parfois tendance à m'ennuyer ou à ne pas avoir envie de small-talker avec les gens que je connais peu, et quand on boit, je trouve qu'il y a moyen d'échapper à tout ça. Et vraiment, par rapport aux mecs, c'est fou comme ça m'aide à me sentir à l'aise et à rentrer dans la séduction -si on peut appeler ça comme ça (mais là c'est le point qui me fait le plus chier : ça me soule () d'avoir besoin de boire pour ça).
Et pour en revenir à mes amis, l'alcool m'ouvre aussi de nouveaux horizons. C'est pas que j'ai besoin de l'alcool pour être complice avec mes potes, c'est qu'avec de l'alcool dans le sang on explore une autre facette de notre amitié. Boire ensemble c'est convivial, ne serait-ce que le geste de trinquer pour une pinte, ça rassemble quoi, et partager l'état d'ébriété avec les autres, c'est bête à dire mais je trouve que c'est aussi un peu une expérience privilégiée. Mais ça peut aussi totalement isoler, quand des gens picolent et que tu n'es pas du tout dans cette optique-là. D'ailleurs j'ai beaucoup de mal à être avec des gens bourrés quand moi je suis sobre, et je fais tout pour que ça arrive le moins souvent
J'aimerais tester, juste pour essayer, de faire la fête sans boire. Mais ce rapport de « dépendance » à l'alcool est un peu vicieux parce que même si j'en suis consciente j'ai aucune envie d'y remédier. Et puis finalement je crois que c'est un peu symptomatique de la jeunesse actuelle, et pour le coup, en observant autour de moi, j'ai pas l'impression d'être un cas isolé Et puis ça ne touche pas que les jeunes... De toute façon je sais bien qu'on cherche tous des échappatoires ou des occasions de se sentir appartenir à un groupe. Pour certains c'est la drogue, pour d'autres c'est le sport, d'autres s'évadent via leur art, beaucoup s'échappent via l'alcool... Certaines voies sont plus saines que d'autres, mais du moment que je peux m'échapper, ça me va quand même pour l'instant
Pas citer svp.
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