Je ne supporte pas...

[Glouns]

Je ne supporte pas les hommes politiques qui prennent les journalistes à parti dans les interviews. Tout à l'heure au JT de France 2, NKM a posé une question rhétorique à Pujadas, du style: "mais M. Pujadas, le soleil est jaune, n'est-ce pas ? Oui, il l'est." (Je me rappelle plus de la question donc j'ai remplacé par une question débile mais c'était le genre de questions où tu ne peux répondre que oui).
Je crois que c'est Sarkozy qui est champion du monde de prise à parti du journaliste "mais Mme Ferrari blablabla....mais M. Pujadas blablabla" et c'est depuis sa présidence qu'on entend de plus en plus les politiques utiliser ce genre de formules.
Si j'étais journaliste et qu'on me prenait à parti comme ça, je crois que j'aurais bien du mal à ne pas répliquer un truc (surtout si on me prend à parti pour dire un truc faux/qui ne correspond pas à mes opinions).

Sinon toujours dans la veine journalistique, je ne supporte pas qu'on abuse du présent de narration. Ponctuellement, sur certains phrases, ça va, mais tout le temps, je trouve ça insupportable. Dans les reportages historiques etc, c'est normal et c'est un effet de style qui vise à rendre le récit plus vivant. Mais alors dans les interviews du style: "quand vous mettez le bulletin dans l'urne, qu'est-ce que vous ressentez ?" "au moment où je mets le bulletin dans l'urne, je me dis que tout est possible."
En fait je pense que ce que je n'aime pas c'est qu'on utilise le présent de narration dans les questions, ce qui induit la plupart du temps une réponse utilisant le présent de narration. Bref.

 

[The Frog]

Organiser un petit truc dans ma chambre de 9m² avec deux amis, et que quelqu'un veuille absolument se rajouter alors que... Il n'y a pas de places !!! -_- alors bon je passe pour la méchante qui dit "non tu viens pas"...

 

[Mitchie]

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[Let's.do.it.]

Je ne supporte pas :
- les gosses qui pleurent au supermarché/dans le bus et que les parents ne font rien pour essayer d'arranger la situation,ils les laissent faire
/ les gens qui ne finissent pas leur phrases en pensant que la fin et la signification de ce qu'ils ont voulu dire est assez explicite
/ les gens trop en retard qui ne s'excusent même pas
/ les gens qui ne comprennent pas comment on peut être aussi franc ( la sincérité serait mal vue de nos jours )

 

[Nettle]

Je ne supporte plus mon égoïsme/égocentrisme.

 

[Pseudo Déjà Pris]

... La mentalité compétitive de ma fac.

C'est tellement "chacun pour sa gueule" alors qu'on devrait se soutenir, s'entraider. Surtout dans ma promo où on va se retrouver tous dans la même galère: "diplôme en poche mais pas de boulot à la clé".

 

[Gros-Câlin]

Je ne supporte pas de voir ma mère aussi mal, de la voir souffrir autant.
De la voir si petite, si fragile, si faible. De la voir craquer, perdre espoir.
C'est tellement dur, je ne supporte pas.

 

[Pseudo Déjà Pris]

Gros-Câlin, je te souhaite plein plein de courage

Ma mère est également dans cette situation, je comprends le mal que ça peut faire.

 

[leina-2]

Je ne supporte pas les gens qui confondent maux de tête et migraine. Les gens qui me disent avoir eux aussi des migraines alors qu'ils ont des maux de tête occasionnels, douloureux certes mais rien à voir avec une migraine qui te cloue au lit 2 jours et qui se soigne avec des triptans.
Le pire étant que du coup ils comprennent pas que cette maladie m'handicape, pour eux un mal de tête c'est chiant mais supportable. et j'ai l'impression qu'on me prend parfois pour une flemmarde et une petite nature parce que je rate des cours à la fac, comme si mes migraines étaient juste des excuses pour me la couler douce.

Enfin voila, je ne supporte pas les migraines, je ne supporte pas de me sentir "enchainée" à cause de ça, incomprise, de devoir faire attention à ne pas être trop fatiguée, pas faire trop de sport, pas rester trop sur l'ordinateur.. Et puis devenir totalement débile quand j'en ai une, en étant incapable d'avoir un dialogue avec qui que ce soit.
Culpabiliser parce que je dois annuler des rendez vous, des sorties, parce que je vois rarement mon copain et qu'une migraine ça me bouffe du temps à passer ensemble.

 

[Chouette-Culotte]

Les filles qui profitent d'une soirée déguisée pour se la jouer super sexy.

J'ai été récemment invitée à une soirée pyjama entre potes : je précise que personne ne venait là pour draguer, il n'y avait que des couples ou des amis de longue date. Certaines filles ont joué le jeu avec des vrais pyjamas rigolos (c'était le but) et d'autres se sont ramenées avec des nuisettes satinées noires, au ras des fesses et supra décolletées et/ou transparentes, avec la dentelle, les petits noeuds et tout le tralala.

Chacun fait ce qu'il veut, mais pour moi le but d'une soirée déguisée c'est justement de ne pas se mettre la pression au niveau des vêtements et c'est aussi l'occasion de rigoler, de faire de l'auto-dérision, de ne pas se prendre au sérieux.

Quand même une soirée déguisée a pour but de montrer tes seins et tes fesses au maximum et de prouver que dans n'importe quelle situation tu es premier degré à mort, je trouve ça un peu nul. Je suis par ailleurs la première à mettre des vêtements courts dans la vie de tous les jours ou dans les soirées "classiques", mais là, je trouvais vraiment ça hors sujet.

Ton post m'a rappelé cette scène de "lolita malgré moi" où le personnage joué par Lindsay Lohan est l'un des rares à avoir un vrai costume d'Halloween qui fait peur alors que les autres filles sont habillées en chaudasses.

 

[Rhapsody]

Ton post m'a rappelé cette scène de "lolita malgré moi" où le personnage joué par Lindsay Lohan est l'un des rares à avoir un vrai costume d'Halloween qui fait peur alors que les autres filles sont habillées en chaudasses.

 

[Pipistrelle.]

Dans les débats un peu virulents sur le forum, je ne supporte pas quand des filles défendent leur point de vue en arguant que de toutes façons on ne les connait pas et qu'on ne peut pas les juger. J'ai envie de leur répondre qu'elles ne sont pas jugées personnellement, mais sur les propos qu'elles tiennent, et que :

1. C'est la règle du jeu quand on rend une opinion publique
2. Il faut assumer ce qu'on dit
3. S'il faut connaitre toute leur biographie pour se permettre d'échanger avec elles, il vaut mieux qu'elles se mettent face à un miroir pour débattre.