@Iris Chase
Pour en rajouter sur la manière dont on considère le métier de prof : je regardais pour des VSI (Volontariats de Solidarité Internationale) et limite, les seules missions où tu pouvais candidater sans avoir +10 ans d'expérience dans ta branche et le diplôme qui va bien (d'ingénieur ou ingénieuse en logistique, infirmier·e, médecin, architecte spécialisé·e en constructions bois....), c'était pour enseigner.
Là, c'est adressé à des personnes en situation de précarité/échec professionnel ou que sais-je qui ont le droit à une formation (3, 6 ou 9 jours, je ne sais plus, un multiple de trois) et vont ensuite enseigner le FLE en Indonésie ou aux Philippines.
Ah, bas ça fait plaisir de voir comment on considère une formation à bac+5 accessible sur concours (bon, je crois qu'il n y a pas de CAPES/agrégation de FLE, mais on voit l'idée).
Après, je souscris en partie à cette vision, bien malgré moi je dois dire.
J'ai eu des camarades qui ont réussi les concours brillamment et qui ne sont absolument pas taillé·es pour enseigner. Et a contrario, des étudiant·es très médiocres qui font de super profs (parce qu'iels sont plutôt fainéant·es. mais ont le contact facile (et franchement, ça vaut son pesant d'or)).
Pour en rajouter sur la manière dont on considère le métier de prof : je regardais pour des VSI (Volontariats de Solidarité Internationale) et limite, les seules missions où tu pouvais candidater sans avoir +10 ans d'expérience dans ta branche et le diplôme qui va bien (d'ingénieur ou ingénieuse en logistique, infirmier·e, médecin, architecte spécialisé·e en constructions bois....), c'était pour enseigner.
Là, c'est adressé à des personnes en situation de précarité/échec professionnel ou que sais-je qui ont le droit à une formation (3, 6 ou 9 jours, je ne sais plus, un multiple de trois) et vont ensuite enseigner le FLE en Indonésie ou aux Philippines.

Ah, bas ça fait plaisir de voir comment on considère une formation à bac+5 accessible sur concours (bon, je crois qu'il n y a pas de CAPES/agrégation de FLE, mais on voit l'idée).

Après, je souscris en partie à cette vision, bien malgré moi je dois dire.
J'ai eu des camarades qui ont réussi les concours brillamment et qui ne sont absolument pas taillé·es pour enseigner. Et a contrario, des étudiant·es très médiocres qui font de super profs (parce qu'iels sont plutôt fainéant·es. mais ont le contact facile (et franchement, ça vaut son pesant d'or)).