J’ai envie d’ajouter à mon message précédent que oui, je comprends ce que ça peut entraîner comme déprime d’être +/- privé.e de ses ami.e.s et de ses loisirs et d’avoir l’impression qu’en dehors du taf et des courses tu n’as plus le droit de rien faire.
Pourtant, il y a contrariété, et santé mentale. Et de constat personnel, celleux qui en chouinent le plus, ce sont les personnes les moins à plaindre dans ce domaine, simplement des gens fêtards. Or, s’il est bien plus dur de grapiller des points de santé mentale, il est relativement facile de trouver du plaisir ailleurs que dans les sorties et les fêtes, pour peu qu’on aménage le temps autrement, chez soi, plutôt que dehors. Les gens qui vont mal, qui se trouvent plus isolé.e.s par les mesures, c’est dramatique et je ne parlais pas d’elleux dans mon post. Pour les autres, il y a du plaisir. Et quand bien même on en a un peu moins ces temps-ci, il se passe des choses plus graves que votre verre d’alcool que vous ne boirez pas ou les câlins à vos potes que vous ne ferez pas. Des gens meurent, iels auraient bien aimé que vous voyiez moins vos potes pour ne pas se retrouver intubé.e. Je comprends pas leur sens des priorités.