Je ne supporte pas...
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
Cette discussion sur la santé mentale et l'épanouissement au travail me fait penser à cet article, que j'ai trouvé très intéressant. On traite les gens comme des malades alors que le problème se situe du côté du travail (et de la façon dont notre société le perçoit).
De toute façon tout ça c'est la faute du capitalisme, et c'est pas parce que je l'écris en petit que je le pense pas.
De toute façon tout ça c'est la faute du capitalisme, et c'est pas parce que je l'écris en petit que je le pense pas.
@zaytoun
Ça me fait penser à ces nombreuses familles dysfonctionnelles, ou il y a énormément de souffrance, peu de respect de l'enfant. Et au lieu que le parent remette ses actions en question et essaye de changer une situation délétère... On envoie l'enfant chez le psy, comme si c'était lui le problème
(Non non ça ne sent pas du tout le vécu
)
Ça me fait penser à ces nombreuses familles dysfonctionnelles, ou il y a énormément de souffrance, peu de respect de l'enfant. Et au lieu que le parent remette ses actions en question et essaye de changer une situation délétère... On envoie l'enfant chez le psy, comme si c'était lui le problème
(Non non ça ne sent pas du tout le vécu
)
J'ai mis 3 semaines pour le débarrasser totalement de la laryngite de Noël, et il ne m'aura fallu que deux semaines pour retomber malade 
Sinon je partage votre vision sur le travail. En fait plus ça va plus ça me rend triste de voir que le travail définit la vie des gens à 90%. T'es même pas encore adulte qu'on t'impose un choix de carrière et tu dois t'y tenir sinon tu passes pour un paumé.
La dernière fois je discutais de ça avec une collègue et j'ai trouvé ça très triste de l'entendre me dire qu'il "faut travailler". Elle n'a pas réussi à me donner des arguments, pour elle c'est comme ça et puis c'est tout, et puis " tous ces feinéants qui profitent des aides".
Elle m'a fait penser à un robot
Et je pense notamment à mon copain qui souffre de ne pas savoir où travailler, de ne pas savoir comment s'orienter à ce niveau. Est-ce qu'il doit reprendre une formation, est-ce qu'il vaut mieux faire un petit taff pour avoir de l'argent et avoir plein d'activités à côté mais vivoter parce qu'on ne gagné pas grand chose? Est-ce qu'on doit forcément avoir un avenir tout tracé à ce sujet?
Sinon je partage votre vision sur le travail. En fait plus ça va plus ça me rend triste de voir que le travail définit la vie des gens à 90%. T'es même pas encore adulte qu'on t'impose un choix de carrière et tu dois t'y tenir sinon tu passes pour un paumé.
La dernière fois je discutais de ça avec une collègue et j'ai trouvé ça très triste de l'entendre me dire qu'il "faut travailler". Elle n'a pas réussi à me donner des arguments, pour elle c'est comme ça et puis c'est tout, et puis " tous ces feinéants qui profitent des aides".
Elle m'a fait penser à un robot
Et je pense notamment à mon copain qui souffre de ne pas savoir où travailler, de ne pas savoir comment s'orienter à ce niveau. Est-ce qu'il doit reprendre une formation, est-ce qu'il vaut mieux faire un petit taff pour avoir de l'argent et avoir plein d'activités à côté mais vivoter parce qu'on ne gagné pas grand chose? Est-ce qu'on doit forcément avoir un avenir tout tracé à ce sujet?
@DovahKinder @Illyria Moi j'ai un avis complètement opposé au vôtre en ce qui concerne le travail 
Je trouve ça génial que des gens s'investissent dans leur travail à fond ! C'est que ce je ferai moi aussi. Déjà petite, je me disais que je travaillerai toute la semaine + le samedi matin ! Bon ça je ne sais pas si je m'y tiendrai, mais en tout cas, j'ai bien l'intention de beaucoup travailler. J'adore mes études, j'adore ce métier, j'espère bien que j'aurais envie d'y consacrer une très grosse partie de mon temps, sinon c'est 10 ans d'études à la poubelle 
Après, l'environnement familial joue aussi, je pense. Mes parents sont avocats, ils travaillent 50h par semaine, mais à côté de ça, ils partent en vacances 15 jours deux fois par an dans des endroits genre les Seychelles, Bali, les îles Grenadines, et pas dans des petits hôtels, ils partent en Corse trois semaines chaque été, et ils vont au ski à Val d'Isère une semaine par an. Moi je trouve que ça s'équilibre plutôt bien : work hard, play hard 
C'est ça que je veux pour moi : quand je travaille, travailler à fond ; mais quand je suis en vacances, pouvoir me payer ce que je veux et profiter de supers trucs, que je n'aurais pas si je travaillais moins dans l'année.
Après bien sûr chacun est différent, on n'a pas tous la même vision de la vie et du bonheur, et tant mieux
Et il est évident que c'est un raisonnement beaucoup plus difficile à avoir quand on n'aime pas son travail et qu'on n'a pas pu le choisir 
Pour ce qui est des "fainéants qui profitent des aides", je ne me pense pas assez au fait du système pour vraiment débattre...mais pour que ceux qui choisissent de ne pas travailler puissent faire ce choix, c'est quand même parce que d'autres travaillent, non ? Je veux bien qu'on m'explique si j'ai tort
(cet emoji fait très hypocrite, mais ce n'est évidemment pas mon but) Tout ce que je vois, c'est que mes parents bossent 50h par semaine pour faire rentrer 20.000€, pour qu'au final il ne leur en reste que 10.000 une fois qu'on leur a tout prélevé. Et ça me semble assez injuste...(surtout que c'est ce qui va m'arriver aussi)
Bref, je veux bien des éclaircissements sur la question, si vous en avez
Je trouve ça génial que des gens s'investissent dans leur travail à fond ! C'est que ce je ferai moi aussi. Déjà petite, je me disais que je travaillerai toute la semaine + le samedi matin ! Bon ça je ne sais pas si je m'y tiendrai, mais en tout cas, j'ai bien l'intention de beaucoup travailler. J'adore mes études, j'adore ce métier, j'espère bien que j'aurais envie d'y consacrer une très grosse partie de mon temps, sinon c'est 10 ans d'études à la poubelle Après, l'environnement familial joue aussi, je pense. Mes parents sont avocats, ils travaillent 50h par semaine, mais à côté de ça, ils partent en vacances 15 jours deux fois par an dans des endroits genre les Seychelles, Bali, les îles Grenadines, et pas dans des petits hôtels, ils partent en Corse trois semaines chaque été, et ils vont au ski à Val d'Isère une semaine par an. Moi je trouve que ça s'équilibre plutôt bien : work hard, play hard C'est ça que je veux pour moi : quand je travaille, travailler à fond ; mais quand je suis en vacances, pouvoir me payer ce que je veux et profiter de supers trucs, que je n'aurais pas si je travaillais moins dans l'année. Après bien sûr chacun est différent, on n'a pas tous la même vision de la vie et du bonheur, et tant mieux
Et il est évident que c'est un raisonnement beaucoup plus difficile à avoir quand on n'aime pas son travail et qu'on n'a pas pu le choisir Pour ce qui est des "fainéants qui profitent des aides", je ne me pense pas assez au fait du système pour vraiment débattre...mais pour que ceux qui choisissent de ne pas travailler puissent faire ce choix, c'est quand même parce que d'autres travaillent, non ? Je veux bien qu'on m'explique si j'ai tort
(cet emoji fait très hypocrite, mais ce n'est évidemment pas mon but) Tout ce que je vois, c'est que mes parents bossent 50h par semaine pour faire rentrer 20.000€, pour qu'au final il ne leur en reste que 10.000 une fois qu'on leur a tout prélevé. Et ça me semble assez injuste...(surtout que c'est ce qui va m'arriver aussi)Bref, je veux bien des éclaircissements sur la question, si vous en avez
@DovahKinder Je comprends tout à fait ton opinion, vraiment ça dépend des goûts et heureusement qu'on veut pas tous la même vie Cela dit je suis d'accord avec toi pour les horaires de bureau, ça ne me conviendrait pas non plus, vive le libéral ou l'hôpital !
@Tindolen Oooh moi aussi j'ai cru que c'était une blague le jour où j'ai appris pour les 35h Comme quoi la profession des parents joue beaucoup dans la vision du travail !
Cela dit je suis d'accord avec toi pour les horaires de bureau, ça ne me conviendrait pas non plus, vive le libéral ou l'hôpital !@Tindolen Oooh moi aussi j'ai cru que c'était une blague le jour où j'ai appris pour les 35h
Comme quoi la profession des parents joue beaucoup dans la vision du travail !
@Alpha Je n'ai rien contre les personnes qui aiment travailler, hein, moi-même j'aime travailler, ça me fait du bien et ça me permet d'avoir un rythme de vie/de voir du monde régulièrement.
Ce que je critiquais, c'est cette vision blessante des choses: quelqu'un qui ne travaille pas est un boulet pour la société/ne vaut rien. Parfois c'est pas si simple que ça, j'aurais aimé avoir choisi ma voie à 18 ans et ne pas en démordre, savoir ce que je voulais et tout faire pour l'avoir, mais ça n'a clairement pas été le cas. J'ai été paumée à ce niveau là depuis le lycée et je le suis toujours: tiraillée entre les études que j'aurais bien aimé faire/mes passions/la réalité du monde du travail/le loyer à payer.
Si je n'écoutais que moi, je vivrais avec pas grand chose par mois et j'écrirais, mais malheureusement, j'ai un loyer à payer et des factures aussi, et après le taff je n'ai plus le temps d'écrire.
Tout ça pour dire: ce n'est jamais aussi simple que de dire "il faut travailler parce que c'est comme ça". Que faisons-nous des gens qui n'ont pas la possibilité de travailler (handicapés, malades chroniques...) ou encore ceux qui n'ont pas les moyens de faire études (mes parents n'ont jamais pu m'aider, j'ai toujours du me débrouiller seule et ça a été très difficile, et quand j'ai essayé de reprendre des études il ya 5 ans en bossant à temps partiel à côté j'ai tout foiré...) les aides c'est bien mais ça ne permet pas de mener un bon train de vie, de pouvoir partir en vacances aux îles canaries tous les étés par exemple...
Qui plus est, toucher les aides ne se résume pas à "rester à la maison à rien foutre parce qu'on l'a choisi", c'est parfois (souvent) plus compliqué que ça et il y a un gros cercle vicieux qui s'installe: rejet de la société, isolation, sentiment de ne rien valoir etc etc... ça n'aide pas à trouver du travail que d'avoir une vision telle de ce qu'on vaut au sein de la société, et quand les gens en plus te montrent du doigt parce que tu n'acceptes pas n'importe quel travail sous le prétexte que "il faut travailler c'est comme ça", c'est encore pire.
Mais encore une fois, cela ne veut pas dire qu'on devrait tous rester chez soi, hein
Et perso, j'avais pour ambition à 20 ans de bosser plus tard en tant que cadre et de pouvoir me payer des supra vacances mais je t'avoue que 10 ans plus tard, j'ai une toute autre vision des choses.
Ce que je critiquais, c'est cette vision blessante des choses: quelqu'un qui ne travaille pas est un boulet pour la société/ne vaut rien. Parfois c'est pas si simple que ça, j'aurais aimé avoir choisi ma voie à 18 ans et ne pas en démordre, savoir ce que je voulais et tout faire pour l'avoir, mais ça n'a clairement pas été le cas. J'ai été paumée à ce niveau là depuis le lycée et je le suis toujours: tiraillée entre les études que j'aurais bien aimé faire/mes passions/la réalité du monde du travail/le loyer à payer.
Si je n'écoutais que moi, je vivrais avec pas grand chose par mois et j'écrirais, mais malheureusement, j'ai un loyer à payer et des factures aussi, et après le taff je n'ai plus le temps d'écrire.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Tout ça pour dire: ce n'est jamais aussi simple que de dire "il faut travailler parce que c'est comme ça". Que faisons-nous des gens qui n'ont pas la possibilité de travailler (handicapés, malades chroniques...) ou encore ceux qui n'ont pas les moyens de faire études (mes parents n'ont jamais pu m'aider, j'ai toujours du me débrouiller seule et ça a été très difficile, et quand j'ai essayé de reprendre des études il ya 5 ans en bossant à temps partiel à côté j'ai tout foiré...) les aides c'est bien mais ça ne permet pas de mener un bon train de vie, de pouvoir partir en vacances aux îles canaries tous les étés par exemple...
Qui plus est, toucher les aides ne se résume pas à "rester à la maison à rien foutre parce qu'on l'a choisi", c'est parfois (souvent) plus compliqué que ça et il y a un gros cercle vicieux qui s'installe: rejet de la société, isolation, sentiment de ne rien valoir etc etc... ça n'aide pas à trouver du travail que d'avoir une vision telle de ce qu'on vaut au sein de la société, et quand les gens en plus te montrent du doigt parce que tu n'acceptes pas n'importe quel travail sous le prétexte que "il faut travailler c'est comme ça", c'est encore pire.
Mais encore une fois, cela ne veut pas dire qu'on devrait tous rester chez soi, hein
Et perso, j'avais pour ambition à 20 ans de bosser plus tard en tant que cadre et de pouvoir me payer des supra vacances mais je t'avoue que 10 ans plus tard, j'ai une toute autre vision des choses.
Votre discussion est très intéressante !
J'aurais jamais cru ça il y a quelques années, mais je me vois carrément avoir un mi-temps pendant plusieurs années de ma vie. Pas que j'aie envie de peu travailler ; c'est plus qu'il y a plein de choses auxquelles j'ai pas envie de renoncer...
Outre mon métier "principal", j'envisage très sérieusement d'exercer une autre activité en free-lance, de reprendre le chant, de devenir famille d'accueil pour chiens avec mon copain, d'intervenir en collège pour faire de l'éducation sexuelle et autres types de prévention... Sans compter les activités de pur loisir qui n'occasionnent pas de contraintes particulières (lire, mater des livres et séries).
Je ne dis pas que j'arriverai à tout mener de front hein (sachant que je me vois bien ajouter des gosses dans l'équation
), mais je veux pas que mon travail, aussi génial soit-il, me fasse regretter de ne pas pouvoir faire certaines choses qui me tiennent à coeur.
Après je pense que c'est lié chez moi à un grand besoin de variété. Du coup mon taff, aussi important soit-il (je ne me vois pas avoir un travail "juste pour subvenir à mes besoins"), doit me permettre de vivre, et ça inclut de faire plein d'autres trucs, qui prennent forcément du temps.
J'aurais jamais cru ça il y a quelques années, mais je me vois carrément avoir un mi-temps pendant plusieurs années de ma vie. Pas que j'aie envie de peu travailler ; c'est plus qu'il y a plein de choses auxquelles j'ai pas envie de renoncer...
Outre mon métier "principal", j'envisage très sérieusement d'exercer une autre activité en free-lance, de reprendre le chant, de devenir famille d'accueil pour chiens avec mon copain, d'intervenir en collège pour faire de l'éducation sexuelle et autres types de prévention... Sans compter les activités de pur loisir qui n'occasionnent pas de contraintes particulières (lire, mater des livres et séries).
Je ne dis pas que j'arriverai à tout mener de front hein (sachant que je me vois bien ajouter des gosses dans l'équation
), mais je veux pas que mon travail, aussi génial soit-il, me fasse regretter de ne pas pouvoir faire certaines choses qui me tiennent à coeur.Après je pense que c'est lié chez moi à un grand besoin de variété. Du coup mon taff, aussi important soit-il (je ne me vois pas avoir un travail "juste pour subvenir à mes besoins"), doit me permettre de vivre, et ça inclut de faire plein d'autres trucs, qui prennent forcément du temps.
... J'aurais pu écrire ça au mot près, ça fait peur
L'idée d'être intervenante au collège me botte tellement depuis plusieurs mois et je me demandais justement comment ça s'organisait, etc.
Édit : ah j'avais lu famille d'accueil pour chats, mais sinon le reste c'est bien ça
@Illyria Je suis entièrement d'accord avec toi sur la galère de l'orientation, et les problèmes que ça peut engendrer après dans la vie professionnelle, je me trouve très chanceuse d'avoir toujours su ce que je voulais faire ! Quant au fait d'avoir les moyens de faire des études, je ne comprends pas pourquoi les étudiants ne sont pas payés c'est sûr que ça coûterait cher, mais c'est un investissement sur l'avenir, au final...c'est totalement injuste que certains étudiants soient obligés de prendre un job alimentaire, alors que faire des études supérieures, c'est déjà du travail à plein temps.
Sinon pour ce qui est des aides, ça je sais que ça n'est pas si simple Et je trouve ça normal que ça existe, évidemment ! C'est pour ça que je ne sais pas trop comment débattre là-dessus, chaque situation est trop différente...ça me gave de payer autant, mais en même temps, je ne conçois pas de laisser des gens sans rien. Alors j'ai pas de solution 
Mais encore une fois, je comprends très bien les gens qui ne veulent pas s'acharner au travail, surtout si ce n'est pas un travail qu'on a choisi par passion ou intérêt ! Mais moi je suis le cliché de la femme ambitieuse (qui ne veut pas d'enfants en plus)
Conclusion : laissons vivre les gens qui ne veulent pas bosser pour bosser, et laissons vivre ceux qui veulent passer leur vie au boulot
c'est sûr que ça coûterait cher, mais c'est un investissement sur l'avenir, au final...c'est totalement injuste que certains étudiants soient obligés de prendre un job alimentaire, alors que faire des études supérieures, c'est déjà du travail à plein temps. Sinon pour ce qui est des aides, ça je sais que ça n'est pas si simple
Et je trouve ça normal que ça existe, évidemment ! C'est pour ça que je ne sais pas trop comment débattre là-dessus, chaque situation est trop différente...ça me gave de payer autant, mais en même temps, je ne conçois pas de laisser des gens sans rien. Alors j'ai pas de solution Mais encore une fois, je comprends très bien les gens qui ne veulent pas s'acharner au travail, surtout si ce n'est pas un travail qu'on a choisi par passion ou intérêt ! Mais moi je suis le cliché de la femme ambitieuse (qui ne veut pas d'enfants en plus)
Conclusion : laissons vivre les gens qui ne veulent pas bosser pour bosser, et laissons vivre ceux qui veulent passer leur vie au boulot
Un article pour tou-te-s celleux qui sont déjà venu ici déposer un JNSP sur les bruits de bouche :
http://www.demotivateur.fr/article-...robable-que-vous-soyez-un-genie-creatif--3742
Notez qu'il est signé Démotivateur, donc source d'information de qualitay
.
http://www.demotivateur.fr/article-...robable-que-vous-soyez-un-genie-creatif--3742
Notez qu'il est signé Démotivateur, donc source d'information de qualitay
.
Pour l'exemple, je bosse à 35h, mais concrètement, je fais des journées de 8h-17h avec 1h30 de coupure (useless pour moi mais pour le moment pas le choix) le tout pour à peine plus d'un SMIC. Franchement ça fait chier, et dans les boites comme les miennes les heures supplémentaires c'est limite s'ils te les interdisent pas parce que ça coûte trop cher.
Du coup comme j'habite pas la porte à côté je pars de chez moi à 6h10 et je rentre vers 19h (quand toit va bien sur le RER, ce qui est rarement le cas)
Après c'est vrai que c'est un choix aussi. Je pourrais bosser à côté de chez moi pour un SMIC, mais dans un taff qui ne me plait pas outre mesure (et pour l'avoir déjà fait je sais que je pète vite un câble quand je m'ennuie). J'espère pouvoir évoluer et/ou le former pour gagner un peu plus et apprendre de nouvelles choses, mais tout ne dépend pas de moi hélas.
Bref, je crois qu'il y a autant de visions du travail que de travailleurs
(Et j'ai moi aussi la chance d'avoir mon copain qui cuisine quznd je rentre et qui fait le olus gros du ménage (l'avantage d'avoir un conjoint qui ne bosse pas)
Il cherche un mi temps car il veut avoir du temps libre pour continuer le bénévolat et je le comprends. De mon côté j'aimerais bien bosser du lundi au vendredi même si ça voudrait dire faire des grosses journées.
Du coup comme j'habite pas la porte à côté je pars de chez moi à 6h10 et je rentre vers 19h (quand toit va bien sur le RER, ce qui est rarement le cas
)Après c'est vrai que c'est un choix aussi. Je pourrais bosser à côté de chez moi pour un SMIC, mais dans un taff qui ne me plait pas outre mesure (et pour l'avoir déjà fait je sais que je pète vite un câble quand je m'ennuie). J'espère pouvoir évoluer et/ou le former pour gagner un peu plus et apprendre de nouvelles choses, mais tout ne dépend pas de moi hélas.
Bref, je crois qu'il y a autant de visions du travail que de travailleurs
(Et j'ai moi aussi la chance d'avoir mon copain qui cuisine quznd je rentre et qui fait le olus gros du ménage (l'avantage d'avoir un conjoint qui ne bosse pas
)Il cherche un mi temps car il veut avoir du temps libre pour continuer le bénévolat et je le comprends. De mon côté j'aimerais bien bosser du lundi au vendredi même si ça voudrait dire faire des grosses journées.
Discussions similaires
