@TanteJulia Malheureusement, quand on est très sensible à la fumée, même toute la bonne volonté des fumeurs n'est pas suffisante 
. Mes amis font tous attention quand je suis à côté, et je ne les côtoie quand ils fument que si l'on est dehors, et même s'ils soufflent dans une direction opposée, que je me tiens un peu éloignée, qu'il y a du vent, etc., je finis toujours par ressentir une gêne au bout de quelques minutes 
. (Enfin je leur suis quand même reconnaissante de faire un effort et de pas m'asphyxier de manière plus frontale 
)
Du coup je compatis @Alpha. Si c'était seulement une odeur que je trouvais pas très agréable, ça pourrait passer (encore que, je suis vachement gênée quand quelqu'un sentant le tabac froid s'installe près de moi, ça m'est arrivé récemment dans le métro, j'ai dû changer de place), mais chez moi ça a vraiment des conséquences physiques immédiates: je me mets à tousser et je sens comme un voile dans ma gorge, hyper gênant, et qui me fait tousser encore plus. Je me suis déjà retrouvée aphone le lendemain d'une fois où j'avais côtoyée un peu de fumée de loin
. Et si c'est un contact prolongé, la fumée m'attaque aussi le nez et les yeux en plus de m'arracher la gorge.
Du coup à la fois je sais que ce n'est pas la faute des fumeurs si je suis particulièrement sensible à la fumée, et ça m'embête de penser que je préférerais qu'il soit interdit de fumer partout, mais qu'est-ce que ça me complique la vie... Je ne peux pas aller en terrasse, jamais, je n'accompagne jamais mes amis qui sortent fumer quand je suis à une soirée/dans un lieu public, et je me retrouve souvent seule, je suis très régulièrement gênée juste en marchant dans la rue, mais également si je fais la queue quelque part en extérieur par exemple. Je dois renoncer à certains événements parce que je sais qu'ils seront en extérieur et que certains fumeront, et les soirées chez les amis sont généralement un calvaire, quand j'y vais (je suis tellement sensible que même s'ils fument à la fenêtre ou sur le balcon, les déplacements me font parvenir de la fumée) (et j'exagère même pas, genre ouvrir et fermer la porte-fenêtre sans arrêt pour aller fumer sur la terrasse, et ce même si je suis à plusieurs mètres, c'est fatal pour ma gorge
). Là, comme tous les étés, je redoute les festivals en plein air, parce que c'est impossible d'y échapper quand tu es coincée dans la foule. Mais je peux difficilement m'empêcher de sortir de chez moi même si je sais que je risque de me prendre de la fumée hein 
.
(En vrai je ne veux tellement pas embêter les gens que je me plains rarement (et puis qu'est-ce que les gens pourraient y faire ? Ils ne vont pas s'arrêter de fumer pour mes beaux yeux et ma gorge délicate), du coup ça fait du bien d'avoir un petit exutoire, je n'avais encore jamais participé à ce marronnier du JNSP
)
. Mes amis font tous attention quand je suis à côté, et je ne les côtoie quand ils fument que si l'on est dehors, et même s'ils soufflent dans une direction opposée, que je me tiens un peu éloignée, qu'il y a du vent, etc., je finis toujours par ressentir une gêne au bout de quelques minutes . (Enfin je leur suis quand même reconnaissante de faire un effort et de pas m'asphyxier de manière plus frontale )Du coup je compatis @Alpha. Si c'était seulement une odeur que je trouvais pas très agréable, ça pourrait passer (encore que, je suis vachement gênée quand quelqu'un sentant le tabac froid s'installe près de moi, ça m'est arrivé récemment dans le métro, j'ai dû changer de place), mais chez moi ça a vraiment des conséquences physiques immédiates: je me mets à tousser et je sens comme un voile dans ma gorge, hyper gênant, et qui me fait tousser encore plus. Je me suis déjà retrouvée aphone le lendemain d'une fois où j'avais côtoyée un peu de fumée de loin
. Et si c'est un contact prolongé, la fumée m'attaque aussi le nez et les yeux en plus de m'arracher la gorge.Du coup à la fois je sais que ce n'est pas la faute des fumeurs si je suis particulièrement sensible à la fumée, et ça m'embête de penser que je préférerais qu'il soit interdit de fumer partout, mais qu'est-ce que ça me complique la vie... Je ne peux pas aller en terrasse, jamais, je n'accompagne jamais mes amis qui sortent fumer quand je suis à une soirée/dans un lieu public, et je me retrouve souvent seule, je suis très régulièrement gênée juste en marchant dans la rue, mais également si je fais la queue quelque part en extérieur par exemple. Je dois renoncer à certains événements parce que je sais qu'ils seront en extérieur et que certains fumeront, et les soirées chez les amis sont généralement un calvaire, quand j'y vais (je suis tellement sensible que même s'ils fument à la fenêtre ou sur le balcon, les déplacements me font parvenir de la fumée) (et j'exagère même pas, genre ouvrir et fermer la porte-fenêtre sans arrêt pour aller fumer sur la terrasse, et ce même si je suis à plusieurs mètres, c'est fatal pour ma gorge
). Là, comme tous les étés, je redoute les festivals en plein air, parce que c'est impossible d'y échapper quand tu es coincée dans la foule. Mais je peux difficilement m'empêcher de sortir de chez moi même si je sais que je risque de me prendre de la fumée hein .(En vrai je ne veux tellement pas embêter les gens que je me plains rarement (et puis qu'est-ce que les gens pourraient y faire ? Ils ne vont pas s'arrêter de fumer pour mes beaux yeux et ma gorge délicate), du coup ça fait du bien d'avoir un petit exutoire, je n'avais encore jamais participé à ce marronnier du JNSP
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Mais moi je m'en fou, pour moi. Là où je bloque c'est pour les autres. Je n'aime pas accueillir les gens chez moi, je me sens jugée. Je sais pas si je suis parano mais j'ai toujours l'impression qu'en entrant il y a toujours une seconde où la personne va penser dans sa tête "moche cet appart' (quand ce n'est pas dit ouvertement 
). Mon appart' est toujours comparé à celui des autres et ça me soûle. J'aime pas accueillir des gens chez moi ou alors au minimum en ayant eu le temps de faire le ménage comme je le voulais pour cacher la misère. Les inconnus chez moi? n'en parlons même pas j'en fais des cauchemars. La seule personne chez qui je n'ai pas sentie cette impression de " première- visite- minute- jugement" c'est mon copain la première fois qu'il est venu. Il est rentré pépouze à l'aise sans regarder tout autour de lui. Ca m'a fait tout drôle d'ailleurs et tellement de bien 
Arrêtez de tout confondre les gens 
