M
minimou
Guest
elle27;3387787 a dit :
Je suis incapable de te dire où je l'ai trouvé ou qui est l'actrice. Je l'ai trouvé sur un tumblr mais j'en lis tellement que je ne sais pas sur lequel c'était.
Je veux comprendre... le slut-shaming
- Initiateur de la discussion Lady Dylan
- Date de début
Je suis incapable de te dire où je l'ai trouvé ou qui est l'actrice. Je l'ai trouvé sur un tumblr mais j'en lis tellement que je ne sais pas sur lequel c'était.
"Salope, pute, pétasse": c'est dur d'être une femme en rue à Bruxelles - RTBF Regions
Là j'ai honte de ma capitale... Je n'ai même pas les mots pour dire ce que ça m'inspire !
Là j'ai honte de ma capitale... Je n'ai même pas les mots pour dire ce que ça m'inspire !
K
kami-kamie
Guest
J'ai pris beaucoup de temps pour lire toutes les réactions ici, j'adhère à pas mal de vos idées, mais je ne sais pas si on en a parlé, si ça a été fait, ça ne m'a pas frappé et je m'excuse d'avance donc.
Mais avez-vous évoqué la femme en tant qu'individu ? Je veux dire, pense-t-on à l'entité individuelle derrière laquelle on attache le sobriquet de "femme" ou de "salope". On fait beaucoup de généralité. Le soucis de notre société, je pense que c'est ça, c'est qu'il est facile d'oublier l'individualité omniprésente dans notre monde. Nous sommes tous unique, nous possédons tous des goûts, des histoires et des orientations différentes, quel que soit notre genre, nous avons tendance à l'oublier. Les femmes ne sont que des Hommes, mais ça aussi, c'est secondaire aujourd'hui. Du moins, c'est ce que j'ai l'impression de voir. Le modèle du genre surplombe l'individualisme et l'originalité personnelle. Nous sommes tous différents.
J'ai commencé à m'ouvrir sur la question du sexe sans ressentir de honte ni de gêne lorsque j'ai réussi à avoir la maturité nécessaire pour essayer de comprendre les mécanismes qui m'avaient conduits à perdre ma virginité à mes quinze ans presque sans mon consentement.
C'est alors que je me suis rendue compte que s'y j'y attachais de l'importance, je rentrerai dans un cercle vicieux : celui de la culpabilité. Parce que voilà le genre de société dans laquelle nous sommes: une société culpabilisante qui constitue un juge sans merci ni pitié pour notre apparence, notre comportement et nos actes.
Il faut s'en détacher. Il faut se rappeler que nous vivons pour nous et par pour les autres. Il faut se rappeler qu'au même titre que nos congénères du genre masculin, il est impossible et est malsain de réduire une histoire, une personnalité, des goûts, des expériences, une famille, une personne dans son entité globale à ses actes ou à une série d'acte qui nous déplairait. Nous ne sommes ni tout blanc, ni tout noir. Nous vivons pour nous. La vie est si courte alors si nous devions vivre pour ce que les autres attendent de nous et non pour nous même, à quoi bon ?
J'ai l'impression que c'est fondamental. Il m'a fallu du temps pour le comprendre. J'espère que ceci vous permettra de prendre un peu de recul sur le slut-shaming qui n'a tout bonnement pas sa place dans notre monde.
Je suis optimiste, en parler, c'est déjà le reconnaître, nous sommes sur la voie du progrès.
Mais avez-vous évoqué la femme en tant qu'individu ? Je veux dire, pense-t-on à l'entité individuelle derrière laquelle on attache le sobriquet de "femme" ou de "salope". On fait beaucoup de généralité. Le soucis de notre société, je pense que c'est ça, c'est qu'il est facile d'oublier l'individualité omniprésente dans notre monde. Nous sommes tous unique, nous possédons tous des goûts, des histoires et des orientations différentes, quel que soit notre genre, nous avons tendance à l'oublier. Les femmes ne sont que des Hommes, mais ça aussi, c'est secondaire aujourd'hui. Du moins, c'est ce que j'ai l'impression de voir. Le modèle du genre surplombe l'individualisme et l'originalité personnelle. Nous sommes tous différents.
J'ai commencé à m'ouvrir sur la question du sexe sans ressentir de honte ni de gêne lorsque j'ai réussi à avoir la maturité nécessaire pour essayer de comprendre les mécanismes qui m'avaient conduits à perdre ma virginité à mes quinze ans presque sans mon consentement.
C'est alors que je me suis rendue compte que s'y j'y attachais de l'importance, je rentrerai dans un cercle vicieux : celui de la culpabilité. Parce que voilà le genre de société dans laquelle nous sommes: une société culpabilisante qui constitue un juge sans merci ni pitié pour notre apparence, notre comportement et nos actes.
Il faut s'en détacher. Il faut se rappeler que nous vivons pour nous et par pour les autres. Il faut se rappeler qu'au même titre que nos congénères du genre masculin, il est impossible et est malsain de réduire une histoire, une personnalité, des goûts, des expériences, une famille, une personne dans son entité globale à ses actes ou à une série d'acte qui nous déplairait. Nous ne sommes ni tout blanc, ni tout noir. Nous vivons pour nous. La vie est si courte alors si nous devions vivre pour ce que les autres attendent de nous et non pour nous même, à quoi bon ?
J'ai l'impression que c'est fondamental. Il m'a fallu du temps pour le comprendre. J'espère que ceci vous permettra de prendre un peu de recul sur le slut-shaming qui n'a tout bonnement pas sa place dans notre monde.
Je suis optimiste, en parler, c'est déjà le reconnaître, nous sommes sur la voie du progrès.
Je ne saurais exagérer le soulagement et le ressentiment qui m'envahissent après lecture de cet article;
Je suis une de ces filles à la "mentalité libérée. " J'estime que je suis libre de porter une mini jupe à 17 ans si j'en ai envie, qu'il pleuve, vente ou neige. (C'est bien pour ça que les collants ont été inventés bordel !! )
Malheureusement la société d'aujourd'hui devenant en moyenne de plus en plus CONNE (excusez l'agression) cela m'a valu une réputation de "pute". Assez répandue et qui me précède, alors que je ne monnaye pas mes activités; et ce qui est le plus choquant aujourd'hui, est encore la différence entre hommes et femmes à ce niveau là/. C'en est triste, un homme qui change de partenaire tous les soirs est un géant; une femme est une pute.
Ca me rassure de voir que je suis confortée dans mon mental, un peu; je commençais à me remettre en question au vu de ce qu'on me rapportait... MERCI MADMOIZELLE
Je suis une de ces filles à la "mentalité libérée. " J'estime que je suis libre de porter une mini jupe à 17 ans si j'en ai envie, qu'il pleuve, vente ou neige. (C'est bien pour ça que les collants ont été inventés bordel !! )
Malheureusement la société d'aujourd'hui devenant en moyenne de plus en plus CONNE (excusez l'agression) cela m'a valu une réputation de "pute". Assez répandue et qui me précède, alors que je ne monnaye pas mes activités; et ce qui est le plus choquant aujourd'hui, est encore la différence entre hommes et femmes à ce niveau là/. C'en est triste, un homme qui change de partenaire tous les soirs est un géant; une femme est une pute.
Ca me rassure de voir que je suis confortée dans mon mental, un peu; je commençais à me remettre en question au vu de ce qu'on me rapportait... MERCI MADMOIZELLE
Madmoizelle revient sur les erreurs du passé ?
Mini-jupe tendance été 2009
Slut-Shaming, j'écris ton nom...
Mini-jupe tendance été 2009
Slut-Shaming, j'écris ton nom...
Je voulais juste vous dire à toutes que le topic SlutWalk existe ! http://www.madmoizelle.com/forums/forum-sexe-les-aventures-de-popol-and-clito/68332-slutwalk.html
Lady Dylan : Nope, non plus. Seulement la vidéo.
Lady Dylan : Nope, non plus. Seulement la vidéo.
J’ai essayé de synthétiser et organiser mes pensées pour dire que ça me paraît plus compliqué qu’une histoire d’ »avoir le droit de». Certaines filles se maquillent par plaisir, d’autres ne supportent pas de descendre les poubelles sans, tant le naturel c’est vilain et c’est pas féminin. Elles se sentent laide si on ne les siffle pas dans la rue, on besoin qu’on les regarde dans le décolleté… Je ne sais plus ce qui provient d’un choix ou d’une pression de la société, et c’est ce qui me fait me poser des questions sur les styles vestimentaires dont on parle ici : est-ce que c’est vraiment pour se sentir mieux ou c’est parce qu’on se sent obligées d’être « séduisantes » (au sens sexuel du terme) pour être « jolie » et « bien dans notre peau » ? J’ai strictement rien contre hein… Mais moi j’aime pas le faire et je prend cher, j’ai même du changer de travail parce que j’avais pas envie de me maquiller, j’aime pas, ça me provoque plus de démangeaison que de plaisir… mais apparemment c’était comme si j’étais sale en fait. Une fille qui au boulot qui voit des clients se maquille sinon c’est vilain, on sait plus trop ce que c’est une fille au naturel… 
J’aime pas les talons non plus, ça fait bobo… donc j’suis pas « féminine » et c’est « dommage » pour 90% de mon entourage, quand bien même je suis très bien dans ma peau… Mais à côté de ça, j’ai une amie qui s’habille souvent clairement euh… Lingerie partiellement apparente, léopard, piercing, micro jupes, on a TOUS vu sa culotte n’importe quand si bien que ça a plus grand-chose d’érotique… Bah finalement elle se fait JAMAIS agresser. Son attitude parfaitement assumée en est carrément impressionnante et ça lui donne pas mal la classe. Du coup les mecs sentent qu’elle est du genre à leur donner des coups de boules et que son regard signifie clairement « tu me touches, j’te tabasse » et ils ont raison. Donc beaucoup de personnes la trouverait sûrement vulgaire mais à coté de ça c’est clairement celle qui profite le plus de cette « liberté » que lui ont donné les mouvements féministes. Pas juste parce qu’elle s’habille absolument comme elle veut mais parce que ça se sent à 15000 km que c’est même pas une victime potentielle, elle a une sexualité délurée clairement assumée et n’a aucun problème avec son entourage… Ceux qui ne respectent pas son mode de vie n’ont d’autre choix que d’aller voir ailleurs en fermant leur gueule… ça me paraît pourtant difficile si ont devient obligée d’en arriver à de tels extrême.
Le coté « joli objet » du rôle de la femme est clairement à revoir avant de pouvoir assumer nos goûts… au-delà d’un certain âge notre intérêt approche du 0, y’a pas un film qui parle d’une fille moche qui soit jouée par une vraie fille moche (ex : ugly betty ou monster ) et ça fait longtemps que j’ai vu une histoire d’amour entre un mec de 50 ans et une fille du même age… on va quand même pas caser Georges Clooney qui soit disant vieillit «comme un bon vin » avec une femme de plus de 30 ans quand même ???
On va me dire que ça n’a rien à voir mais ça me paraît être une des bases du problème…
Certains citaient le Japon ou l’Angleterre pour la liberté de s’habiller comme on le veut, et se demandaient pourquoi en France c’est pas pareil. Pour l’Angleterre je sais pas trop mais le Japon j’y ai vécu, et même si c’est un pays ou l’égalité homme-femme est a pleurer, il est parfaitement normal voir imposé de garder ses pensées pour soit, et c’est impensable d’aller insulter des gens dans la rue pour quelques raison que ce soit. Pourtant c’est pas faute de penser qu’avec certains look que ce soit certains « ressemblent à des monstres » (quand vous êtes avec des amis japonais, ça peut s’entendre) mais aller imposer notre mode de penser à une personne qui marche dans la rue et nous a rien demandé, c’est juste extrêmement impoli et c’est le début du chaos dans un monde où on essaie de vivre tous ensemble. Même si c’est justement ce mode de pensé « pour le bien de la communauté » qui fait que ces styles marginaux sont mal vus, ces gens marginaux vivent soit dans un milieu particulier (mode, musique, tatouage etc.) soit retourne à la norme imposée sur leur lieu de travail. Ainsi chaque chose a son lieu et sa place et si ce système a ses limites, la sécurité dans la rue est juste incroyable, c’est un vrai bonheur de ne pas avoir à se préoccuper du regard d’autrui et ne pas avoir peur quelle que soit l’heure…. La femme est aussi pas mal matérialisée mais, y’a un truc qui fait mieux passer la pilule c’est que… l’homme aussi, les pubs présentent autant de mecs tout nus sous la douche que de filles et les idoles ultra maquillées sont aussi femmes qu’hommes. Donc je sais pas si c’est bien mais au moins, j’me sens moins objet inférieur et j’accepterais plus qu’on me demande de me maquiller si mes collègues hommes le font aussi 
j’trouverais ça naze mais au moins, c’est de bonne guerre.
J’aime pas les talons non plus, ça fait bobo… donc j’suis pas « féminine » et c’est « dommage » pour 90% de mon entourage, quand bien même je suis très bien dans ma peau… Mais à côté de ça, j’ai une amie qui s’habille souvent clairement euh… Lingerie partiellement apparente, léopard, piercing, micro jupes, on a TOUS vu sa culotte n’importe quand si bien que ça a plus grand-chose d’érotique… Bah finalement elle se fait JAMAIS agresser. Son attitude parfaitement assumée en est carrément impressionnante et ça lui donne pas mal la classe. Du coup les mecs sentent qu’elle est du genre à leur donner des coups de boules et que son regard signifie clairement « tu me touches, j’te tabasse » et ils ont raison. Donc beaucoup de personnes la trouverait sûrement vulgaire mais à coté de ça c’est clairement celle qui profite le plus de cette « liberté » que lui ont donné les mouvements féministes. Pas juste parce qu’elle s’habille absolument comme elle veut mais parce que ça se sent à 15000 km que c’est même pas une victime potentielle, elle a une sexualité délurée clairement assumée et n’a aucun problème avec son entourage… Ceux qui ne respectent pas son mode de vie n’ont d’autre choix que d’aller voir ailleurs en fermant leur gueule… ça me paraît pourtant difficile si ont devient obligée d’en arriver à de tels extrême.Le coté « joli objet » du rôle de la femme est clairement à revoir avant de pouvoir assumer nos goûts… au-delà d’un certain âge notre intérêt approche du 0, y’a pas un film qui parle d’une fille moche qui soit jouée par une vraie fille moche (ex : ugly betty ou monster ) et ça fait longtemps que j’ai vu une histoire d’amour entre un mec de 50 ans et une fille du même age… on va quand même pas caser Georges Clooney qui soit disant vieillit «comme un bon vin » avec une femme de plus de 30 ans quand même ???
On va me dire que ça n’a rien à voir mais ça me paraît être une des bases du problème…
Certains citaient le Japon ou l’Angleterre pour la liberté de s’habiller comme on le veut, et se demandaient pourquoi en France c’est pas pareil. Pour l’Angleterre je sais pas trop mais le Japon j’y ai vécu, et même si c’est un pays ou l’égalité homme-femme est a pleurer, il est parfaitement normal voir imposé de garder ses pensées pour soit, et c’est impensable d’aller insulter des gens dans la rue pour quelques raison que ce soit. Pourtant c’est pas faute de penser qu’avec certains look que ce soit certains « ressemblent à des monstres » (quand vous êtes avec des amis japonais, ça peut s’entendre) mais aller imposer notre mode de penser à une personne qui marche dans la rue et nous a rien demandé, c’est juste extrêmement impoli et c’est le début du chaos dans un monde où on essaie de vivre tous ensemble. Même si c’est justement ce mode de pensé « pour le bien de la communauté » qui fait que ces styles marginaux sont mal vus, ces gens marginaux vivent soit dans un milieu particulier (mode, musique, tatouage etc.) soit retourne à la norme imposée sur leur lieu de travail. Ainsi chaque chose a son lieu et sa place et si ce système a ses limites, la sécurité dans la rue est juste incroyable, c’est un vrai bonheur de ne pas avoir à se préoccuper du regard d’autrui et ne pas avoir peur quelle que soit l’heure…. La femme est aussi pas mal matérialisée mais, y’a un truc qui fait mieux passer la pilule c’est que… l’homme aussi, les pubs présentent autant de mecs tout nus sous la douche que de filles et les idoles ultra maquillées sont aussi femmes qu’hommes. Donc je sais pas si c’est bien mais au moins, j’me sens moins objet inférieur
et j’accepterais plus qu’on me demande de me maquiller si mes collègues hommes le font aussi j’trouverais ça naze mais au moins, c’est de bonne guerre.Tatsue;3476416 a dit :
Hello, je me permet de réagir a ton message parce que ton mode de pensée me surprend. J'ai l'impression que c'est contradictoire.
Dans ce paragraphe, qu'est ce qui t'indique que ces filles qui se maquillent pour descendre les poubelles le font pour ces raisons ? D'où peux tu dire qu'elles se sentent laides lorsque des hommes ne les traitent pas comme des objets secsouellllls ? (
)On sent que tu juges ces filles dans ces lignes. Si tant est qu'elles existent, qu'est ce qu'il y a de mal dans leurs préoccupations ? Si elles n'ont, (c'est un exemple), pas assez confiance en elles par elles même et qu'elle ressentent le besoin d'être selon leurs normes bien sur elles pour se sentir bien, où est le mal ?
D'ailleurs tu dis plus loin que toi tu te sens mal quand tu te maquilles, quand tu mets des talons... Peux tu entendre que le contraire soit imaginable sans pour autant dévaloriser les concernés ?
Après tout c'est une question d'appréciation personnelle ; j'ai besoin par exemple d'être coiffée correctement pour me sentir bien avant de sortir, mais le maquillage m'importe peu. Suis-je donc autant ou moins superficielles que ces filles ? Dès lors qu'on choisis certaines fringues au détriment d'autres, parce qu'elles nous mettent plus en valeur, sommes nous de la même catégorie ?
J'ai l'impression que tu as mal vécu les critiques de ton entourage, et je te l'accorde, elle sont idiotes, si tu te sens bien comme tu es, tant mieux c'est une bonne chose, tu n'as pas a changer pour les autres. Mais est ce une raison pour jeter la pierre a d'aucunes qui se sentiraient aussi bien que toi avec d'avantages d'artifices ?
Encore des questions ; ou est le problème a vouloir plaire, si tant est que ce soit le but ? Nos relations sociales sont fondées sur les relations humaines, et comportent une part de séduction non négligeables, au delà même de son aspect purement sexuel. Donc quel est le fuck ?
EDIT ; j'ai compris.
Sauf ça ;Si on parque ces "choses" à leur place, ça résous le problème ? C'est cautionnable ?
Je trouve pas que ça soit mal de faire quoi que ce soit pour se sentir mieux, je trouve ça dommage de devoir cumuler les artifices pour se sentir bien, parce que souvent même ça ça ne suffit pas : quand on se s'accepte pas, qu'on est méga complexées, souvent c'est pas avec 3 tonnes de maquillage que ça y changera quelque chose. Un autre exemple : les filles accro à la chirurgie esthétique, qui sont souvent très jolies d'ailleurs, mais veulent corriger ça, puis ça, puis ça, puis ça, puis ça etc. etc. et ne sont JAMAIS satisfaites de leur image, elles ont en tête un idéal en perpétuel évolution, une quête de la perfection assez mal définie et finalement très mal dans leur peau pour des raison tout autres. Je trouve pas ça sain, pas par rapport à moi, mais par rapport à elles même, elles se ruinent sans se rendre heureuses. Par contre une personne qui a un gros complexe qui la rend dingue et qu'elle a tout essayé pour ignorer/cacher/dissimuler/mettre en valeur, y'a rien a faire, elle aime pas son nez ou ses seins etc. et c'est tout ce qui la gêne, elle va finir par faire une chirurgie et se sentir super bien, et là je trouve ça plutôt pas mal comme démarche.
C'est pas un jugement sur des filles qui aiment les artifices que je fais, c'est beaucoup de personnes que j'ai rencontrées qui sont super mal dans leur peau et se trouve atroce sans maquillage (ce que déjà je trouve dommage, on peut se préférer d'une telle ou telle façon mais être incapable de se supporter sans passer 4h devant un miroir, c'est pas une grande preuve de bien être) et sans des tonnes de préparation, et même après ça, elles se trouvent laide mais ça passe mieux. Et sont toujours en quête de séduire tout homme qui passe, de se mettre en compétitions avec les autres filles, voir de séduire leurs mecs pour se sentir mieux etc. là c'est l'extrême mais je veux dire, devoir quémander les avis de tout le monde sur notre physique pour se sentir bien, c'est pas que je trouve ça mal c'est que je trouve ça triste dans le sens ou c'est pas un symptôme de bien être. Et souvent si ces personnes se sentent si laides, c'est soit qu'elles ont une vision totalement faussées d'elle même (leur passé ? la télé ? les magazines ? les parents ? etc.), soit qu'elle agissent de telle façon à se sentir laides. C'est des exemples de beaucoup de gens que j'ai croisés, et qui ont une fâcheuse tendance à juger les autres filles et faire du slut shaming d'ailleurs....
Euh non alors là rien à voir c'est pas DU TOUT mais même pas proche de ce que j'ai dit puisque je suis toutes ces "choses" à la fois : je disais que les personnes qui ont un look marginal au Japon, sont souvent tatoueurs, musiciens ou créateurs, puisque leur look est aussi assumable sur leur lieu de travail. Donc je vois pas le rapport avec ce que tu dis j'espère que tu as lu trop vite parce que je crois pas m'être a ce point mal exprimée
C'est pas un jugement sur des filles qui aiment les artifices que je fais, c'est beaucoup de personnes que j'ai rencontrées qui sont super mal dans leur peau et se trouve atroce sans maquillage (ce que déjà je trouve dommage, on peut se préférer d'une telle ou telle façon mais être incapable de se supporter sans passer 4h devant un miroir, c'est pas une grande preuve de bien être) et sans des tonnes de préparation, et même après ça, elles se trouvent laide mais ça passe mieux. Et sont toujours en quête de séduire tout homme qui passe, de se mettre en compétitions avec les autres filles, voir de séduire leurs mecs pour se sentir mieux etc. là c'est l'extrême mais je veux dire, devoir quémander les avis de tout le monde sur notre physique pour se sentir bien, c'est pas que je trouve ça mal c'est que je trouve ça triste dans le sens ou c'est pas un symptôme de bien être. Et souvent si ces personnes se sentent si laides, c'est soit qu'elles ont une vision totalement faussées d'elle même (leur passé ? la télé ? les magazines ? les parents ? etc.), soit qu'elle agissent de telle façon à se sentir laides. C'est des exemples de beaucoup de gens que j'ai croisés, et qui ont une fâcheuse tendance à juger les autres filles et faire du slut shaming d'ailleurs....
GoldLion;3476949 a dit :Plait-il ? Je crains avoir mal compris. Selon toi, les slut-shamers et autres harceleurs de rues, allez soyons fous étendons le probleme aux autres individus présentant des dangers potentiels pour les femmes dans la rue, sont des tatoués, des musiciens ou des BTS mode ?
Ce n'est donc pas a cause de notre societé patricale ou de l'image retardée de la femme dans nos civilisation tellement avancées ?
Et si on parque ces "choses" à leur place, ça résouds le probleme ? C'est cautionnable ?
Non. J'ai du mal comprendre.
Euh non alors là rien à voir c'est pas DU TOUT mais même pas proche de ce que j'ai dit puisque je suis toutes ces "choses" à la fois : je disais que les personnes qui ont un look marginal au Japon, sont souvent tatoueurs, musiciens ou créateurs, puisque leur look est aussi assumable sur leur lieu de travail. Donc je vois pas le rapport avec ce que tu dis j'espère que tu as lu trop vite parce que je crois pas m'être a ce point mal exprimée
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