Pour donner un autre son de cloche, je n'ai pas du tout la même approche transmedicaliste que @Luzgar et je reviendrai sans doute expliquer pourquoi bientôt...
Ou alors l'hétéronormativité (un petit garçon voudra être une fille pour pouvoir sortir avec d'autres petits garçons, mais son rapport avec son propre corps sera OK, donc il est pas trans, juste victime de notre société). Donc... Certains disent qu'avec des scans du cerveau ce serait possible de voir, mais y'a encore beaucoup de choses à creuser là-dessus. 
C'est vraiment au cas par cas je dirais, selon la maturité de l'enfant, le développement psychologique, la famille autour, la vie générale du gosse etc...




On est pas transex car on aime les vêtements de garçon.
J'ai vu énormément de cas où ce n'était pas le cas, et ça ruine des vies et c'est à tout prix ce que j'aimerai éviter aux gens qui lisent tout ça.
), et je suis un peu le cliché de "j'ai toujours su que j'étais trans" mais bon. Personnellement j'ai du mal avec la vision très centrée sur le médical, parce que ça peut poser problème à des gens comme moi (qui se définissent comme neutres) pour avoir accès à des opérations ou à des hormones. Pour ta dernière partie, je pense qu'on a toustes un rapport différent à notre corps et que c'est quelque chose de très complexe.
Ce serait cool que tu ne fasses pas de généralisations et des catégorisations des personnes comme ça - et qu'on n'oublie pas non plus que les "études scientifiques" sur la transidentité ont été faites pour la plupart, surprise! Par des cis qui cherchent à nous sur-médicaliser.
Je sais pas pour la SOFECT, et encore une fois, avec les points que j'ai évoqué, c'est clairement pas ce pour quoi je lutte. Les définitions ont beau être semblables, c'est parce que je me base sur les papiers scientifiques et non pas sur la communauté (voir ci-dessus). Et tu es toujours libre de faire comme tu veux, ce que j'ai évoqué au tout début de mes messages c'est que les gens peuvent faire ce qu'ils veulent tant que les Transex puissent accéder aux hormones. J'aurai très certainement pas dû te conseiller de ne pas prendre d'hormones, ce n'était pas mes affaires, excuse-moi pour ça.
Déjà parce que c'est pas tout blanc ou tout noir, tu n'as pas juste "les personnes qui ont des "membres fantômes" et rêvent d'un corps différent depuis l'enfance/l'adolescence" et "celleux qui sont tout à fait ok avec leur corps et ne veulent pas le changer", tu le vois bien rien qu'avec les interventions sur ce topic (je ne sais même pas dans quelle case tu me mettrais, et j'ai l'impression que les deux invisibiliseraient une partie de mon vécu de toutes façons), et en plus tu occultes le fait qu'il y a plusieurs sortes de dysphorie (corporelle et sociale) qui ne sont pas toujours toutes les deux présentes chez une personne trans. Même pour parler de parcours ça n'a pas de sens : il y a des personnes qui font une transition sans éprouver une dysphorie telle que tu la décris. Donc explique moi : pourquoi faire la distinction? Qu'est-ce que ça apporte à la discussion?
Oh, une attaque ad-hominem !qu'on n'oublie pas non plus que les "études scientifiques" sur la transidentité ont été faites pour la plupart, surprise! Par des cis qui cherchent à nous sur-médicaliser.