Une autre source du problème est la très large impunité des cyberviolences. Ben oui, si tu peux publier les pires horreurs en ligne sans risquer quoi que ce soit, qu'est-ce que ça a d'étonnant que ça prenne une telle ampleur au point de déborder sur des actes IRL ?
Puisqu'on parle de haine, c'est envers le monde judiciaire que j'en éprouve, parce qu'il n'a pas su prendre ses responsabilités à temps, parce qu'elle n'a pas empêché le web de devenir une zone de non-droit, l'ampleur que ce dernier a pris fait que ça fait un moment que beaucoup de lois ne servent strictement à RIEN !!! N'importe qui est potentiellement en danger permanent, individuellement ou en groupe, les grouper haineux sont désormais des dieux vivants qui peuvent avec une grande facilité imposer leur loi et leur propagande sans que qui que ce soit ne puisse les en empêcher, ils peuvent en un claquement de doigt détruire à vie absolument qui ils veulent, internet est devenu un enfer sur terre que n'aurait jamais pu imaginer la plus noire des dystopies. Le jour où il aura détruit toute la civilisation, les éventuels survivants n'auront qu'à consulter ce qui se publiait sur les réseaux sociaux quand ils voudront comprendre comment on en est arrivés là.
Puisqu'on parle de haine, c'est envers le monde judiciaire que j'en éprouve, parce qu'il n'a pas su prendre ses responsabilités à temps, parce qu'elle n'a pas empêché le web de devenir une zone de non-droit, l'ampleur que ce dernier a pris fait que ça fait un moment que beaucoup de lois ne servent strictement à RIEN !!! N'importe qui est potentiellement en danger permanent, individuellement ou en groupe, les grouper haineux sont désormais des dieux vivants qui peuvent avec une grande facilité imposer leur loi et leur propagande sans que qui que ce soit ne puisse les en empêcher, ils peuvent en un claquement de doigt détruire à vie absolument qui ils veulent, internet est devenu un enfer sur terre que n'aurait jamais pu imaginer la plus noire des dystopies. Le jour où il aura détruit toute la civilisation, les éventuels survivants n'auront qu'à consulter ce qui se publiait sur les réseaux sociaux quand ils voudront comprendre comment on en est arrivés là.