Non mais je comprends parfaitement le besoin de se changer les idées, de passer à autre chose. Le truc c'est que ceux qui le vivent au quotidien ont quand même une transition plus ou moins longue entre les moments terribles et les moments de détente. Alors que dans le film, c'est vraiment très brusque. Mais c'est juste un ressenti personnel, je sais bien que dans le film des transitions plus "softs" n'auraient pas forcément fonctionné. C'est juste que personnellement, j'étais encore tellement choquée/secouée par la scène d'avant que j'avais du mal à enchaîner si vite.Iaoranamoana;2686638 a dit :Au contraire de toi, j'ai adoré les transitions, la journée ils vivent des trucs très durs, mais ils s?appesantissent pas, ils passent.
J'admire tellement les gens qui font ce genre de boulot, ou ceux qui comme toi sont ou se destinent à être assistant(e) social(e). Ils en voient vraiment de toutes les couleurs, du coup c'est indispensable de se forger une carapace et de relâcher la pression d'une manière ou d'une autre. Perso j'aurais pas la force morale de faire un boulot comme ça.