@Tammie Tes malaises ne sont pas forcément liés à tes angoisses, avec la grossesse on peut avoir des soucis de chute de tension ou d'hypoglycémie, c'est peut-être par-là qu'il faut creuser d'abord, pour voir si certaines astuces te soulagent (et ne pas prendre ça comme une fatalité ni culpabiliser alors que tu n'y est pour rien). Il m'arrivait de m'asseoir par terre dans le RER quand il n'y avait pas de place et que ma grossesse ne se voyait pas, sous peine de m'évanouir, et je devais me balader avec des crackers car si je ne mangeais pas régulièrement, j'étais mal (un truc salé, c'est meilleur en cas de tension basse). Pourtant, j'étais plutôt zen !
Sinon
, j'espère que ça ira mieux vendredi. N'hésite pas à parler de ce qui t'inquiète à la SF (ou au médecin d'ailleurs) qui te suivra, pour qu'elle puisse te rassurer et t'insuffler de la confiance.
@Méli67 Au petit-déjeuner je propose à mon fiston du pain, du porridge ou de la crème kokkoh, avec un fruit ou de la compote (et à ma fille, je donnais parfois un laitage, mais lui n'aime pas ça). Super que les tétées se soient mieux passées hier ! Ici aussi le brocoli est dans le best-of (vive les petits "points" qu'on retrouve partout ensuite : cheveux, cannage de la chaise, manches...)
@Paindepice C'est une lecture un peu longue, mais tu peux consulter cet article "
Un autre regard sur les pleurs du nourrisson" (et l'envoyer à ta mère). En résumé, les coliques : c'est courant, ce n'est pas la faute de l'allaitement ni des parents, ce n'est pas forcément douloureux pour le bébé (même s'il semble avoir mal) et la meilleure façon d'y répondre est exactement ce que vous faites. L'article
"Regard anthropologique et signification des pleurs du nourrisson" est très intéressant également.
« Il faut tout un village pour élever un enfant », dit le proverbe africain. Le plus souvent ce n’est pas de comprendre vraiment pourquoi le bébé pleure qui nous fait défaut, c’est le village. Les parents sont isolés. Peu, finalement, ont eu autour d’eux la chance de voir des bébés naître et grandir. Ils manquent de modèles, ils s’interrogent sur tout, et comptent beaucoup sur les professionnels pour les informer. Mais qui peut les « co-réguler » le soir, quand le bébé pleure, alors que parfois une journée de séparation et de travail prend fin ? Qui peut les rassurer ? Comment faire pour que se plante et pousse la petite graine de la confiance en eux-mêmes et dans leur bébé ? Les informer, bien sûr, ce que nous apportent les données scientifiques sur le sujet, mais cela ne suffira pas : l’accompagnement est nécessaire
Courage, j'espère que l'ostéo va lui faire du bien