Je dois vous avouer qu'il y a des choses que je ne comprends pas trop.
J'ai l'impression que vous êtes plusieurs à vous dire que vous préférez un sujet commun où tout le monde parle, MAIS à ne pas poster sur la salle commune, parce que ce que devait être la salle commune a fait débat il y a 100 pages ou plus.
Il y a eu débat, mais le débat a été tranché, et le topic s'appelle même "La salle commune :
futurs parents, parents, etc.", donc il est absolument clair qu'on est la bienvenue quand on est enceinte et qu'on peut y parler de sa grossesse !
Je comprends que le débat ait refroidi sur le moment, mais il commence à dater, et à un moment je trouve dommage qu'on reste juste bloqué sur une première impression mauvaise, d'autant qu'elle ne concernait qu'une minorité de personnes au final vu que ça a été tranché en faveur d'un sujet pour tout le monde.
Je peux comprendre qu'on préfère un ECM grossesse, mais à partir du moment où on trouve que l'ECM grossesse séparé a ses limites, je ne comprends pas qu'on ne vienne pas poster sur la salle commune en fait. Bref, j'ai vraiment l'impression que l'autre forum est enterré sans lui laisser vraiment sa chance, mais qu'ici c'est à moitié déserté aussi, et du coup il n'y a plus vraiment d'endroit où se poser et ça m'attriste.
Et pour citer
@Vlan. (je crois, désolée si je mélange) qui parlait de virtuel, personnellement, je ne comprends pas cette distinction en fait. Je veux dire, OK, il y a plein de gens ici que je n'ai jamais rencontré (il y a aussi plusieurs personnes que j'ai déjà rencontré), mais en quoi ces discussions sont moins réelles que celles que j'aurais autour d'un café ? En quoi sont-elles moins réelles que celles que j'ai avec mes amis que j'ai connu autrement que par internet, mais avec qui je ne communique plus que par internet 99% du temps parce qu'ils vivent à l'autre bout de la France ou du monde ? Après, bien sûr, il y a tellement de monde qui passe ou est passé sur ce topic que je ne connais pas tout le monde au même degré, il y a des personnes que je connais à peine et d'autres avec qui j'ai échangé un peu plus, que ce soit sur ce topic ou en privé.
(après je comprends tout à fait qu'on s'investisse différemment dans le topic et qu'on n'ait pas le même ressenti que moi hein)
@little_girl Perso, l'important pour moi avant de faire des enfants avec mon mari, était de l'imaginer comme le père de mes enfants. Et pour que je puisse l'imaginer comme père de mes enfants, il fallait qu'on ait discuté un peu de comment on voyait les choses, et que je voie qu'on était en accord sur les grands principes de l'éducation qu'on souhaitait leur donner.
Quand je parle de grand principes, je veux dire que c'est les choses qui ne bougeront pas. Après, les détails organisationnels varient, on n'arrive pas toujours à appliquer ses principes à 100% (comme dans TOUT dans sa vie), mais bref, ça reste quand même la ligne directrice qu'on veut suivre.
Ici, en gros, on pourrait résumer ça au fait que l'enfant a DEUX parents et les deux en sont responsables tout pareil, chacun fait sa part, et au fait qu'on souhaite une éducation sans violences éducatives.
Après, je trouve que c'est bien de parler de plein de sujets liés aux enfants (
@Charentaise a fait un bon résumé de plein de sujets sur les bébés qui peuvent être abordés) parce que bon, quand on donne un grand principe comme ça faut voir si on met la même chose derrière, donc faut parler aussi un peu de concret. Tout en gardant en tête qu'à partir du moment où on est sur des modalités pratiques bah on ne sait pas exactement comment ça se passera.
Exemple simple : bébé dans notre chambre ou dans sa chambre. Notre position avant d'avoir un bébé, c'était de le mettre dans notre chambre au début, et pendant environ 6 mois (durée arbitraire fixée parce que ce sont les recommandations), tout en se disant qu'on pouvait remettre ça en cause et le changer de chambre avant ou après si on sentait sur le moment que c'était mieux.
Après bien sûr on n'en était pas à ce niveau de détail au moment d'arrêter la contraception, mais on avait déjà discuté de comment on voyait la parentalité.