Eh!
Qui c'est qui se tape une insomnie de 4h38?!! Ça faisait longtemps tien. Je ne suis plus enceinte pourtant. 
Quand j'ai regardé l'heure, il était pile 4h38. Ça m'a bien fait rire.
M'enfin c'est pas comme si j'avais une collègue malade et donc une putain de grosse journée qui m'attend...
@Niline @Martha Casserole et @la pieuvre
Courage pour les pleurs du soir.
J'en ai mangé pendant 3 mois et demi. C'était tellement dur.
Mon truc pour que ça dure moins longtemps (après je sais pas si ça marchait vraiment), c'était de m'isoler dans notre chambre, lumière éteinte, juste celle du couloir, loin de son père que ça enervait de façon monumentale et de toute stimulation, et de me coucher ou de m'asseoir pour le bercer et lui parler/lui chanter une chanson. Je lui disais de lâcher ce qu'il devait sortir, que c'était bien, que ça faisait du bien. Des fois discrètement je lisais quelques pages de walking dead tout en le berçant pour faire une mini pause dans ma tête puis je repartais. Je changeais régulièrement de position car parfois ça mettait fin à la crise.
C'était hyper dur. Mais c'est devenu plus facile le jour où on a mis un nom dessus (identifier les choses ça m'aide beaucoup) et que j'ai accepté le truc. Ok j'en ai pour la soirée, let's go. Bon généralement j'avais de la chance ça durait 1h.
Rien que d'y repenser, c'est dur. Il devenait violet et s'etouffait presque.
Mais une chose est sûre, c'est long mais ça passe.
Courage courage courage !


Quand j'ai regardé l'heure, il était pile 4h38. Ça m'a bien fait rire.
M'enfin c'est pas comme si j'avais une collègue malade et donc une putain de grosse journée qui m'attend...

@Niline @Martha Casserole et @la pieuvre
Courage pour les pleurs du soir.

J'en ai mangé pendant 3 mois et demi. C'était tellement dur.
Mon truc pour que ça dure moins longtemps (après je sais pas si ça marchait vraiment), c'était de m'isoler dans notre chambre, lumière éteinte, juste celle du couloir, loin de son père que ça enervait de façon monumentale et de toute stimulation, et de me coucher ou de m'asseoir pour le bercer et lui parler/lui chanter une chanson. Je lui disais de lâcher ce qu'il devait sortir, que c'était bien, que ça faisait du bien. Des fois discrètement je lisais quelques pages de walking dead tout en le berçant pour faire une mini pause dans ma tête puis je repartais. Je changeais régulièrement de position car parfois ça mettait fin à la crise.
C'était hyper dur. Mais c'est devenu plus facile le jour où on a mis un nom dessus (identifier les choses ça m'aide beaucoup) et que j'ai accepté le truc. Ok j'en ai pour la soirée, let's go. Bon généralement j'avais de la chance ça durait 1h.
Rien que d'y repenser, c'est dur. Il devenait violet et s'etouffait presque.
Mais une chose est sûre, c'est long mais ça passe.
Courage courage courage !
