@Chocapiix : Je comprends ou tu veux en venir, mais ces marques cruelty-free ne participent pas à la cruauté, mais récupèrent ce qui a déjà été fait.
Les marques qui sont passées par des tests de tox sur les animaux pour homologuer leurs matières (parce que bien évidemment, ce sont les matières premières, les actifs et les conservateurs qui sont testés, et non pas le produit fini) ont du sang sur les mains, et pas les marques cruelty-free puisqu'elles n'ont fait que se baser sur leurs résultats.
Par exemple, pour le phenoxyethanol, L'Oréal et consorts ont faits des tests irritants sur des animaux. Ils ont établis une limite de quantité de ce conservateur en fonction du type de produit, et du pourcentage minimal efficace sur les germes spécifiés pour être en accord avec la législation.
Ils ont sortis leur dossier d'homologation, pouf pouf ils ont fait leurs produits et les ont sortis sur le marché.
Quelques années après, je lance ma gamme cruelty-free contenant donc du phenox, et comme L'Oréal a établi que je devais pas dépasser 0.5% de phenox dans mon produit parce qu'au delà c'est irritant, et ben je me place à 0.4%. Emballé c'est pesé, pas besoin de faire des tests sur des lapins puisque je suis conforme à la législation et que d'après les études, je sais que ça ne sert à rien.
Tu vois ce qui me dérange ? On part du principe que ces marques respectent les animaux, mais nombres de marques ne passent plus par ces tests.
La marque pour laquelle je travaille a un laboratoire de biologie cellulaire, et travaille sur des épidermes humains, reconstruisent leurs peaux, pour faire leurs tests. Et ils ne se revendiquent pas cruelty-free parce qu'ils trouvent ça hypocrites, et que ça n'a aucun sens.
(T'inquiète, on a une discussion constructive sans jugement, c'est ce que j'apprécie
)