C'est le problème des cas limites: ça a très peu de chances de se réaliser mais on s'en sert toujours pour convaincre, qu'au fond, il y a des cas où la torture est justifiée.
Une expérience de pensée est justement là pour se débarrasser des détails parasitants pour se concentrer sur l'aspect éthique. Ça ne veut pas dire qu'il existe effectivement des cas où la torture est justifiée, juste qu'au fond les gens ne sont pas opposés à la torture en elle-même mais à son application dans des conditions douteuses.