« Les végans ont tout faux » : ceux qui agissent ont toujours tort

I

Isaliiine

Guest
@Isaliiine euh, tant mieux pour toi :dunno:

Tu parles de sols victimes de la pétrochimie... mais si on veut une autonomie alimentaire mettons à l'échelle d'une région, ou alors que chacun ait accès à de la terre pour son potager, il va falloir les réhabiliter ces terres, pas les snober comme déchets de l'agriculture industrielle. Et c'est là que des agriculteurs bio indépendants, gentiment "aidés" par la SAFER qui leur filent les terres les plus médiocres quand ils leur en filent, font leur part (en tout cas par chez moi). La perfection c'est inatteignable, il faut certes y tendre mais en attendant c'est peut-être pas la peine de cracher sur les efforts que certaines personnes font. Ce que je pratique c'est la conversion par l'estomac : tu vois, là c'est tel produit qui vient de tel producteur qui habite tel endroit, préparé comme ça c'est BON. Ben ça marche pas mal, et ça braque drôlement moins.

Ben oui ? Ma critique va envers un producteur qui cherche à répondre au cahier des charges du Bio afin d'assurer une pérennité économique seulement, et qui donc est susceptible d'avoir une belle étiquette Label Bio sur des produits issus de monoculture drastique et de labour. Qui va baiser un biotope entier. ça rejoint le topic le principal sur mon idée que si on est vegan, mieux vaut s'assurer des méthodes de culture de mon fournisseur de produits bio, histoire de check s'il n'est pas en train de bousiller l'écosystème de son champ. Mon message c'est justement qu'il y a Bio et Bio : Tu peux répondre au Label Bio tout en continuant à niquer ton sol et ses petits habitants. L'aspect pétro, c'est juste un facteur d'évaluation supplémentaire de consommateur à appliquer selon ton propre cahier des charges. Si tu habites en Haute-Normandie près des plateformes Total & ExxonMobil, ce n'est pas grave, ton champ fait peut-être grise mine mais c'est réversible la plupart du temps par des méthodes de permaculture.
Tout mon propos est justement une invitation à consommer local, indépendant, et bio authentique. Consommer chez des producteurs qui aime leur produit et donc tous les paramètres qui englobent ce produit. Et ces producteurs-là, il y en a de plus en plus.
 
26 Novembre 2005
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Lille
@Kanou18 pour les petites fermes et les néo-ruraux, on pense à ce genre d'initiative par exemple :

Véronique et Nicolas, des éleveurs attentifs au bien-être de leurs cochons

Extrait :
Véronique, Ferme du Loriot : Nicolas et moi travaillions avant dans des bureaux, et nous nous posions plein de questions sur l'écologie. Nous nous sommes demandé comment agir concrètement, et comment vivre et travailler avec les animaux, d’où notre orientation vers l’élevage en 2011. Nous avons choisi le cochon par sympathie pour l’animal lui-même. La question du plein air était évidente car nous voulions élever nos cochons dans les meilleures conditions possibles. L'entretien de parcs, et le soin aux cochons au quotidien représente beaucoup plus de travail qu'en bâtiment, mais le fait de pouvoir être témoin du plaisir des cochons qui gambadent dans l'herbe, ou qui font leur sieste sous un beau soleil d'hiver, c'est extrêmement gratifiant. Et le choix du bio, c’est pour des raisons environnementales.

Autre exemple :

Paysan-boulanger : la filière qui gagne du terrain
Extrait :
Cultiver, moudre, panifier, enfourner et vendre au client. C'est précisément le cas de Clément Aude, ex-responsable de centre équestre et jadis élagueur. Aujourd'hui, chez lui, au Mas Saint-Victor de Bonnieux, ce trentenaire, installé avec sa compagne Malvina Malbec en Gaec (groupement agricole d'exploitation en commun), veut passer la vitesse supérieure. "Du fait qu'on est deux pour gérer 30 hectares de blé et lavande, pour l'instant, je ne panifie que trois demi-journées par semaine, pour fabriquer 60 kg de pain demi-complet. De plus, on ne fait de la vente directe au mas que le mercredi de 17 à 19 heures.C'est trop peu."
 
Dernière édition :
18 Février 2013
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Tout d'accord avec @AFRO INSOLENTE mais je rajouterais qu'il n'y a même pas besoin de passer tant de temps que ça a à cuisiner. Gros scoop, je mange végétalien et j'aime pas particulièrement cuisiner + je suis une grosse flemmarde. Des féculents, des légumes, un steak de soja, et voilà un bon petit repas végétalien pas plus cher qu'une assiette omni. Au kilo c'est généralement moins cher, les steaks de soja. Sinon y a les légumineuses qui sont riches en protéines, à voir si le ventre le supporte. Mais ça me prend pas plus de temps ou d'argent de manger végétalien. Ce qui peut coûter cher c'est le lait végétal mais 1) on n'en a pas forcément besoin et 2) si on en a juste envie, ben ce sera sûrement remboursé en supprimant les autres produits qui ne sont pas vegans.

Et pour le fait de manger de la viande locale... Je ne sais pas si ma carte est correcte mais dans ma région il n'y aurait que des abattoirs halal/casher. Donc non, local ça veut pas forcément dire moins de souffrance.
 
30 Mars 2012
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Paris
Cette tribune sur Libé est juste ridicule, complètement anachronique, on croirait les arguments de mon grand-oncle à Noël...

Je me rappelle, au moment de la crise du porc en 2015, un reportage où un éleveur racontait, les larmes aux yeux, en caressant amoureusement un cochon, qu'il ne pouvait plus rentrer dans ses frais parce que même à son rythme habituel de 200 porcs "sortis" (terme pudique pour dire "envoyés à l'abattoir") par jour, ce n'était plus rentable donc il fallait que l'Etat l'aide, intervienne dans les tarifs etc... Ce monsieur envoyait donc 200 animaux par jour à l'abattoir pour gagner sa vie, en faisait donc rentrer autant, et pensait sincèrement aimer ses animaux. Son activité à beau être ancestrale, elle n'était plus viable, écologiquement nuisible, moralement paradoxale, mais le but du reportage était que l'on compatisse tous aux malheurs de ce pauvre homme, dont le chômage potentiel semble être un martyr bien plus grave que celui des milliers d'animaux qui passent chez lui.
Sans parler de la visite obligatoire de tous les politiques franchouillards au salon de l'agriculture, fleuron de notre beau pays... Surtout n'utilisons pas nos impôts pour mettre réellement en pratique la transition écologique dont on nous rabat les oreilles, chercher des nouveaux modes de production, d'alimentation, de distribution : non, donnons plutôt des subventions à des activités obsolètes jusqu'au bout :free:!!

Enfin il n'y a pas de mouvement sans friction. La France ne sera clairement pas précurseuse dans ce domaine (comme elle l'est rarement, voir jamais) mais j'ai l'impression que les choses vont dans le bon sens.
 
18 Mars 2018
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Là où le vent rend fou
En France, être végane est très globalement accessible (je n'ai pas dis que c'était facile de l'être par contre). Les aliments sur lesquels reposent le végéta*isme sont peu chers même le tofu c'est pas si cher que ça et le seitan (pas sheitan mais ça m'a fait rire :yawn:) c'est encore plus économique puisque tu peux le faire toi même avec du gluten de blé. Etre végan.e c'est expensive as fuck quand on mange du transformé en balle.

Tout à fait d'accord. Et puis, scoop:on n'est pas obligé non plus de manger du tofu et du seitan quand on est végé ou végan. La fameuse "carence de protéines", c'est un gros mythe. Si on mange varié, même sans soja (c'est mon cas), on a tout ce qu'il faut.. (sauf la B12 mais c'est un autre sujet)

Et pareil que @Thihaly , team flemmarde et j'aime pas forcément cuisiner, mais des crudités, 3 légumes et une céréale, ça prend pas des heures...
 
30 Mars 2012
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Paris
@Flowercream- Vu que les végétarien représentent 2% de la population, que les véganes purs et durs sont une part minime de ce groupe, et vu l'entousiasme des politiques pour l'agriculture intensive, je pense que c'est pas demain que l'élevage, l'abattage et la consommation d'animaux vont être interdits...
Mais soit, imaginons la situation la plus réaliste. Déjà ça ne se ferait pas du jour au lendemain, en en aucun cas je ne peux imaginer qu'ils soient relachés dans la nature. À mon avis on les tuerait tous, à l'exception des animaux non destinés à la consommation humaine (domestiques, recherche, alimentation des animaux carnivores domestiques et de zoos, industrie du cuir etc). Déjà en citant toutes ces activités qui tirent profit des carcasses, j'imagine mal un gouvernement interdire l'élevage mais continuons. Pour reprendre mon éleveur de porcs cité plus haut, il "sort" donc 200 porcs par jour. Admettons qu'il en ait 1200 en permanence (taille moyenne d'un élevage porcin). Puisqu'il n'en fait plus rentrer, il lui faudra 6 jours pour "sortir" tous ses porcs, donc disons que se nourrir de porc serait autorisé encore un mois. Voilà, on a plus d'élevage destiné à l'alimentation humaine.

Il resterait quelques individus des races classiques (créées artificiellement comme tu le dis, j'ai donc du mal à imaginer qu'on déplore leur perte : on a été assez immoraux pour les créer, on ne va pas subitement devenir de grands humanistes qui veulent à tout prix garder des poulets transgéniques qui à la pré-adolescence sont trop déjà trop gros pour tenir sur leurs pattes). En France en tous cas, j'imagine mal une réintroduction dans la nature, vu comme on a déjà du mal à réintroduire des animaux clairement sauvages. L'humain fançais n'aime pas trop partager son pays avec des animaux français ! Mais les chevaux, les boeufs, les porcs, les poulets, pourraient se réadapter si le cas se présentait, des exemples existent.

Quand à les nourrir à perte jusqu'à leur mort... Effectivement les éleveurs ne feront jamais un truc à perte pour des êtres qu'ils considèrent comme une matière première. Une fois sans intérêt commercial, faudrait pas compter sur leur bon coeur pour s'en occuper, on voit l'état des animaux blessés laissés dans des cages et piétinés par leurs congénères dans plusieurs vidéos de L214. Mais peut-être que les millions injectés par l'Etat (enfin, par nous quoi) pour la poursuite de leur activité et leur compétivité pourraient plutôt servir à leur reconversion ?
 
22 Février 2015
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Bon sinon je suis vegan et d'accord dans l'ensemble avec l'article de Clémence et beaucoup d'interventions que j'ai vues ici.
Par contre j'avoue ne pas comprendre les accusations de "conflits d'intérêts". D'une part, j'ai eu beau chercher, je n'ai trouvé aucune mention de l'implication de Paul Ariès chez UshuaiaTV (mais bon, même si c'était le cas, je ne vois pas en quoi ça invalide son engagement écologique, je trouve certaines de ses idées très intéressantes (bon pas sur le véganisme par contre), et il est très proche des milieux décroissants donc une frange très politique de l'écologie).
Je n'ai pas trouvé de sources non plus concernant Frédéric Denhez qui serait manager dans une école d’hôtellerie.
Pour Jocelyne Porcher, effectivement elle est ancienne agricultrice, maintenant je ne vois pas en quoi c'est surprenant ou problématique . Ces gens là ont effectivement des affinités avec les milieux de l'élevage et ça s'en ressent logiquement sur leurs opinions du véganisme.
Il faut arrêter de voir des conflits d'intérêts partout, d'autant plus que cette tribune ne revendique pas grand chose, si ce n'est une opinion.
 
Dernière édition :
21 Avril 2016
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@Kanou18 pour les petites fermes et les néo-ruraux, on pense à ce genre d'initiative par exemple :

Véronique et Nicolas, des éleveurs attentifs au bien-être de leurs cochons

Extrait :
Véronique, Ferme du Loriot : Nicolas et moi travaillions avant dans des bureaux, et nous nous posions plein de questions sur l'écologie. Nous nous sommes demandé comment agir concrètement, et comment vivre et travailler avec les animaux, d’où notre orientation vers l’élevage en 2011. Nous avons choisi le cochon par sympathie pour l’animal lui-même. La question du plein air était évidente car nous voulions élever nos cochons dans les meilleures conditions possibles. L'entretien de parcs, et le soin aux cochons au quotidien représente beaucoup plus de travail qu'en bâtiment, mais le fait de pouvoir être témoin du plaisir des cochons qui gambadent dans l'herbe, ou qui font leur sieste sous un beau soleil d'hiver, c'est extrêmement gratifiant. Et le choix du bio, c’est pour des raisons environnementales.

Autre exemple :

Paysan-boulanger : la filière qui gagne du terrain
Extrait :
Cultiver, moudre, panifier, enfourner et vendre au client. C'est précisément le cas de Clément Aude, ex-responsable de centre équestre et jadis élagueur. Aujourd'hui, chez lui, au Mas Saint-Victor de Bonnieux, ce trentenaire, installé avec sa compagne Malvina Malbec en Gaec (groupement agricole d'exploitation en commun), veut passer la vitesse supérieure. "Du fait qu'on est deux pour gérer 30 hectares de blé et lavande, pour l'instant, je ne panifie que trois demi-journées par semaine, pour fabriquer 60 kg de pain demi-complet. De plus, on ne fait de la vente directe au mas que le mercredi de 17 à 19 heures.C'est trop peu."

Désolée mais .. et alors? :dunno: Bien sûr que je connais ces initiatives et que les néoruraux communiquent beaucoup sur leur "retour à la terre". Mais je ne comprends pas le but de ton intervention ? Je peut te trouver des dizaines d'initiatives de gens qui ne sont pas des néo-ruraux (comment on dit ? Des vieux ruraux ? :rolleyes:) et qui eux aussi sont sensibles à l'écologie et au bien être animal. Dans l'élevage, une majorité des éleveurs sont sensibles au bien être des animaux, ce n'est pas une initiative des néo-ruraux :rolleyes: Ou alors c'est une vision bien restrictive du monde de l'élevage. Attention ! Je ne nie pas qu'il ait des c**, des gens cruels ou malintentionnés. Mais pitié, peut on éviter de faire ce genre de généralités ici ?

@Spill je suis d'accord avec ton intervention, et qui mieux que des éleveurs ou des gens de l'inra pour parler des problématiques d'élevage ? :dunno: Encore une fois je ne dis pas qu'ils doivent être les seuls à donner leur avis (sinon pas de débat) mais je trouve qu'on laisse peu de place aux professionnels de l'élevage dans ce débat (mais ce n'est peut être que mon ressenti ? :lunette:).

@Vadim Je ne veux pas paraître virulente mais tes propositions sont irréalistes. Je le dis vraiment sans animosité, ton message m'inspire plutôt des pistes de réflexions et que je suis ouverte à toute réponse :fleur:
À mon avis on les tuerait tous, à l'exception des animaux non destinés à la consommation humaine (domestiques, recherche, alimentation des animaux carnivores domestiques et de zoos, industrie du cuir etc).
Ce serait un désastre écologique, on a besoin des herbivores et des ruminants dans les écosystèmes :neutral: (cycle du carbone et de l'azote par exemple, je veux pas faire la meuf qui ré-utilise ses arguments mais l'écologie est une discipline scientifique et certains passent des années à l'étudier je ne vais même pas tenter de le résumer en deux lignes je ferai des conclusions trop hâtives et donc fausses :ninja:)
Mais les chevaux, les boeufs, les porcs, les poulets, pourraient se réadapter si le cas se présentait, des exemples existent.
Les animaux de rente actuels ont été domestiqués il y a des milliers d'années (bien avant le chien et le chat qui est toujours considéré comme "en cours de domestication".) Ils ont donc évolué avec nous, ils ne sont plus des animaux sauvages et le retour à cet état serait très très très difficile (pour ne pas dire impossible). Je veux bien imaginer un retour possible pour les races les plus rustiques et les moins domestiquées (on vire donc la majorité des animaux actuels qui eux seraient incapables de s'adapter pour pleins de raisons : La vache laitière qui produit trop et meurt d'infection, les veaux allaitants trop fragiles, les mises bas compliquées, les chevaux de races "sportives" également trop fragiles .. :hesite:) On garde donc un capital génétique très très faible et serait-ce assez pour garantir la pérennité de ces animaux ?
Je ne défends pas l'élevage avec ce point : au contraire, on a été très (trop) loin dans les sélections génétiques, c'est un fait. Je dis juste que je n'ai pas d'idée pour s'en sortir :dunno:
 
Dernière édition :
28 Avril 2015
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D’ailleurs je me posais une question. Je vois de plus en plus de gens qui se revendiquent végétariens / veganes etc ne pas acheter de cosmétiques si ils ne sont pas « cruelty free ». Je vois rien de mal à ça mais en revanche ces mêmes gens ont aucun problème à acheter des vêtements venant de l’exploitation d’etre humain.

Alors bien sûr je dis pas que ça concerne tous les vegans / végétariens, loin de la. Mais j’ai quand meme l’impression que certains vont chercher une marque cruelty free quitte à abandonner leur ancienne marque qui existe en chine aussi mais se foutent complètement que leur jean a été fait au bengladesh et qu’un mec va sûrement choper un cancer à cause des produits chimiques utilisés.

J’ai l’impression au final que ça donne des gens (certains pas tous là encore) qui ont plus d’empathie pour la petite vache ou le petit mouton que l’humain qui va travailler dans certaines grandes compagnies textiles ou agroalimentaires comme ouvrier.
 
21 Avril 2016
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@Ploue Je réponds juste rapidement et je t'envoie ce soir (ou je posterai ici) des sources. Je voulais juste te dire que j'aime ton message, que je n'ai en aucun cas la présomption de détenir la vérité et que tes questions sont tout à fait légitimes. Et que bien sûr je n'ai pas la réponse :lunettes: On peut tout imaginer avec la nature :-) Mais alors il faut approfondir le débat plus que "relâchons les vaches et les cochons !", moi je ne demande que ça :top: Et je pense que là est une des différences entre pro-élevage et anti-élevage et que c'est une différence idéologique (on aspire à des idéaux différents), on n'imagine pas l'avenir de la même manière donc forcément on aspire pas au même mode de vie mais ça ne veut pas dire que l'un de nous a tort.
 
28 Avril 2015
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@Ploue

On se sent concerné ?

On a tout à fait le droit d’avoir un avis critique sur un mouvement ou du moins une partie d’un mouvement et on a encore plus le droit d’avoir cet avis quand certains se montrent assez donneurs de leçon, tout simplement.

Est ce que ça veut dire qu’il ne faut pas être végétarien / vegan ? Non j’ai jamais dit ça.
Mais je trouve cette incohérence assez présente pour la faire remarquer c’est tout.

C’est fou de se sentir toujours agressé pour tout et n’importe quoi
 

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