@Kanou18 pour les petites fermes et les néo-ruraux, on pense à ce genre d'initiative par exemple :
Véronique et Nicolas, des éleveurs attentifs au bien-être de leurs cochons
Extrait :
Véronique, Ferme du Loriot : Nicolas et moi travaillions avant dans des bureaux, et nous nous posions plein de questions sur l'écologie. Nous nous sommes demandé comment agir concrètement, et comment vivre et travailler avec les animaux, d’où notre orientation vers l’élevage en 2011. Nous avons choisi le cochon par sympathie pour l’animal lui-même. La question du plein air était évidente car nous voulions élever nos cochons dans les meilleures conditions possibles. L'entretien de parcs, et le soin aux cochons au quotidien représente beaucoup plus de travail qu'en bâtiment, mais le fait de pouvoir être témoin du plaisir des cochons qui gambadent dans l'herbe, ou qui font leur sieste sous un beau soleil d'hiver, c'est extrêmement gratifiant. Et le choix du bio, c’est pour des raisons environnementales.
Autre exemple :
Paysan-boulanger : la filière qui gagne du terrain
Extrait :
Cultiver, moudre, panifier, enfourner et vendre au client. C'est précisément le cas de Clément Aude, ex-responsable de centre équestre et jadis élagueur. Aujourd'hui, chez lui, au Mas Saint-Victor de Bonnieux, ce trentenaire, installé avec sa compagne Malvina Malbec en Gaec (groupement agricole d'exploitation en commun), veut passer la vitesse supérieure. "Du fait qu'on est deux pour gérer 30 hectares de blé et lavande, pour l'instant, je ne panifie que trois demi-journées par semaine, pour fabriquer 60 kg de pain demi-complet. De plus, on ne fait de la vente directe au mas que le mercredi de 17 à 19 heures.C'est trop peu."
Véronique et Nicolas, des éleveurs attentifs au bien-être de leurs cochons
Extrait :
Véronique, Ferme du Loriot : Nicolas et moi travaillions avant dans des bureaux, et nous nous posions plein de questions sur l'écologie. Nous nous sommes demandé comment agir concrètement, et comment vivre et travailler avec les animaux, d’où notre orientation vers l’élevage en 2011. Nous avons choisi le cochon par sympathie pour l’animal lui-même. La question du plein air était évidente car nous voulions élever nos cochons dans les meilleures conditions possibles. L'entretien de parcs, et le soin aux cochons au quotidien représente beaucoup plus de travail qu'en bâtiment, mais le fait de pouvoir être témoin du plaisir des cochons qui gambadent dans l'herbe, ou qui font leur sieste sous un beau soleil d'hiver, c'est extrêmement gratifiant. Et le choix du bio, c’est pour des raisons environnementales.
Autre exemple :
Paysan-boulanger : la filière qui gagne du terrain
Extrait :
Cultiver, moudre, panifier, enfourner et vendre au client. C'est précisément le cas de Clément Aude, ex-responsable de centre équestre et jadis élagueur. Aujourd'hui, chez lui, au Mas Saint-Victor de Bonnieux, ce trentenaire, installé avec sa compagne Malvina Malbec en Gaec (groupement agricole d'exploitation en commun), veut passer la vitesse supérieure. "Du fait qu'on est deux pour gérer 30 hectares de blé et lavande, pour l'instant, je ne panifie que trois demi-journées par semaine, pour fabriquer 60 kg de pain demi-complet. De plus, on ne fait de la vente directe au mas que le mercredi de 17 à 19 heures.C'est trop peu."
Dernière édition :
!!
) c'est encore plus économique puisque tu peux le faire toi même avec du gluten de blé. Etre végan.e c'est expensive as fuck quand on mange du transformé en balle.

Bien sûr que je connais ces initiatives et que les néoruraux communiquent beaucoup sur leur "retour à la terre". Mais je ne comprends pas le but de ton intervention ? Je peut te trouver des dizaines d'initiatives de gens qui ne sont pas des néo-ruraux (comment on dit ? Des vieux ruraux ?
).
(cycle du carbone et de l'azote par exemple, je veux pas faire la meuf qui ré-utilise ses arguments mais l'écologie est une discipline scientifique et certains passent des années à l'étudier je ne vais même pas tenter de le résumer en deux lignes je ferai des conclusions trop hâtives et donc fausses
)
) On garde donc un capital génétique très très faible et serait-ce assez pour garantir la pérennité de ces animaux ?
Et je pense que là est une des différences entre pro-élevage et anti-élevage et que c'est une différence idéologique (on aspire à des idéaux différents), on n'imagine pas l'avenir de la même manière donc forcément on aspire pas au même mode de vie mais ça ne veut pas dire que l'un de nous a tort.