En ce qui concerne les dosages du genre toxicité
@Cornélie le plus souvent maintenant c'est fait avec des cultures de cellules (poke
@BiBee ). En fait comme l'a dit
@BiBee c'est souvent moins cher une méthode alternative comme la culture de cellules/tissus/organes, donc on les privilégie. (J'étais pas sûre sur ce point, mais c'est logique en fait poke
@Ghost wind )
Ce qui n'est pas encore fait en alternatif, je pense que c'est soit dans les cas où l'ont ne comprends pas encore le fonctionnement, soit dans les cas où la méthode est plus chère (j'en ai en tête mais je suis pas certaine que ce soit pour cette raison). Une dernière raison possible : on est pas sûre que cette méthode soit entièrement efficace, on attends sa validation. C'est possible aussi que parfois les chercheurs ne soient pas toujours informés d'alternatives et préfèrent utiliser des animaux, mais vu que y'a un comité qui vérifie derrière, je doute un peu de cette hypothèse.
J'ai vu pleins de tests assez méchants qu'on faisait sur les yeux de lapins pour déterminer l'origine d'une infection chez un patient (selon la réaction sur l'oeil de l'animal, on pouvait savoir le genre précis de la bactérie qui a contaminé le patient, par exemple).
Maintenant ça ne se fait plus, on utilise des réactifs où on cultive les bactéries et qui poussent/ne poussent pas/produisent x ou y substances changeant le milieu selon le genre de la bactérie.
@Anera Vu comment l'Homme se place au dessus des animaux, ça me semble guère possible. Quand on utilise pas d'animaux, on préfère utiliser des alternatives, comme ci-dessus
Ça peut être :
- de la culture de cellules (pour étudier de nouvelles molécules pharmacologiques par exemple ou le fonctionnement cellulaire),
- des organes isolés (poke
@BiBee J'ai entendu dire qu'avant on faisait un TP "cœur isolé" donc je crois bien que c'est possible, même que ça doit être comme ça qu'on le tient en vie pendant un transplant, et j'ai vu ça aussi dans une vidéo assez glauque sur des têtes de chiens isolées
-au passage, ça, ça serait certainement refusé de nos jours
-)
- des modèles accellulaire avec l'utilisation de biologie moléculaire (on étudie directement l'ADN et la génétique)
- des modèles informatiques
- de l'imagerie
En ce qui concerne ne pas faire souffrir l'animal, même lors de sa mort. Je pense surtout qu'on réduit au minimum, pendant le sommeil/anesthésie. Pour le savoir, il y a dû avoir malheureusement des expériences. Je sais que c'est un sujet qui reviens souvent en TPE et j'ai peut être des camarades qui ont fait ce sujet (en théorie) l'année dernière, je vais me renseigner
@adita J'approuve totalement.
Et maintenant je vais réviser mon partiel portant sur la culture cellulaire & les méthodes alternatives