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Pour le "j'en ferais bien mon quatre heure" c'est vrai que dans le sens inverse on aurait hurlé. Mais du fait que ça ne soit pas systémique dans ce sens là rend il aussi grave et sexiste les propos de ce genre? (hypothèse, pas constat)
Perso, je préférais cet article. OK, je sors.
Pour le "j'en ferais bien mon quatre heure" c'est vrai que dans le sens inverse on aurait hurlé. Mais du fait que ça ne soit pas systémique dans ce sens là rend il aussi grave et sexiste les propos de ce genre? (hypothèse, pas constat)
L'excuse du "mood de la soirée, des copines" me met fortement mal à l'aise parce que, concretement, ce mood a justifié tellement d'agressions sexuelles...Ah bah, je me suis posé la même question. Car si je fais par rapport à "comment je fais dans ma vraie vie", quand je sors en soirée et y'a un mec charmant... Bah je peux dire "ah tiens, j'en ferais bien mon quatre heure" (même si j'utilise pas cette formule d'habitude mais nous allons rester dans le contexte). Je lui dis pas à lui directement, en vrai j'ai aucunes intentions même envers lui, c'est dans le mood de la soirée, des copines, c'est dans une ambiance qui peux être ouverte à la drague, etc. Du coup, mon comportement est sexiste et grave ?
L'excuse du "mood de la soirée, des copines" me met fortement mal à l'aise parce que, concretement, ce mood a justifié tellement d'agressions sexuelles...
Idem pour le "je lui dis pas à lui". Concretement quand des mecs parlent entre eux, avec des termes dégradants, de meuf, on ne va pas les excuser parce que les meufs en question ne sont pas la.
Mais après tu met le doigt sur un truc cool : la reciprocité.