Mur des Lamentations

[AnonymousUser]

Si je survis à la journée d'aujourd'hui niveau fatigue, je survivrai à tout.

 

[Dalian]

Ce matin, je déprime sur tout, je râle sur tout, j'ai envie de pleurer... Tout me file le bourdon : le boulot, ma famille, mes "potes"...

Et puis, une révélation : je vais avoir mes ragnagnas. Tout va rentrer dans l'ordre, donc.

 

[Gorgophoné]

@Sow² : je suis comme toi, très attachée aux anniversaires. On fête le jour de la venue au monde quoi ! Ca n'est pas superficiel d'être attachée à cette fête. Quand les miens ne se passent pas comme prévu, je me sens aussi toute malheureuse.
Il y à certes des problèmes plus graves, mais je comprend ton mal être

 

[AnonymousUser]

Ce soir, ça ne va pas. Et je n'ai personne à qui en parler, à qui j'oserais me confier. A part lui, et il n'est plus là pour moi.

 

[Bazinga-]

Je crois avoir besoin d'un peu d'aide.



Mais à qui demander ? A qui en parler ?

 

[Pouet_]

Je ne sais pas comment je vais faire pour vivre sans lui jusqu'à Février. Cette distance me tue, j'ai besoin de lui !

 

[KittyKiller]

Je fume trop, en ce moment.

 

[AnonymousUser]

J'en peux plus de monter des meubles, me coucher tard, et monter des meubles encore et encore. J'ai envie de me poser et d'arrêter de courir partout. Et en plus je suis devenue fumeuse occasionnelle.

 

[Cygnus]

Je viens de lire une description plus en détail que ce que je ne connaissais du fonctionnement d'une maladie, et voilà que je viens de me créer une angoisse et une phobie en plus Heureusement que je suis allongée, parce que là j'en ferais un malaise, rien qu'en y pensant et en imaginant ce type de processus en moi
Et maintenant je vais vivre avec la crainte perpetuelle que cela m'arrive...

 

[AnonymousUser]

Putain j'ai envie de pleurer tellement je suis fatiguée et tant m'occuper de mon fils aujourd'hui m'apparait comme une épreuve insurmontable

 

[Hotch]

J'ai été bosser, enfin j'ai essayé d'aller bosser. A l'arrêt de bus, j'ai craqué. J'ai quand même pris le bus, je suis arrivée au boulot, j'ai à peine franchit la porte que je me suis effondrée en larmes. Ma responsable m'a dit de rentrer chez moi, me reposer, et de l'appeler ce midi pour voir si ça va mieux et si je retourne bosser. Le contre-coup est super violent. J'ai tenu toute la semaine dernière sans craquer au taf. Mais la journée d'hier, le fait d'être rentrée tard, d'avoir mal dormit, ce matin j'ai craqué. J'ai envie d'hurler mais je n'y arrive pas. Je suis comme anesthésiée. Mon cerveau est au point mort.

 

[Arizona.]

Rentrée de merde. Je déteste ma classe entière (sauf 2 personnes).