Hello,
Je n’arrive pas non plus à vous citer, donc je copie votre phrase : « Ensuite, les idées n'existent pas en-dehors du monde. Penser que les femmes doivent rester à la cuisine, c'est une idée. Penser que l'homosexualité est contre-nature, c'est une idée. Et tout le monde a droit à ses idées. Comme tout le monde a le droit de les critiquer. »
Tout le monde a le droit de critiquer des idées, évidemment. Nous sommes d’accord là-dessus. Mais là, il s’agit de s’attaquer à des individus, dans votre article, pas seulement à des idées. C’est ce problème que je souligne.
Vous indiquez que personne n’est mentionnée, mais clairement, aucune féministe avertie n’est dupe quant aux personnes que vous insultez. Mais, certes, leurs noms ne sont pas indiqués textuellement.
En revanche, j’aurai sincèrement voulu connaitre votre réponse s’agissant de la question de l’insulte « transphobe » qui s’applique systématiquement pour quiconque s’interroge sur le concept de l’identité de genre mais qui ne s’applique jamais dans d’autres cadres (mon exemple avec la religion). Comment justifiez-vous cela ?
Je vous cite à nouveau : « On est sur des personnes qui ont été jusqu'au gouvernement dans l'espoir de faire modifier un projet de loi, et d'en exclure les thérapies de « conversion » des personnes trans. » Quelles sont vos sources ? De mon côté, j’ai tenté de savoir précisément de quelle teneur était cet entretien au gouvernement mais je n’ai pas réussi à trouver de sources fiables alors je suis très intéressée pour que vous partagiez vos sources précises.
Je reprends d’autres de vos phrases : « Des personnes millitantes qui diffusent leur idéologie, appellent à signer des pétitions, à interpeller nos dirigeants et dirigeantes. » En effet, c’est le cas ici. Mais, en toute objectivité c’est aussi le cas des personnes transactivistes de diffuser leur idéologie et d’interpeller des dirigeant.es politiques.
Chaque camp essaie de convaincre l’autre, finalement. Les moyens employés sont les mêmes. Sauf que les féministes radicales n’incitent pas à la haine envers d’autres femmes…
En tout cas, sachez que je suis très intéressée de comprendre plus précisément vos points de vue sur le sujet. Débattre des idées sans haine, c’est ça du vrai féminisme.
Je n’arrive pas non plus à vous citer, donc je copie votre phrase : « Ensuite, les idées n'existent pas en-dehors du monde. Penser que les femmes doivent rester à la cuisine, c'est une idée. Penser que l'homosexualité est contre-nature, c'est une idée. Et tout le monde a droit à ses idées. Comme tout le monde a le droit de les critiquer. »
Tout le monde a le droit de critiquer des idées, évidemment. Nous sommes d’accord là-dessus. Mais là, il s’agit de s’attaquer à des individus, dans votre article, pas seulement à des idées. C’est ce problème que je souligne.
Vous indiquez que personne n’est mentionnée, mais clairement, aucune féministe avertie n’est dupe quant aux personnes que vous insultez. Mais, certes, leurs noms ne sont pas indiqués textuellement.
En revanche, j’aurai sincèrement voulu connaitre votre réponse s’agissant de la question de l’insulte « transphobe » qui s’applique systématiquement pour quiconque s’interroge sur le concept de l’identité de genre mais qui ne s’applique jamais dans d’autres cadres (mon exemple avec la religion). Comment justifiez-vous cela ?
Je vous cite à nouveau : « On est sur des personnes qui ont été jusqu'au gouvernement dans l'espoir de faire modifier un projet de loi, et d'en exclure les thérapies de « conversion » des personnes trans. » Quelles sont vos sources ? De mon côté, j’ai tenté de savoir précisément de quelle teneur était cet entretien au gouvernement mais je n’ai pas réussi à trouver de sources fiables alors je suis très intéressée pour que vous partagiez vos sources précises.
Je reprends d’autres de vos phrases : « Des personnes millitantes qui diffusent leur idéologie, appellent à signer des pétitions, à interpeller nos dirigeants et dirigeantes. » En effet, c’est le cas ici. Mais, en toute objectivité c’est aussi le cas des personnes transactivistes de diffuser leur idéologie et d’interpeller des dirigeant.es politiques.
Chaque camp essaie de convaincre l’autre, finalement. Les moyens employés sont les mêmes. Sauf que les féministes radicales n’incitent pas à la haine envers d’autres femmes…
En tout cas, sachez que je suis très intéressée de comprendre plus précisément vos points de vue sur le sujet. Débattre des idées sans haine, c’est ça du vrai féminisme.