@A Kane l'hypocrisie habituelle, ce n'est pas obligatoire, c'est juste... une pression sociale immense associée à un passeport qui fait qu'il est presque impossible de se déplacer sans... et presque impossible de travailler sans. L'Angleterre prendra le pli comme les autres.les anglais qui n'obligent pas à la vaccination du tout
Non, le problème fondamental de ces statistiques c'est qu'elles sous-estiment gravement car il faut faire l'action de rapporter l'évenement, ce qui fait qu'1 problème sur 10 est rapporté...
Et à votre avis avec une liberté de la presse comme en Angleterre, qui s'intéressera à tous les événements post-vaccinaux non rapportés ?
C'est justement en Angleterre, le pays d'AstraZeneca, qu'avait commencé la cabale contre les docteurs qui ont remarqué le lien entre les vaccins (notamment le ROR adjuvanté à l'aluminium) et l'autisme de bas niveau (celui qui rend totalement dépendant). Parler de ce lien est devenu un TABOU absolu, alors que pour des milliers de familles la corrélation est totale.
Et qu'est-ce qu'on fait pour masquer ce lien ? on a entre autres donné le nom d'autisme à des cas qu'on aurait autrefois catégorisé autrement. Par exemple, les ados un peu bizarres et en retrait. C'est l'origine du "spectre autistique"...
...revenons au Covid @L'Oeil de la Lune @A Kane
la probabilité est beaucoup beaucoup moins importante qu'en cas de covid19
Quelle naïveté vis-à-vis des statistiques officielles !les vaccins ont moins de chance d'avoir un impact négatif significatif sur ta santé que choper le covid
Passons sur le fait que les vaccins n'empêchent pas du tout d'avoir de nouveau un test positif, ou une grippe/pneumonie qu'on ne classera pas covid... les chiffres de 95% sont tirés des communiqués de presse, c'est de la publicité pas de la science...
Il vous manque, pour tout comprendre, l'expérience des précédentes campagnes de vaccination.
Car quand ce sera trop tard, on découvrira comme à chaque fois la même chose : la paranoïa était totalement bidon, par contre l'empoisonnement vaccinal est bien réel.
- dans les années 1990, la vaccination de masse contre l'hépatite B (qui disait-on "se transmet par le baiser") a provoqué une hausse considérable des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante. Très bien détaillé dans le film de Lina B. Moreco, Silence, on vaccine ! dont ce passage entre 21' et 24' :
- en 2009, la Suède a vacciné en masse contre le H1N1 avec le Pandemrix. Effet secondaire : des milliers cas de narcolepsie permanente (voir ausi cet article de RFI) . Et que découvre-t-on quelques années plus tard ? Que le H1N1 avait été appelé "pandémie" sous la pression de l'OMS et de Sanofi et après un nouveau décompte, il n'y avait que quelques centaines de cas... là encore, manipulation statistique et médiatique, mais qui a permis d'énormes bénéfices. Il y a eu plus de victimes du vaccin que du H1N1. Dans ce reportage d'Arte on rappelait bien que ce n'était... qu'une grippe :
- depuis 2006, on vaccine les jeunes filles contre "le" papillomavirus, censé causer un cancer du col de l'utérus ( à grand renfort de communication rose-fuschia girl power qui a bon dos ). 1) Le Gardasil de Sanofi et Cervarix de Merck n'ont pas empêché la survenue dudit cancer chez certaines filles vaccinées, ce qui a amené les labos à des explications ampoulées (il ne protègerait en fait que contre 4 souches sur une vingtaine... un labo retombe toujours sur ses pattes !) 2) Le Gardasil/Cervarix a causé des problèmes neurologiques graves, à des milliers d'adolescentes comme en France Marie-Océane, et des dizaines d'autres, des milliers aux États-Unis :
Ce n'est pas si compliqué de monter en épingle une maladie.
Le Covid-19, selon la définition même de l'OMS, rassemble sur le plan clinique des pneumonies et des grippes (ce qui en soi existe depuis l'aube de l'humanité, et n'est PAS causé par les postillons, mais par l'état préalable du patient, ses carences en vitamines, et la température récente...).
Les pneumonies sont surtout mortelles pour les personnes très âgées, postillons ou pas.
Mais grâce à ce brillant numéro de renommage, la grippe a quasiment disparu... de certaines statistiques en 2020-2021 :
posez-vous la question : les Argentins et les Australiens lambda ont-ils "chopé le covid" à l'hiver dernier ?
voici deux cas extrêmes qui montrent l'absurdité de ce binz :
- X a 25 ans, elle a eu "le nez qui coule pendant 5 jours", et un test positif
- Y avait 80 ans, et un cancer depuis 2 ans, avant de mourir, elle a eu un test positif
question : les deux sont classés covid, pourtant, ont-elles souffert de la même chose ? officiellement oui (mais on n'est pas obligés d'être dupes éternellement ! )
C'est pourtant avec ces manips statistiques qu'on justifie la paranoïa. 57% du temps médiatique est consacré à une grippe/pneumonie avec un nouveau nom...
La mortalité est importante en réanimation, mais pas à cause de la fatalité, ou des gens qui ne portent pas parfaitement leur masque. On rappelle qu'en Scandinavie, à 2000 km d'ici, les masques n'ont jamais été obligatoires, même dans les hôpitaux. Les autorités ne disent pas que la Scandinavie est spéciale, elles disent qu'il n'y a aucune preuve de leur utilité. Souvenez-vous quand vous faites la police autour de vous, en pensant sauver l'humanité...
Si quelque chose a beaucoup tué, c'est bien la procédure absurde imposée dans les hôpitaux : l'oxygénation invasive, très risquée avec un très fort taux de mortalité chez les seniors. Les réas de Marseille qui ont refusé cette procédure (notamment le fameux Louis Fouché), étrangement, ont compté beaucoup moins de victimes.
Donc que l'humanité m'excuse, moi et mes consoeurs ici, de ne pas aimer être prises pour des connes, apeurées et incapables de tirer des leçons de l'histoire !
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