Vous pouvez pas savoir la montée de stress que j'ai eu en lisant les commentaires ^^
Etant étudiante en psycho, voir autant de gens déçus de leurs consultations m'attristent beaucoup et me rajoutent une pression supplémentaire. Y'a certains points sur lesquels je peux avoir des réponses, mais par contre désolé je ne pourrais pas citer (je n'y arrive plus...) :
Pour ce qui est de tourner autour du pot, c'est parfois utilisé pour que ce soit le patient lui-même qui initie le dialogue sur le traumatisme. On ne peut pas, chez certains patients, rentrer dans le vif du sujet au risque de le brusquer et de briser l'alliance thérapeutique et donc qu'il ne revienne plus.
Pour ce qui est du côté financier des séances, je connais certains psychologues libéraux qui pratiquent des arrangements et peuvent donc baisser leurs prix lorsque la personne n'a pas les moyens. Ceci-dit je me doutes que très peu font ça, mais vaut mieux toujours demander
Pour ce qui est de l'alliance thérapeutique, on va dire que l'alchimie ne peut pas toujours se faire. Des résistances peuvent se faire du côté du patient comme du côté du thérapeute. Ca ne va pas se créer en une séance donc il faut laisser du temps au temps. Mais bien sûr, si on se sent mal à l'aise avec la personne il faut changer, de même quand on voit que le psychologue ne répond pas à nos demandes.
Je suis par contre agréablement surprise de constater que de moins en moins de personnes trouvent ça honteux, humiliant ou culpabilisant de voir un psy. Dans mon entourage j'ai eu aussi des échos favorables à ce sujet, une amie y est aller tout naturellement et lorsqu'elle nous en a parlé ça a été extrêmement bienveillant de la part de nos ami(e)s. Reste mon père à convaincre d'y aller...
Etant étudiante en psycho, voir autant de gens déçus de leurs consultations m'attristent beaucoup et me rajoutent une pression supplémentaire. Y'a certains points sur lesquels je peux avoir des réponses, mais par contre désolé je ne pourrais pas citer (je n'y arrive plus...) :
Pour ce qui est de tourner autour du pot, c'est parfois utilisé pour que ce soit le patient lui-même qui initie le dialogue sur le traumatisme. On ne peut pas, chez certains patients, rentrer dans le vif du sujet au risque de le brusquer et de briser l'alliance thérapeutique et donc qu'il ne revienne plus.
Pour ce qui est du côté financier des séances, je connais certains psychologues libéraux qui pratiquent des arrangements et peuvent donc baisser leurs prix lorsque la personne n'a pas les moyens. Ceci-dit je me doutes que très peu font ça, mais vaut mieux toujours demander
Pour ce qui est de l'alliance thérapeutique, on va dire que l'alchimie ne peut pas toujours se faire. Des résistances peuvent se faire du côté du patient comme du côté du thérapeute. Ca ne va pas se créer en une séance donc il faut laisser du temps au temps. Mais bien sûr, si on se sent mal à l'aise avec la personne il faut changer, de même quand on voit que le psychologue ne répond pas à nos demandes.
Je suis par contre agréablement surprise de constater que de moins en moins de personnes trouvent ça honteux, humiliant ou culpabilisant de voir un psy. Dans mon entourage j'ai eu aussi des échos favorables à ce sujet, une amie y est aller tout naturellement et lorsqu'elle nous en a parlé ça a été extrêmement bienveillant de la part de nos ami(e)s. Reste mon père à convaincre d'y aller...