Denis;1304387 a dit :
Peux-tu développer ton argumentaire en citant les sources qui t'amènent à affirmer cela ?
Je vais citer un passage du lien que j'ai posté tout a l'heure (et qui contient bcp de références et de sources) :
"Au coeur même des calculs du GIEC rôde une erreur plus sérieuse que les précédentes. Le GIEC dit :" Le forçage radiatif du CO2 s'est accru de 20% au cours des 10 dernières années (1995-2005)." Le forçage radiatif mesure l'accroissement de l'énergie radiante dans l'atmosphère, et par conséquent sa température. La concentration atmosphérique de CO2 en 1995 était de 360 Parties Par Million. En 2005 elle s'était accru de juste 5%, à 378 ppm. Mais chaque nouvelle molécule de CO2 dans l'air cause un accroissement de l'énergie radiante moindre que la précédente, de sorte que le véritable accroissement du forçage radiatif était de 1%, et non 20%. Le GIEC a exagéré 20 fois l'effet du CO2.
Pourquoi une si grande et si cruciale exagération ? Réponse : le GIEC a renié la physique fondamentale - l'équation de Stefan-Boltzman - qui converti l'énergie radiante en température. Sans cette équation, aucun calcul sensé sur les effets de la radiance sur la température ne peut être réalisé. Et pourtant les 1600 pages du rapport du GIEC ne le mentionnent pas une fois. Le GIEC connaît l'équation, bien sûr. Mais elle dérange. elle impose une limite stricte (et très basse) sur la quantité de gaz à effet de serre capable d'augmenter la température. A la surface de la Terre, vous pouvez ajouter autant de gaz à effets de serre que vous voulez (forçage de "surface"), la température ne réagira qu'imperceptiblement.
C'est pourquoi tous les modèles informatiques du GIEC prédisent qu'à 10 kilomètres au-dessus de Bali, dans la troposphère supérieure tropicale, la température devrait augmenter deux à trois fois plus vite qu'à la surface. Sans ce "point chaud" troposphérique tropical, la loi Stefan-Boltzman garantit que la température de surface ne peut changer beaucoup.
Nous avons mesuré depuis un demi-siècle les températures de la troposphère supérieure : celles-ci n'ont pas changé plus vite que celles de la surface. Le GIEC le sait aussi, c'est pourquoi il décrète tout simplement que ses prédictions informatiques sont vraies et que les mesures effectuées dans le monde réel sont fausses. La prochaine fois que vous entendrez un bureaucrate scientifiquement ignorant déclarer "la science est établie", rappelez-vous cet échec vital à confirmer les prédictions informatiques du GIEC par des mesures expérimentales. Toute la théorie du GIEC est fondée sur la supposition que les points chauds inexistants pourraient exister."
De ce que j'avais retenu, et en langage "courant", le problème c'est qu'on peut faire dire ce qu'on veut aux "modèles" des climatologues, tout dépend des données que l'on entre au départ.
Quand aux sources, je ne vais pas donner les noms des 30 000 scientifiques qui ont attaqué AL Gore en justice suite à son documentaire rempli d'erreurs scientifiques (erreurs établies devant une cour de justice)
Mais des listes peuvent être trouvées facilement (
Syun-Ichi Akasofu fait partie des chercheurs sceptiques au sujet du réchauffement climatique)
Il faut bien se dire que cette idée a été admise de tous, et qu'il est aujourd'hui très délicat d'aller à l'encontre de tout ça.
Personne ne donne la parole à ces scientifiques, qui luttent pourtant pour qu'on retire leurs noms de certains rapports suite à une mauvaise interprétation de leurs propos, les personnes qui osent remettre la théorie en question sont immédiatement discrédités, on les accuse de négationnisme, alors que scientifiquement parlant, la thèse du réchauffement climatique due au CO2 n'est pas prouvée, et j'insiste, elle n'est pas prouvée...