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Je cherchais un roman d'aventure pour mes vacances, et puis finalement mon choix s'est porté sur "Pasión por los insectos : ilustradoras, aventureras y entomologas" de Xavier Sistach ( traduction du titre pour celles qui ne parlent pas espagnol : Passion pour les insectes : illustratrices, aventurières et entomologistes). L'auteur retrace la biographie (plus ou moins détaillée) de 51 femmes entomologistes, qui ont vécu entre la fin du XVIIème siècle et le début du XXIème. A ma connaissance, ce livre n'a pas été traduit en français.
La réalité dépasse parfois la fiction : les parcours de Maria Sibylla Merian, Ida Pfeiffer, Mary Kingsley, Margaret Fountaine ou encore Eleanor Ormerod sont de vraies aventures, des voyages pleins de détours et de dangers. L'écriture reste sobre et factuelle, avec parfois des extraits de leurs journaux ou de leur correspondance, et à mon sens cela laissait beaucoup de place à l'imagination. J'imaginais notamment leurs intérieurs remplis de bocaux d'élevage, de specimens conservés séchés ou dans de l'alcool, de livres, et les lettres qu'elles échangeaient avec d'autres naturalistes.
J'ai bien aimé ce livre aussi parce qu'il illustre l'histoire des sciences naturelles, la façon dont les connaissances circulaient et se construisaient entre les scientifiques au cours des différentes époques.
J’ai commencé Mr. Quinn en voyage d’Agatha Christie. C’est le deuxième volume du Mystérieux Mr. Quinn, composé de six histoires. J’ai lu la première (« La Voix dans les ténèbres ») : j’aime tant.
J’ai fini Mr. Quinn en voyage ! J’ai lu le tout à voix haute, et quand c’était nécessaire je relisais le texte silencieusement (« Le Sentier d’Arlequin » m’a donné du fil à retordre niveau compréhension de texte !). J’ai adoré.
Mon attente impatiente de la sortie de la saison 3 de Bridgerton accentuée par le spin off a eu raison de moi et je me suis lancée dans les livres à l origine de la série Netflix.
J ai donc lu La chronique des Bridgerton 1 et 2, une intégrale comprenant les tomes sur Daphné et Anthony.
Chaque tome s attache à un membre de la fratrie des Bridgerton, une famille d'aristocrates anglais du début du XIXe siècle. Tout ça sous le regard minutieux et impertinent de Lady Whistledown, chroniqueuse mondaine (et anonyme).
C est un peu Gossip girl Regency style !
Comme pour la série, j ai préféré la partie centrée sur Anthony pour qui j ai beaucoup de tendresse (^^) en raison d'une dynamique romantique plus drôle et plus sensuelle et des thèmes du deuil et de la mortalité qui m'ont plus touchée. On peine à croire que cette 1e intégrale, assez rapide, soit la base de la série a succès et non une fanfiction de qualité qui en serait tirée tant l'adaptation crée un impact visuel fort par les costumes/décors/casting. Mais en tant que fan, je n'ai pas boudé mon plaisir!
@miss.acacia : je ne connais pas la série, par contre j’ai lu les 4 premiers tomes de La Chronique des Bridgerton et je suis fan de cette saga ! Je lirai les 4 derniers, avec certitude.
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J’ai commencé, en parallèle de ma relecture du livre de développement personnel pré-cité, Le Meurtre de Roger Ackroyd d’Agatha Christie. Délices.
Lu Fahrenheit 451 (en V.O), j'ai plutôt apprécié ma lecture et en même temps j'ai trouvé que le style était vraiment médiocre Je me demande comment un bouquin a pu acquérir un tel statut avec une écriture aussi merdique et des personnages aussi pauvres. (La réponse est sans doute : parce qu'il a été écrit par un mec ) Par ailleurs l'idée de base est formidable et l'univers décrit est intéressant, mais là encore, c'est bien trop peu développé. Il en résulte donc une certaine frustration.
Blague à part, la lecture est quand même intéressante, surtout pour son côté visionnaire (l'auteur a inventé Tik Tok et prédit notre perte générale de concentration/d'attention, ainsi que notre besoin constant de se divertir, dans les années 50 !) et le message qu'il véhicule. En effet, on ne peut s'empêcher d'imaginer un monde sans livres, où les gens ont les yeux rivés sur un écran et/ou passent leur temps à se distraire avec des passe-temps "vide-cerveau" (oups, c'est presque notre monde en fait). Et ça fait froid dans le dos.
(Presque) lu également Le gang des rêves, de Luca di Fulvio. C'est un gros pavé de 900 pages sur une mère et son fils qui partent d'Italie pour émigrer à New York dans les années 1910. Ca partait bien, je suis ultra-friande des histoires d'émigration aux Etats-Unis, et le côté historique m'intéressait beaucoup, mais j'ai assez vite déchanté. C'est long, c'est niais, plein de grosses ficelles, ça n'a pas d'intérêt véritable... Il y a plein de trucs pas crédibles : la mère est forcée de se prostituer mais elle n'a pas l'air d'en souffrir 2 secondes, elle tombe amoureuse de son mac... Et le PIRE du pire : il y a des scènes de viol et de violences contre les femmes toutes les 10 pages. Au début, OK, ça passe, surtout si c'est "utile" au récit... Mais au bout d'un moment on a presque l'impression que l'auteur se fait un kif personnel, qu'il écrit ces scènes parce que lui-même en retire du plaisir. Et ça en devient bizarre et dégueulasse. Par exemple, un extrait qui m'a choquée et m'a convaincue de bazarder le livre :
Du coup je viens d'abandonner après 650 pages, chose qui ne m'arrive jamais ! Mais vraiment ce livre a fini par me sortir par tous les trous. J'ai été très surprise de voir qu'il a autant de critiques dithyrambiques sur Internet. Personnellement, ma sentence sera irrévocable : c'est une bouse.
Bref je vais le revendre sur Vinted, j'espère qu'il trouvera vite preneur
J’ai passé un excellent moment ! L’intrigue est superbement construite, je suis tombée des nues lors de la révélation finale (même si l’idée m’a traversé la tête, j’y croyais peu !) : j’ai dévoré ce polar. Il fait partie de la série Hercule Poirot. Le narrateur interne est un des personnages (pas Poirot), ça change !
@Chat-au-Chocolat J'avais beaucoup aimé le gang des rêves... et puis j'ai lu d'autres Luca di Fulvio et là j'ai décelé le point commun à tous ses livres (au delà du côté un peu mièvre) : tous les personnages féminins étaient des jolies demoiselles en détresse à venir secourir par un héros parfait sous tous rapports. Pas certaine que j'aurai le même point de vue si je relisais le gang des rêves maintenant.
C’est un livre de développement personnel qui appartient à ma grande sœur. Je l’ai lu et relu à différentes périodes de ma vie, il me parle toujours autant. J’en ressors à chaque fois apaisée et grandie, pleine d’idées pour m’améliorer en tant qu’être humaine, prête à progresser concrètement en tant qu’individu(e).