Je lis un roman policier anglais publié dans les années 1960 : A helping Hand, de Celia Dale. C'est tout le contraire d'un cosy mystery, l'ensemble des personnages oscille entre le pénible et le répugnant et l'autrice semble mettre en avant ce qu'Agatha Christie et consorts passent sous silence (si un personnage se drogue chez elle, il ne sera fait nulle mention de l'état de ses intestins, alors qu'ici...).
C'est une expérience de lecture assez inconfortable mais intéressante.
J'avais relu la trilogie Rosalie Blum (Camille Jourdy) et j'aime toujours autant l'inventive drôlerie de ses dessins et le grain de folie qui anime ses personnages, c'est vraiment une lecture réconfortante, je me tâte à l'acheter.
Et avant ça, je m'étais penchée sur le récit des recherches qu'une éthologue avait menées dans les Pyrénées (sur le sort des amphibiens menacés par un champignon dans les lacs de montagne -c'est peut-être pour ça que je me suis autant fait dévorer par les moustiques !). Ce n'était pas un récit littéraire et il manquait d'une véritable structure qui aurait donné une cohérence à l'accumulation d'anecdotes -qui tombaient parfois à plat. Cela dit, je l'ai lu en une journée ou deux et il était agréable de reconnaître des endroits par lesquels j'étais passée.
Et je crois que je n'avais décidément pas les épaules assez solides (sans parler de la capacité de travail) pour vivre dans le monde de la recherche.
Les tribulations d'une scientifique en montagne, Adeline Loyau.
C'est une expérience de lecture assez inconfortable mais intéressante.

J'avais relu la trilogie Rosalie Blum (Camille Jourdy) et j'aime toujours autant l'inventive drôlerie de ses dessins et le grain de folie qui anime ses personnages, c'est vraiment une lecture réconfortante, je me tâte à l'acheter.
Et avant ça, je m'étais penchée sur le récit des recherches qu'une éthologue avait menées dans les Pyrénées (sur le sort des amphibiens menacés par un champignon dans les lacs de montagne -c'est peut-être pour ça que je me suis autant fait dévorer par les moustiques !). Ce n'était pas un récit littéraire et il manquait d'une véritable structure qui aurait donné une cohérence à l'accumulation d'anecdotes -qui tombaient parfois à plat. Cela dit, je l'ai lu en une journée ou deux et il était agréable de reconnaître des endroits par lesquels j'étais passée.
Et je crois que je n'avais décidément pas les épaules assez solides (sans parler de la capacité de travail) pour vivre dans le monde de la recherche.
Les tribulations d'une scientifique en montagne, Adeline Loyau.