J'ai lu Splendeurs et misères des courtisanes d'Honoré de Balzac qui conclue le triptyque qu'il forme avec Le Père Goriot et Illusions perdues.
Lucien a perdu ses illusions dans le livre précédent, ici c est son âme qu il perd pour gagner une position sociale, emportant son entourage avec lui. Ce que la jeunesse pouvait excuser apparaît alors sans circonstance atténuante : la vanité, l opportunisme, l égoïsme.
Parmi les 273 personnages du roman, la figure sacrificielle d Esther et le redoutable Abbé Carlos Herrera se détachent.
On touche alors à ce qui m'a fait parfois perdre le fil et l intérêt : trop de personnages, trop de descriptions, trop d intrigues...
Malgré une présentation minutieuse du système judiciaire et une certaine audace dans le choix des personnages, il m a manqué la puissance visionnaire du tome précédent qui m avait impressionné.
Lucien a perdu ses illusions dans le livre précédent, ici c est son âme qu il perd pour gagner une position sociale, emportant son entourage avec lui. Ce que la jeunesse pouvait excuser apparaît alors sans circonstance atténuante : la vanité, l opportunisme, l égoïsme.
Parmi les 273 personnages du roman, la figure sacrificielle d Esther et le redoutable Abbé Carlos Herrera se détachent.
On touche alors à ce qui m'a fait parfois perdre le fil et l intérêt : trop de personnages, trop de descriptions, trop d intrigues...
Malgré une présentation minutieuse du système judiciaire et une certaine audace dans le choix des personnages, il m a manqué la puissance visionnaire du tome précédent qui m avait impressionné.