Quel livre lisez-vous en ce moment ?
- Initiateur de la discussion Yana
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Membre supprimé 153117
Guest
J'ai lu beaucoup de BDs ces derniers temps, étant en "panne de lecture" de romans.
La première fut Culottées Tome 1 de Pénélope Bagieu. Je l'ai beaucoup aimée, elle est très instructive et elle m'a donné envie de me renseigner plus en détails sur certaines de ces femmes (par exemple il y a une BD de presque 500 pages sur Josephine Baker qui attend sur ma table de chevet). Je me réjouis de pouvoir lire le deuxième tome (allez, la Biblio, tu te dépêches! )
Ensuite j'ai lu La guerre de Catherine de Julia Billet, illustrée par Claire Fauvel. Cette BD parle d'une jeune fille juive passionnée de photographie, durant la seconde guerre mondiale. Il est basé sur un roman de Julie Billet paru chez l'école des loisirs. Les dessins sont très beaux, mais l'histoire va trop vite, on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages, et c'est dommage.
Puis je me suis attaquée à Edelweiss de Cédric Mayen, illustré par Lucy Mazel. Dans cette BD on suit la vie d'un couple, Edmond et Olympe, durant la période de l'après-guerre et les années 50-60. Olympe rêve d'escalader le Mont Blanc... Cette BD m'a beaucoup plu, les dessins sont magnifiques, l'histoire d'amour est très belle. Mais la couverture est affreusement spoliante
.
Voilà voilà!
J'ai fait une razzia à la bibliothèque ce matin, il y en aura bientôt des nouvelles. ;-)
La première fut Culottées Tome 1 de Pénélope Bagieu. Je l'ai beaucoup aimée, elle est très instructive et elle m'a donné envie de me renseigner plus en détails sur certaines de ces femmes (par exemple il y a une BD de presque 500 pages sur Josephine Baker qui attend sur ma table de chevet). Je me réjouis de pouvoir lire le deuxième tome (allez, la Biblio, tu te dépêches! )
Ensuite j'ai lu La guerre de Catherine de Julia Billet, illustrée par Claire Fauvel. Cette BD parle d'une jeune fille juive passionnée de photographie, durant la seconde guerre mondiale. Il est basé sur un roman de Julie Billet paru chez l'école des loisirs. Les dessins sont très beaux, mais l'histoire va trop vite, on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages, et c'est dommage.
Puis je me suis attaquée à Edelweiss de Cédric Mayen, illustré par Lucy Mazel. Dans cette BD on suit la vie d'un couple, Edmond et Olympe, durant la période de l'après-guerre et les années 50-60. Olympe rêve d'escalader le Mont Blanc... Cette BD m'a beaucoup plu, les dessins sont magnifiques, l'histoire d'amour est très belle. Mais la couverture est affreusement spoliante
.Voilà voilà!
J'ai fait une razzia à la bibliothèque ce matin, il y en aura bientôt des nouvelles. ;-)
Je viens de finir En guerre, de Bégaudeau. Et Le capitalisme expliqué à ma petite-fille (en espérant qu'elle en verra la fin), de Jean Ziegler.
Et maintenant, On ne naît pas grosse, de Gabrielle Deydier.
Et maintenant, On ne naît pas grosse, de Gabrielle Deydier.
Je viens de reposer le tome 3 de La Passe-Miroir de Christelle Dabos et ça y est, je fais partie du fan-club. J'ai dévoré les trois volumes comme une gloutonne, sur les recommandations enthousiastes de ma cousine et de ma maman - oui c'est publié par Gallimard Jeunesse mais ça peut vraiment plaire à tout le monde.
Et je suis tellement fan des couvertures
Et je suis tellement fan des couvertures
S
Sadala
Guest
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@Bulle-sucrée Si tu veux savoir quels livres ce sont fait une place spéciale dans nos p'tits coeurs, ce topic-ci est fait pour toi 
Un classique, Le parfum de Patrick Süskind : j'aime beaucoup pour l'instant, l'histoire décolle très vite, j'ai hâte de voir comment les choses vont tourner.
Mes trois dernières lectures :
Le Portrait de Dorian Gray, d'Oscar Wild. Un immense classique britannique qu'on ne présente plus dont je traînais l'exemplaire depuis au moins le lycée, sans avoir jamais dépassé la première page, aïe. Une lecture mitigée, avec une première moitié qui m'a franchement agacée... La multiplication des traits d'esprits et divers aphorismes du personnage de Lord Henry (qui confèrent presque parfois au catalogue de citations, mais je fais sans doute un peu de mauvais esprit) ont eu plusieurs fois raison de ma patience, et les 100 premières pages m'ont paru un peu longues. L'intrigue s'emballe ensuite et la seconde partie m'a heureusement réconciliée avec ce monument littéraire. La fin est magistrale et l'ensemble constitue une excellente réflexion sur l'art et la conscience mais il m'a manqué un petit je-ne-sais-quoi pour que j'ai l'étincelle...
L'Éternel mari, de Dostoïevski. Un court roman du maître russe, assez méconnu me semble t-il, que j'ai dévoré dans la traduction d'André Markowicz chez Babel Actes Sud (je le précise car ayant étudié un peu la langue, mon prof nous avait toujours incité à lire les versions de ce traducteur — personnage extrêmement intéressant par ailleurs). Un vaudeville sombre qui voit s'affronter ancien amant et mari trompé, avec toute une palette d'émotions comme sait si bien les décrire Dostoïevski. Une plongée en "âme trouble" qui vaudrait bien une adaptation théâtrale. J'ai adoré !
L'Appel de la forêt, de Jack London. J'ai entrepris récemment de relire celui-ci et Croc-Blanc (avant de me lancer dans Martin Eden), adorés durant l'enfance mais vraisemblablement dans des versions tronquées. J'avais pourtant peu voire aucun souvenir de The Call of the Wild, si ce n'est qu'il s'agissait d'une histoire vue dans les yeux d'un chien. Un récit court mais intense, qui n'a pas manqué de me mettre plusieurs fois au bord des larmes... C'est dur, parfois franchement violent, avec des moments de grâce et d'espoir. Une plongée dans l'Alaska au temps de la ruée vers l'or (qui m'a d'ailleurs donner envie d'en savoir plus à ce sujet) et un très bel hymne à la nature et l'animal. Un coup de coeur d'enfance confirmé à l'âge adulte
J'essaie de poursuivre mes lectures ayant pour trame New York en vue de mon voyage à l'automne et ai entamé hier Les Saisons de la nuit de Column McCann. Je n'ai lu qu'un petit tiers pour l'instant mais je suis happée par l'intrigue, ça me semble très prometteur !
Le Portrait de Dorian Gray, d'Oscar Wild. Un immense classique britannique qu'on ne présente plus dont je traînais l'exemplaire depuis au moins le lycée, sans avoir jamais dépassé la première page, aïe. Une lecture mitigée, avec une première moitié qui m'a franchement agacée... La multiplication des traits d'esprits et divers aphorismes du personnage de Lord Henry (qui confèrent presque parfois au catalogue de citations, mais je fais sans doute un peu de mauvais esprit) ont eu plusieurs fois raison de ma patience, et les 100 premières pages m'ont paru un peu longues. L'intrigue s'emballe ensuite et la seconde partie m'a heureusement réconciliée avec ce monument littéraire. La fin est magistrale et l'ensemble constitue une excellente réflexion sur l'art et la conscience mais il m'a manqué un petit je-ne-sais-quoi pour que j'ai l'étincelle...
L'Éternel mari, de Dostoïevski. Un court roman du maître russe, assez méconnu me semble t-il, que j'ai dévoré dans la traduction d'André Markowicz chez Babel Actes Sud (je le précise car ayant étudié un peu la langue, mon prof nous avait toujours incité à lire les versions de ce traducteur — personnage extrêmement intéressant par ailleurs). Un vaudeville sombre qui voit s'affronter ancien amant et mari trompé, avec toute une palette d'émotions comme sait si bien les décrire Dostoïevski. Une plongée en "âme trouble" qui vaudrait bien une adaptation théâtrale. J'ai adoré !
L'Appel de la forêt, de Jack London. J'ai entrepris récemment de relire celui-ci et Croc-Blanc (avant de me lancer dans Martin Eden), adorés durant l'enfance mais vraisemblablement dans des versions tronquées. J'avais pourtant peu voire aucun souvenir de The Call of the Wild, si ce n'est qu'il s'agissait d'une histoire vue dans les yeux d'un chien. Un récit court mais intense, qui n'a pas manqué de me mettre plusieurs fois au bord des larmes... C'est dur, parfois franchement violent, avec des moments de grâce et d'espoir. Une plongée dans l'Alaska au temps de la ruée vers l'or (qui m'a d'ailleurs donner envie d'en savoir plus à ce sujet) et un très bel hymne à la nature et l'animal. Un coup de coeur d'enfance confirmé à l'âge adulte
J'essaie de poursuivre mes lectures ayant pour trame New York en vue de mon voyage à l'automne et ai entamé hier Les Saisons de la nuit de Column McCann. Je n'ai lu qu'un petit tiers pour l'instant mais je suis happée par l'intrigue, ça me semble très prometteur !
Dernière édition :
La femme gelée - Annie Ernaux (j'aadorrrre sa manière d'écrire, brute et vraie)
Arrêtez moi - Lisa Gardner
Arrêtez moi - Lisa Gardner
@LadyNightstalker j'ai pas réussi à dépasser le tome 2 de cette saga, je comprends vraiment pas le succès du truc, mais je serai curieuse d'avoir ton avis 
@LadyNightstalker c'est hyper répétitif. mieux vaut ne pas les lire à la suite.
bon, ben j'ai enfin fini l'harmonie des plaisirs de corbin. pas mal, sans plus. c'est très descriptif et peu analytique.
hstoire du rire et de la dérision de minois, qui était super intéressant, sauf pour le vingtième siècle, parce que voyez-vous, tout ce perd ma bonne dame. il a quand même réussi à citer francis fukuyama dans le derner chapitre.
la fraîcheur de l'herbe, de corbin, une histoire des émotions liés à l'herbe. c'était poétique, frais et reposant. toujours aussi peu analytique, mais beaucoup moins chiant que l'harmonie des plaisirs. plus court de moitié, aussi.
12 corsets qui ont changé l'histoire de de decker. 'tain, tu le sens le male gaze?
carnets d'un chasseur de tourgeniev, que j'ai du lire en anglais car il n'était pas en français sur gutenbergproject.org, où je prends mes classiques tombés dans le domaine public. on dirait kusturica qui décrit la vie de serfs russes au 19e siècle. c'est très misogyne, mais très bien écrit. c'est assez loufoque. bref, sympa.
dans mes lectures actuelles, je continue ma corbinade avec cette fois l'avènement des loisirs, recueil dirgé par corbin. et ca change tout. du coup c'est très agréable à lire et instructif.
ondine, de la motte fouqué. je n'en suis qu'au début, et j'ai tout de suite croché.
le roman de la robe, de boué. encore un livre parlant de haute couture, préfacé par lacroix. que du bonheur.
j'approche de la fin de the obelisk gate de jamesin, deuxième livre de la terre fracturée. 'tin, j'adore son écriture. la forme sert le fond, c'est assez magistral.
bon, ben j'ai enfin fini l'harmonie des plaisirs de corbin. pas mal, sans plus. c'est très descriptif et peu analytique.
hstoire du rire et de la dérision de minois, qui était super intéressant, sauf pour le vingtième siècle, parce que voyez-vous, tout ce perd ma bonne dame. il a quand même réussi à citer francis fukuyama dans le derner chapitre.
la fraîcheur de l'herbe, de corbin, une histoire des émotions liés à l'herbe. c'était poétique, frais et reposant. toujours aussi peu analytique, mais beaucoup moins chiant que l'harmonie des plaisirs. plus court de moitié, aussi.
12 corsets qui ont changé l'histoire de de decker. 'tain, tu le sens le male gaze?
carnets d'un chasseur de tourgeniev, que j'ai du lire en anglais car il n'était pas en français sur gutenbergproject.org, où je prends mes classiques tombés dans le domaine public. on dirait kusturica qui décrit la vie de serfs russes au 19e siècle. c'est très misogyne, mais très bien écrit. c'est assez loufoque. bref, sympa.
dans mes lectures actuelles, je continue ma corbinade avec cette fois l'avènement des loisirs, recueil dirgé par corbin. et ca change tout. du coup c'est très agréable à lire et instructif.
ondine, de la motte fouqué. je n'en suis qu'au début, et j'ai tout de suite croché.
le roman de la robe, de boué. encore un livre parlant de haute couture, préfacé par lacroix. que du bonheur.
j'approche de la fin de the obelisk gate de jamesin, deuxième livre de la terre fracturée. 'tin, j'adore son écriture. la forme sert le fond, c'est assez magistral.
