allez, les lectures de la semaine:
fini le 5e tome du poids des secrets d'aki shimazaki et mon avi n'a pas bougé d'un iota. non seulement on en apprend beaucoup sur l'histoire du japon, mais l'histoire en elle même est puissante.
pétronille, d'ammélie nothomb. c'aurait été parfait si elle avait été fichue de faire une fin moins baclée. mais c'est un défaut récurrent chez elle.
riquet à la houppe de nothomb, j'ai été conquise de bout en bout.
la nostalgie heuruse. encore un bouquin de nothomb en relation avec le japon. ca a fait écho à ma propre nostalgie. j'ai adoré.
histoire du silence, d'alain corbin. c'est plus une ode, une philosophie du silence. celleux qui cherchent une démarche historique là dedans resteront un peu sur leur faim. ca se laisse lire, néanmoins.
quand les vêtements racontent l'enfance, de claude fauque. hyper bien illustré et le texte a une forte valeur heuristique (j'aime bien placer ce mot de temps à autres)
en ce moment: princess bride, abrégé par william goldman. j'aime beaucoupp, c'est frais et amusant. je n'en suis qu'au début, mais j'accroche déjà. juste les parenthèses de l'autteur me gonflent, alors je les saute. heureusement, il n'y en a pas trop.
histoire de la laideur, dirigé par umberto eco. encore un beau livre. c'est hyper prenant. par contre, les illustrations ne sont pas vraiment légendées, aussi, n'est-il pas toujours facile de pouvoir pourquoi elles ont été choisies.
sinon je suis toujours dans starless de jacqueline carey. j'en suis à la moitié et ca démarre à peine. j'hésite à abandonner.