nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
J'ai dû corner des livres dans une vie antérieure, c'est pas possible: j'ai un mauvais karma du livre en ce moment, au secours!
J'étais toute contente d'être tombée sur le nom d'un auteur du Mozambique (coucou liste de lectures du tour du monde!), j'ai trouvé sur momox un de ses livres en occasion, j'ai commandé...et j'ai pas fait gaffe! En fait c'est un minuscule livrounet de 25 pages (12,5 devrais-je dire, parce qu'en plus c'est une édition bilingue) qui reprend une allocution de l'auteur dans le cadre d'une conférence sur la globalisation. En premier contact, y a eu plus violent. Mais ça m'a confirmé que je veux lire cet auteur, je trouve son propos très juste, exprimé avec des mots bien choisis, à propos de l'instrumentalisation de la peur envers tout (ne pas trouver de travail, perdre son travail, mourir de faim, s'inquiéter de ce qu'on mange, etc.) et tous (les Autres, les étrangers, la source du mal évidemment...) que les états distillent à leur population ("Pour fabriquer des armes, il faut des ennemis").
"IL existe dans le monde plus de peurs de mauvaises choses que de mauvaises choses à proprement parler". J'aime bien cette phrase.
Mujer, la peur de Mia Couto
Dans un tout autre style, j'ai (bien) entamé Le secret de Lady Audley de Mary Elizabeth Braddon. Un genre d'Agatha Christie avant l'heure, version gros pavé. Je suis page 225, tout va bien, c'est agréable à lire. Mais là encore, la colère divine a frappé. Sans spoiler, là à ce point de ma lecture le neveu d'un riche monsieur, fraîchement remarié avec une jeunette au passé pas très clair mais jusque là rien à reprocher, enquête sur la disparition de quelqu'un. C'est tout ce qu'on peut dire en lisant le livre jusqu'à la page 225. On peut faire des hypothèses, mais rien de plus.
Alors pourquoi cette p***** de 4ème de couverture écrit noir sur blanc
Heureusement j'ai toujours aimé les Columbo alors je le prends un peu comme ça, je regarde comment le protagoniste tire ses conclusions et je croise les doigts pour qu'il y ait un plot twist et que je sois quand-même un peu surprise.
J'étais toute contente d'être tombée sur le nom d'un auteur du Mozambique (coucou liste de lectures du tour du monde!), j'ai trouvé sur momox un de ses livres en occasion, j'ai commandé...et j'ai pas fait gaffe! En fait c'est un minuscule livrounet de 25 pages (12,5 devrais-je dire, parce qu'en plus c'est une édition bilingue) qui reprend une allocution de l'auteur dans le cadre d'une conférence sur la globalisation. En premier contact, y a eu plus violent. Mais ça m'a confirmé que je veux lire cet auteur, je trouve son propos très juste, exprimé avec des mots bien choisis, à propos de l'instrumentalisation de la peur envers tout (ne pas trouver de travail, perdre son travail, mourir de faim, s'inquiéter de ce qu'on mange, etc.) et tous (les Autres, les étrangers, la source du mal évidemment...) que les états distillent à leur population ("Pour fabriquer des armes, il faut des ennemis").
"IL existe dans le monde plus de peurs de mauvaises choses que de mauvaises choses à proprement parler". J'aime bien cette phrase.
Mujer, la peur de Mia Couto
Dans un tout autre style, j'ai (bien) entamé Le secret de Lady Audley de Mary Elizabeth Braddon. Un genre d'Agatha Christie avant l'heure, version gros pavé. Je suis page 225, tout va bien, c'est agréable à lire. Mais là encore, la colère divine a frappé. Sans spoiler, là à ce point de ma lecture le neveu d'un riche monsieur, fraîchement remarié avec une jeunette au passé pas très clair mais jusque là rien à reprocher, enquête sur la disparition de quelqu'un. C'est tout ce qu'on peut dire en lisant le livre jusqu'à la page 225. On peut faire des hypothèses, mais rien de plus.
Alors pourquoi cette p***** de 4ème de couverture écrit noir sur blanc
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