Je suis en train de lire Le journal de ma disparition de Camilla Grebbe et autant j'avais adoré L' ombre de la baleine, autant je ne comprends pas le succès de celui-ci.
Déjà le personnage de Malin m'est hyper antipathique, je la trouve bornée et fermée d'esprit. Elle est censée avoir 25 ans mais j'ai parfois l'impression de lire les réflexions d'une gamine de 15 ans.
On arrive à suivre le cheminement de son évolution mais c'est pauvre et assez peu subtile... Je devine déjà qu'elle va finir avec Andreas et qu'elle va finir par changer son avis très tranché et franchement malaisant sur la politique d'accueil des réfugiés de son petit village natal.
Je trouve pour le coup le personnage de Jake bien plus intéressant mais malheureusement le récit se partage entre les deux, ce qui donne une narration assez... bof.
La narration de L' ombre de la baleine n'avait rien d'incroyable mais au moins l'intrigue était prenante. Ici ça patauge et ce qui se voulait comme une révélation et une avancée dans l'enquête était pour moi assez obvious depuis une centaine de pages. Bref, vraiment ça ne prend pas sur moi.
Déjà le personnage de Malin m'est hyper antipathique, je la trouve bornée et fermée d'esprit. Elle est censée avoir 25 ans mais j'ai parfois l'impression de lire les réflexions d'une gamine de 15 ans.
On arrive à suivre le cheminement de son évolution mais c'est pauvre et assez peu subtile... Je devine déjà qu'elle va finir avec Andreas et qu'elle va finir par changer son avis très tranché et franchement malaisant sur la politique d'accueil des réfugiés de son petit village natal.
Je trouve pour le coup le personnage de Jake bien plus intéressant mais malheureusement le récit se partage entre les deux, ce qui donne une narration assez... bof.
La narration de L' ombre de la baleine n'avait rien d'incroyable mais au moins l'intrigue était prenante. Ici ça patauge et ce qui se voulait comme une révélation et une avancée dans l'enquête était pour moi assez obvious depuis une centaine de pages. Bref, vraiment ça ne prend pas sur moi.