@Patagato
la différence entre les genres de sfff expliqués par des chats:
je suis un peu décue par hangul express de léa silhol: les dialogues sont toujours aussi percutants et savoureux, mais là c'est clairement de l'écriture filmique. c'est assez bourrin niveau action. toujours sympa, mais à petites doses. or, donc, j'aime binger mes livres.
the proper lady and the woman writer de mary poovey est aussi en cours. et ca, c'est de la bonne came. ca parle de la construction des genres en angleterre au 19e siècle, à la foi irl et dans les fictions. c'est juste génial et bien écrit.
medieval folklore, dirigé par carl lindhall. c'est ma troisième encyclopédie cette année. ca commence à devenir bizarre. et pourtant, c'est intéressant. c'est aussi pour le boulot.
un jour, peut-être, aurais-je le temps de commencer à relire la mémoire de babel de christelle dabos. de mon souvenir, celui-là m'avait époustouflée et laissée en pls aec son cliffhanger des familles.
the candle and the flame de nafiza azad. un gros meh. avantage: c'est de la fantasy décoloniale. on est dans un monde évoquant l'orient, peut-être l'inde ou la perse. il y a des djinns, des ifrits, etc. inconvénient: caserait ptêt pas mal s'il s'y passait quelque chose. on est dans l'exposition pure et dure. c'est nécessaire, mais là j'en suis à la moitié du bouquin, et ca devient pénible. bref, l'inverse du léa silhol.
la différence entre les genres de sfff expliqués par des chats:
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je suis un peu décue par hangul express de léa silhol: les dialogues sont toujours aussi percutants et savoureux, mais là c'est clairement de l'écriture filmique. c'est assez bourrin niveau action. toujours sympa, mais à petites doses. or, donc, j'aime binger mes livres.
the proper lady and the woman writer de mary poovey est aussi en cours. et ca, c'est de la bonne came. ca parle de la construction des genres en angleterre au 19e siècle, à la foi irl et dans les fictions. c'est juste génial et bien écrit.
medieval folklore, dirigé par carl lindhall. c'est ma troisième encyclopédie cette année. ca commence à devenir bizarre. et pourtant, c'est intéressant. c'est aussi pour le boulot.
un jour, peut-être, aurais-je le temps de commencer à relire la mémoire de babel de christelle dabos. de mon souvenir, celui-là m'avait époustouflée et laissée en pls aec son cliffhanger des familles.
the candle and the flame de nafiza azad. un gros meh. avantage: c'est de la fantasy décoloniale. on est dans un monde évoquant l'orient, peut-être l'inde ou la perse. il y a des djinns, des ifrits, etc. inconvénient: caserait ptêt pas mal s'il s'y passait quelque chose. on est dans l'exposition pure et dure. c'est nécessaire, mais là j'en suis à la moitié du bouquin, et ca devient pénible. bref, l'inverse du léa silhol.





Et il y a pas mal de violences sexuelles (et tout un tas d'autres violences évidemment vu le thème du livre) donc si ça vous touche trop évitez de le lire.
)