@Vadim, à propos de La cloche de détresse, depuis le temps qu'il est sur ma liste d'achat celui-là ! Tu me donnes encore plus envie de le lire...
Hello sinon, petit point plus ou moins rapide !
Terminés :
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Lettres à un jeune poète de Rainer Maria Rilke. C’est beau (même si la beauté reste subjective on est d’accord) et intimiste. En général avec les correspondances, j’ai l’impression d’être spectatrice plus qu’autre chose. Mais là, j’ai eu l’impression que les lettres m’étaient adressée personnellement. Peut-être bien que les paroles de Rainer Maria Rilke sont moins significatives quand on a déjà une longue vie derrière soi, mais moi en tout cas elles m’ont touchée.
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Les enfants terribles de Jean Cocteau. Bah… C’était vraiment pas terrible pour le coup (premier et dernier jeu de mots pourris de la soirée, promis). Pas grand chose à dire, j’ai jamais réussi à rentrer dedans et j’ai trouvé les gosses pas attachants pour un sou.
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La civilisation, ma mère! de Driss Chraibi. Je sais pas trop quand ni comment est née cette fascination pour la figure maternelle, mais j’adore quand les écrivain(e)s se penchent dessus
. Le bouquin se lit assez rapidement, mais j’ai trouvé malaisant les quelques attaques sur la culture occidentale (une notamment qui m’a marquée, faite par l’un des fils). Je sais bien que c’est fictif et que ce sont des personnages, mais je sais pas, ça m’a mise assez mal à l’aise. Sinon, y’a de très jolis discours sur la tolérance et le savoir vivre ensemble (oui, je sais qu’on ne vit pas dans le monde des bisounours mais laissez moi rêver un peu
), certes un peu clichés, mais non pas moins touchants. Je pense que j’ai préféré les moments où il décrit et parle de sa mère, plutôt que son émancipation en elle-même.
En cours :
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Mademoiselle Else d’Arthur Schnitzler. Pour le moment, j’accroche à cette Madmoizelle ! Un peu de difficulté à suivre son monologue intérieur au départ mais une fois dedans, ça devient vite prenant
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La Plaisanterie de Milan Kundera, conseillé par une Mad’z (merci à toi d'ailleurs). J’attends de voir l’évolution des différents protagonistes, pour l’instant ceux qui ont été présenté me plaisent bien. Par contre, par moment j’ai l’impression de relire L’insoutenable légèreté de l’être.
HS : Je viens de comprendre comment mettre en spoil, je vais enfin pouvoir remplacer mes spoilers low cost par de vrais spoilers. Enfin bon, j’ai été un peu lente à la détente mais au moins maintenant
. Bon je ne l'ai pas fini (j'étais à 300 pages) parce que quelqu'un l'avait réservé à la bibliothèque et je ne l'ai pas repris depuis (le schéma de beaucoup des livres que je ne finis pas), mais j'avais bien aimé me mettre dans la peau d'un lapin, que ça soit réaliste avec tout ce qui est comportement des lapins et ce qui relève de l'imagination de l'auteur (les mythes, les concepts lapinesques). Et j'ai bien aimé que les héros traversent plusieurs communautés de lapins qui ont tous des mœurs différentes. 
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