nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
Je me fais une session gros pavés, autant parce que je suis dans une période "lectures" que parce que le panier qui me sert de PAL physique déborde.
Je suis donc venue à bout des 500 pages du Secret de Lady Audley de Marie Elizabeth Braddon qui n'était pas si secret. J'en veux beaucoup à la 4e de couverture qui faisait dans le sensationnel "je te dis tout mais je te dis peut-être pas tout attends-toi à être surpris wink wink" parce qu'au final j'étais préparée à ce qui allait arriver, voire j'en avais un peu deviné un bout en route. Est-ce que j'aurais été surprise sans ce résumé nullissime? Peut-être. Mais en tout cas c'est dommage parce que c'est un livre qui se lit bien, qui est un peu daté (qui aime l'ambiance Agatha Christie devrait aimer) mais l'intrigue n'est pas non plus ultra simpliste. Il aurait pu avoir une meilleure note sur mon échelle d'appréciation.
J'attaque maintenant les 500 pages de Baudolino d'Umberto Eco. Le côté simpliste, on oublie Le nom de la rose est un de mes livres préférés, Comment voyager avec un saumon? m'avait laissée mitigée donc je tente un troisième pour voir quel côté l'emporte. Je retrouve le style érudit et l'atmosphère moyenâgeuse mais on n'a pas l'ambiance gothique du Nom. On va voir.
Je suis donc venue à bout des 500 pages du Secret de Lady Audley de Marie Elizabeth Braddon qui n'était pas si secret. J'en veux beaucoup à la 4e de couverture qui faisait dans le sensationnel "je te dis tout mais je te dis peut-être pas tout attends-toi à être surpris wink wink" parce qu'au final j'étais préparée à ce qui allait arriver, voire j'en avais un peu deviné un bout en route. Est-ce que j'aurais été surprise sans ce résumé nullissime? Peut-être. Mais en tout cas c'est dommage parce que c'est un livre qui se lit bien, qui est un peu daté (qui aime l'ambiance Agatha Christie devrait aimer) mais l'intrigue n'est pas non plus ultra simpliste. Il aurait pu avoir une meilleure note sur mon échelle d'appréciation.
J'attaque maintenant les 500 pages de Baudolino d'Umberto Eco. Le côté simpliste, on oublie Le nom de la rose est un de mes livres préférés, Comment voyager avec un saumon? m'avait laissée mitigée donc je tente un troisième pour voir quel côté l'emporte. Je retrouve le style érudit et l'atmosphère moyenâgeuse mais on n'a pas l'ambiance gothique du Nom. On va voir.