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Je m incruste mais je suis tellement d'accord avec toi. Je l'ai lu pendant le confinement et waouh que c'était puissant et beau et absolu@nezentrompette Les Misérables c'est la vie oui(mon livre pref) et comme tu dis ça se lit bien pour de la littérature classique
Faut aimer le style de Hugo c'est sur, moi j'ai adoré !!!
[QUOTE="Valentina-, post: 11540874,
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Bouah, il me reste 20 pages de Ils étaient dix d'Agatha Christie. Je veux savoir 
! Mais je suis fatiguée 
.
! Mais je suis fatiguée .
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
CED de ma lecture des Misérables (j'ai fini le livre 1): plus j'avance et plus j'aime. Je ne sais pas comment dire, il y a une dimension "d'universel" dans ce roman, et les personnages sonnent tellement vrais 
Et voilà maintenant j'ai envie de lire Les Misérables 
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
@l0ryne Ne prend pas ce ton désespéré 
Si t'as l'occasion, franchement fais-le: déjà parce que c'est toujours plus sympa quand la discussion tourne autour d'un classique et que tu l'as lu, et aussi parce que Victor Hugo est beaucoup moins pénible à lire que dans mon souvenir (soit que j'étais pas assez mature à l'époque, soit que mes profs de français qui m'en avaient laissé une mauvaise impression, je ne sais pas). J'ai juste envie de te dire: les premières pages m'ont déroutée: ca démarre sur un personnage dont je n'avais jamais entendu parler, Hugo met du temps à planter le décor, au bout d'un moment tu te demandes si c'est bien Les Misérables avec Jean Valjean que tu lis et puis arrive le chapitre qui mentionne enfin un nom connu 
Si t'as l'occasion, franchement fais-le: déjà parce que c'est toujours plus sympa quand la discussion tourne autour d'un classique et que tu l'as lu, et aussi parce que Victor Hugo est beaucoup moins pénible à lire que dans mon souvenir (soit que j'étais pas assez mature à l'époque, soit que mes profs de français qui m'en avaient laissé une mauvaise impression, je ne sais pas). J'ai juste envie de te dire: les premières pages m'ont déroutée: ca démarre sur un personnage dont je n'avais jamais entendu parler, Hugo met du temps à planter le décor, au bout d'un moment tu te demandes si c'est bien Les Misérables avec Jean Valjean que tu lis et puis arrive le chapitre qui mentionne enfin un nom connu 
(c'est tout pour moi, merci Même s'il y a des passages, certes instructifs d'un point de vue historique, où t'as juste envie de dire: "on s'en baleeeek, ramène-moi au drama !!!" 
)Je repars dans mon sous-marin, sauf si un jour Gaston Leroux fait son apparition
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
Ooooooh les Rouletabille, toute ma jeunesse de vieille
Et le fantôme de l'opéra j'ai dû le lire un bon millier de fois! (je pense même que c'est le fantôme qui m'a grand ouvert la porte de mon obsession pour les personnages ambigus de malheureux-incompris-qui-sont-quand-même-un-peu-des-connards et qui m'a poussée tout droit vers Severus Snape) D'ailleurs, si tu as d'autres titres de Leroux à me conseiller, vas-y balance!
Le Fantôme de l'Opéra C'est drôle parce que ce bouquin, je l'ai lu à la base pour vérifier s'il était aussi cucul que le film qui m'avait fait osciller entre facepalm et hurlements de rire Mais, au moins ce navet m'aura permis de découvrir la comédie musicale/opéra du Royal Albert Hall et de lire ce bouquin teeeeellement bien !
Rouletabille, le Sherlock français
De Gaston Leroux, j'avais lu aussi une suite de livres : La Poupée Sanglante (qui ne tourne pas du tout autour d'une poupée
) qui se poursuit avec La Machine à assassiner.
Et je ne sais pas si c'était ses lecteurs qui étaient grave en manque du Fantôme (sorti en 1910), parce qu'on y retrouve beaucoup de personnages similaires, voire même carrément avec les mêmes prénoms (la Poupée sanglante étant sortie en 1923). Donc pour les personnages torturés façon Erik, c'est bon @nezentrompette , tu peux aller dedans ^^
C'est drôle parce que ce bouquin, je l'ai lu à la base pour vérifier s'il était aussi cucul que le film qui m'avait fait osciller entre facepalm et hurlements de rire Mais, au moins ce navet m'aura permis de découvrir la comédie musicale/opéra du Royal Albert Hall et de lire ce bouquin teeeeellement bien !Rouletabille, le Sherlock français
De Gaston Leroux, j'avais lu aussi une suite de livres : La Poupée Sanglante (qui ne tourne pas du tout autour d'une poupée
) qui se poursuit avec La Machine à assassiner.Et je ne sais pas si c'était ses lecteurs qui étaient grave en manque du Fantôme (sorti en 1910), parce qu'on y retrouve beaucoup de personnages similaires, voire même carrément avec les mêmes prénoms
(la Poupée sanglante étant sortie en 1923). Donc pour les personnages torturés façon Erik, c'est bon @nezentrompette , tu peux aller dedans ^^
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
rhaaa, vous me donnez envie avec les misérables! et pas merci pour le fantôme de l'opéra, ma pàl est déjà bien assez conséquente!
hier, j'étais de nouveau en gros finissage de livres
trouble dans le genre, de judith butler. ce livre pose plus de questions que de réponses, mais c'était très stimulant. mon seul problème est qu'il travaille beaucoup sur la psychanalyse lacanienne et j'en ai pas les bases - puis ce la psychanalyse n'est pas ma tasse de thé.
the declaration of independance in global context, de david amitage. eh bien c'était passionnant d'en apprendre un peu sur les circonstances et la réception, aussi au niveau philosophique de cette déclaration d'indépendance américaine. je me suis même amusées à lire les annexes avec celles de nombreux autres pays. ce n'est pas souvent qu'on voit de l'indignation dans les textes de loi.
la trilogie morgenstern. boudiou, c'était mauvais! faut vraiment que j'arrête de lire du steampunk pour le steamunk, mais que je me concentre sur l'histoire. et ue je suis une sorcière vétéran badass mais qu'en fait, j'ai besoin qu'on me sauve à la fin. aucun attachement possible aux personnages, trop de rebondissements tue le rebondissement.
the virtù de sarah monette, avec des personnages en nuance de gris. là, c'tait de la bonne fantasy.
je suis en train de ne pas lire pour le boulot prospéro et caliban: psychologie de la colonisation d'ocave mannini. il faut dire que ca tombe 1)) un peu à côté de mon sujet, 2) après cette boulimie de lecture (9 livres en 3 jours!) j'en ai un peu marre. désoeuvrée je suis
hier, j'étais de nouveau en gros finissage de livres
trouble dans le genre, de judith butler. ce livre pose plus de questions que de réponses, mais c'était très stimulant. mon seul problème est qu'il travaille beaucoup sur la psychanalyse lacanienne et j'en ai pas les bases - puis ce la psychanalyse n'est pas ma tasse de thé.
the declaration of independance in global context, de david amitage. eh bien c'était passionnant d'en apprendre un peu sur les circonstances et la réception, aussi au niveau philosophique de cette déclaration d'indépendance américaine. je me suis même amusées à lire les annexes avec celles de nombreux autres pays. ce n'est pas souvent qu'on voit de l'indignation dans les textes de loi.
la trilogie morgenstern. boudiou, c'était mauvais! faut vraiment que j'arrête de lire du steampunk pour le steamunk, mais que je me concentre sur l'histoire. et ue je suis une sorcière vétéran badass mais qu'en fait, j'ai besoin qu'on me sauve à la fin. aucun attachement possible aux personnages, trop de rebondissements tue le rebondissement.
the virtù de sarah monette, avec des personnages en nuance de gris. là, c'tait de la bonne fantasy.
je suis en train de ne pas lire pour le boulot prospéro et caliban: psychologie de la colonisation d'ocave mannini. il faut dire que ca tombe 1)) un peu à côté de mon sujet, 2) après cette boulimie de lecture (9 livres en 3 jours!) j'en ai un peu marre. désoeuvrée je suis
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