Perso, j'avais adoré nana, malgré sa dépiction carrément injuste et détesté la bête humaine et l'assommoir. J'étais peut être pas assez mûre.
Fini le Nina auerbach (woman and the demon the life of a Victorian myth) c'était fort sympathique, mais un peu léger.
Fini aussi l'excellent enduring western civilisation, dirigé par Silvia federici. Ça parle décolonisation, alors forcément, ça résonne. Je ne sais pas s'il existe en français, mais je le recommande chaudement.
Par contre, je n'ai pas pu finir mon troisième bouquin pour aujourd'hui. J'ai un sursaut de vie sociale. Il s'agit de la poudre et le fard de Catherine lanoe. Une histoire des pratiques de maquillage jusqu'aux lumières. Ça détend après le costaud federici.