Quels sont tes livres-sources ?

[After-the-party]

Automatiquement , je dirais Guillaume Musso , car Sauve Moi a été un des premiers livres que j'ai dévoré tres vite , l'amour qu'il relate est tellement fort , tellement beau.
ce livre est celui vers lequel je me tourne quand j'ai besoin de lire des belles phrase , en plus Guillaume Musso aime utiliser des citations venant de philosophe , de chanson , de film. Voila j'aime beaucoup cet auteur , il m'a donné envie d'ecrire , et quand j'ai le temps j'écris un peu , et je m'inspire beaucoup de la façon qu'il a d'écrire.
Voila. Et tres bonne idée de sujet

 

[La.Rousse]

Waouh, avec tout ca, j'vais en avoir des livres à lire pour l'hiver!
Moi je dirais que mes livres sources sont indéniablement:

Le monde selon Garp de John Irving ainsi que L'hotel New Hampshire du même auteur.
Cet auteur est incroyable, son style inimitable, je suis passionément Irving!
Toujours dans un état second quand je le lis, les mos crus qu'il emploie, comme il dissèque chaque chose, j'adore!

Je rajouterai aussi Les chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin! 6 ou 7 épisodes, je n'sais plus trop bien mais absolument génial! Je reverais de vivre à Barbary Lane!

Bonne lecture à tout l'monde :razz:

 

[Jean Louise]

l'herbe bleue et Moi Christiane F, 13 ans, droguée prostituée, livres de mon adolescence que j'ai lu et relu je ne sais combien de fois!
Le petit Prince que je lis à mon bébé quand il ne veut pas dormir (il ne comprend pas encore mais m'écoute attentivement!). J'adore ce livre et je l'ai aussi lu un grand nombre de fois.
antechrista et le robert des noms propres de Nothomb qu'une ancienne collègue m'avait fait découvrir
Tous les Stephen King, pour bien me mettre la frousse
Et dans un registre plus romantique, tous les Musso que je dévore à une vitesse folle!

 

[Creamm]

Les journaux et les poésies complètes de Sylvia Plath et de Marie Uguay, ainsi que le roman The Bell Jar de la premières. Deux poétesses au destin tragique, deux femmes mortes tôt et mal aimées, deux femmes intelligentes et dépressives, c'est assez drôle quand on y pense ahah. Et cela aussi, il y en a, dans ces livres, en plus de la mélancolie et des réflexions : beaucoup d'humour, de cynisme.

Pourquoi elles exactement, je ne sais pas dire. Ce sont les livres qui m'ont le plus touchés et le plus appris sur moi et sur les autres, et sur le moi agissant dans une optique 'd'inscription dans le monde' : j'admire la volonté de leurs deux écritures, et leur côté belliqueux, rebelle, qui refuse et qui fonce. Les réflexions sur la place de la femme dans la société : pas victimisant, pas idéologique, seulement ressourcant et lucide.

J'ai souvent l'impression de lire en elles une meilleure version de moi et de ce que je tends à vouloir accomplir. Je les relis fréquement, pas tous les jours, ni même tous les mois ( d'ailleurs je ne suis pas passé au travers des poésies complètes de Plath encore ), mais je sais qu'il y a pour moi dans ces pages de quoi me nourrir pour super longtemps encore...

''J'ai besoin d'amour par manque de réalité intérieure. J'ai si peur de me sentir morte qu'une obsessive vitalité intérieure me pousse à aimer, à vouloir aimer, à agir, à assouvir ce besoin intérieur de présence à l'autre. Je suis dans la pleine absurdité de mes comportements. Je n'ai ni plénitude ni sérénité. Je ne me laisserai plus détruire par l'amour. Par un seul amour.'' Marie Uguay.

 

[Anais.earthquake]

Pour moi il y en aura quelques-uns que je cite sans hésiter et je repasserais surement plus tard.
Tout d'abord Les fleurs du mal de Baudelaire, qui me donne l'impression que les sentiments que j'éprouve a certains moments ont trouvés leur mots, et le livre qui me redonne l'envie d'écrire. Ensuite il y a l'élégance du hérisson par Muriel Barbery qui m'a fait pas mal réfléchir sur la vie. Et puis le complexe de Di ( Dai Sijie), simplement magique, bien que légèrement sordide.

 

[AnonymousUser]

Pour moi il y en aura quelques-uns que je cite sans hésiter et je repasserais surement plus tard.
Tout d'abord Les fleurs du mal de Baudelaire, qui me donne l'impression que les sentiments que j'éprouve a certains moments ont trouvés leur mots, et le livre qui me redonne l'envie d'écrire. Ensuite il y a l'élégance du hérisson par Muriel Barbery qui m'a fait pas mal réfléchir sur la vie. Et puis le complexe de Di ( Dai Sijie), simplement magique, bien que légèrement sordide.

C'est vrai que c'est un livre que j'ai beaucoup aimé, mais ce n'est pas pour moi un livre-source (d'autant qu'on me l'avait preté, il ne fait donc pas partie de mes livres à portée de main)

 

[mademoisellec]

Tous les Beigbeder (eh oui...) , L'écume des jors de Vian, Paroles de Prévert...

 

[Lady Dylan]

Je gagne toujours à la fin, de Tristan Edern Vaquette. C'est un roman que je n'aime pas en tant qu'oeuvre romanesque, mais parce que je voue une admiration infinie à son auteur et qu'il y a des pépites de vérité, de beauté, de justesse dans cette histoire. J'ai d'ailleurs volé à ce livre de nombreux aphorismes et certains principes de vie ("je veux être grand et beau"). Quand je ne sais pas quoi penser et que j'ai besoin d'intelligence, j'ouvre un chapitre et je lis quelques pages, ça me réconcilie avec tout (enfin avec moi, surtout)

Pareil - d'ailleurs je crois bien que c'est dans ta signature que j'avais découvert Tristan Edern Vaquette.

Sinon il y a aussi La nuit des temps de Barjavel, et L'insoutenable légèreté de l'être de Kundera. Ils m'ont profondément marqué à la lecture, et j'y reviens souvent. Ils font partie de moi alors en les relisant, je me retrouve.

 

[Lùthien]

Le livre que j'ai le plus aimé est Candide de Voltaire, j'adore le relir de temps en temps. Sinon celui qui résonne vraiment en moi et c'est le seul livre de tous ceux que j'ai lus que je n'ai jamais relu c'est La chartreuse de Parme de Stendhal.

 

[Marie Obrigada]

Décidément, il a du succès ce René

Oui, ça donne très très envie de le lire !

 

[£lle]

Le petit prince de St Exupéry, que je pense relire dans pas longtemps...

Nadja, de Breton, beaucoup pour cet extrait en particulier

L'important est que les aptitudes particulières que je me découvre lentement ici-bas ne me distraient en rien de la recherche d'une aptitude générale, qui me serait propre et ne m'est pas donnée.

Par-delà toutes sortes de goûts que je me connais, d'affinités que je me sens, d'attirances que je subis, d'évènements qui m'arrivent et n'arrivent qu'à moi, par-delà quantite de mouvements que je me vois faire, d'émotions que je suis seul à éprouver, je m'efforce, par rapport aux autres hommes, de savoir en quoi consiste, sinon à quoi tient, ma différenciation.

N'est-ce pas dans la mesure exacte où je prendrai conscience de cette différenciation que je me révélerai ce qu'entre tous les autres je suis venu faire en ce monde et de quel message unique je suis porteur pour ne pouvoir répondre de son sort que sur ma tête?"

Et puis probablement quelques autres, mais dont je ne me souviens pas sur le moment...

 

[toxicpoodle]

il n'y en a qu'un qui me fasse vraiment un effet fantastique à chaque lecture, c'est LE livre que je ballade partout, emmène en vacances, lis, lis, relis jusqu'à l'épuisement: Middlesex de Jeffrey Eugenides. Après j'aime les livres et j'en ai lu déja pas mal, mais celui la est toujours en haut de ma pile.