Je sais qu'il ne va pas bien, mais moi non plus. J'ai un problème inconnu au cerveau, je coupe les ponts avec mon père, mais il ne comprend pas que je puisse ne pas être au top niveau. Il s'éloigne et me reproche d'en avoir peur. Il devient blessant, il me fait pleurer tous les jours et je ne peux même pas le lui dire sans qu'il m'accuse de passer de ses problèmes aux miens.
Tu sais, je n'en demande pas beaucoup, comme copain. Mais tu vois, je m'attendais à ce que tu puisses quand même trouver quelque chose. Ca fait partie des trucs que tu dois trouver toute seule, comment rendre le sourire. Et bon, je ne veux pas te faire de reproche, mais ça me déçoit un peu qu'au bout de presque six mois ensemble, tu n'aies pas trouvé quoi que ce soit qui puisse ne fut-ce que me rendre le sourire dix secondes...
Là, il m'a achevée. Ce n'est pas vrai et c'est méchant. Il ne se rend pas compte qu'alors que je vais mal, ça fait une semaine que je me décarcasse, que je prends sur moi et que j'encaisse pour lui montrer que je suis présente alors qu'il m'envoie chier à chaque fois.