@nezentrompette Ta dernière m'intéresse beaucoup, ça me pose la question de "Lit-on la littérature étrangère pour ressentir de l'exotisme ?". Vous avez deux heures .
Dans mon cas avec le recul je pense qu'effectivement une partie du choix est guidée par l'envie de découvrir une société et des modes de fonctionnement autres, mais au final c'est ce qu'on est censé retrouver dans un roman historique, or j'ai l'impression qu'on en attend un univers beaucoup plus proche que celui qu'on attend d'un auteur étranger, et encore plus si cet auteur vient d'un autre continent (c'est brouillon, je réfléchis en même temps que j'écris).
Sinon j'ai aussi récemment lu un livre d'un auteur péruvien et je n'ai pas encore réussi à déterminer si j'avais bien aimé ou non, d'un côté j'ai trouvé la narration lente et trop poétique pour moi, mais l'histoire elle-même est prenante, plutôt dans le genre fascination horrifiée que vraiment plaisante. Ça s'appelle Ayacucho d'Alfredo Pita, c'est l'histoire d'un journaliste espagnol qui enquête sur un meurtre de journalistes au Pérou et on voit tout via le point de vue du journaliste-enqueteur, d'où l'impression de lenteur parfois.
Dans mon cas avec le recul je pense qu'effectivement une partie du choix est guidée par l'envie de découvrir une société et des modes de fonctionnement autres, mais au final c'est ce qu'on est censé retrouver dans un roman historique, or j'ai l'impression qu'on en attend un univers beaucoup plus proche que celui qu'on attend d'un auteur étranger, et encore plus si cet auteur vient d'un autre continent (c'est brouillon, je réfléchis en même temps que j'écris).
Sinon j'ai aussi récemment lu un livre d'un auteur péruvien et je n'ai pas encore réussi à déterminer si j'avais bien aimé ou non, d'un côté j'ai trouvé la narration lente et trop poétique pour moi, mais l'histoire elle-même est prenante, plutôt dans le genre fascination horrifiée que vraiment plaisante. Ça s'appelle Ayacucho d'Alfredo Pita, c'est l'histoire d'un journaliste espagnol qui enquête sur un meurtre de journalistes au Pérou et on voit tout via le point de vue du journaliste-enqueteur, d'où l'impression de lenteur parfois.