Moi je me souviendrais toujours d'avoir vu le 3 assise entres deux amies qui ont pas arrêtées de critiquer, de dire "mais c'est pas comme ça dans le livre", "mais il manque ça"... qu'elles m'ont soûlées mais à un point !!! C'était une expérience affreuse...
Depuis ce jour là, je me fais un point d'honneur à d'abord juger un film adapté pour un film avant tout.
Exactement moi, qui aurait très certainement saoulé ma famille pendant ce même film si je ne m'étais pas retrouvée toute seule dans un coin de la salle parce qu'il n'y avait plus d'autres places
Aujourd'hui, j'arrive à peu près à apprécier ce film comme un film, justement, et même un film pas trop mal, en continuant à considérer que c'est une une adaptation lamentable, mais à l'époque je pense que c'était aussi à rapporter à l'attente qu'on pouvait avoir (personnellement j'étais hyper enthousiaste avant le ciné, c'est mon tome préféré donc j'étais vraiment comme ça :
, et ma tête en sortant :
), maintenant qu'on sait qu'ils sont tous mal adaptés passé le deuxième, ben ça passe un peu mieux (sauf pour le 6, celui-là il est vraiment terrible
; mais le 5 par exemple est vraiment une mauvaise adaptation aussi, je trouve, même si je suis d'accord que le film en lui-même est plutôt sympa
)
Il est où mon balai ? La prochaine fois que vous aurez besoin de sacrifier un gosse pour sauver le monde, je saurais m'en rappeler du range-CD salamandre tiens
"
(oui, ça ne m'empêche pas de râler et lever les yeux au ciel pour certains trucs (voire hurler silencieusement et littéralement agiter les bras en l'air), mais je crois que la musique à elle seule pourrait me faire continuer à regarder les films 
)
Après je suis d'accord que commenter pendant le film c'est pas cool du tout pour les voisin.e.s, moi je suis plutôt du genre à pousser des exclamations outrées et ensuite à ne pas décolérer jusqu'à la fin, pour déverser toute ma bile une fois sorti.e.s du ciné 
. Mais pour le 3, personnellement, j'ai eu 0 plaisir de la découverte, justement, parce que j'avais juste l'impression que le réalisateur s'était allégrement torché avec le bouquin avant de s'écrire un petit script qui lui faisait plaisir à lui et tant pis si ça n'avait rien à voir avec l’œuvre de base. 
