Je lui ai parlé un peu et vous êtes toutes dans le juste; seulement le problème est qu'elle est figée dans sa vision ( arrêter les cours c'est la solution et elle aura une vie très confortable en ayant plein d'enfants)
Veille Permanente Sexisme
- Initiateur de la discussion Faye
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@Impassioned Désolée si je t'ai offensée 
, je suis belge et ici, c'est possible d'accéder à une formation sans CESS (diplôme de fin d'études) mais la démarche est longue et éprouvante. Et puis surtout, l'école est obligatoire jusque 18 ans du coup les personnes sans diplômes sont plus rares
, je suis belge et ici, c'est possible d'accéder à une formation sans CESS (diplôme de fin d'études) mais la démarche est longue et éprouvante. Et puis surtout, l'école est obligatoire jusque 18 ans du coup les personnes sans diplômes sont plus rares
@La_Belette oui tu as mis les mots sur ce que je voulais dire : parfois, on paraît faire un choix radical et marginal, mais ça peut révéler un profond malaise dans l'existence qu'on mène en attendant (ici à l'école).
Je pense que globalement dans ce genre de cas il faut être hyper à l'écoute, ne pas l'infantiliser et surtout pas se montrer condescendant (mais je suis sûre que ce n'est pas ce que tu fais @LovelyLexy je parle de manière générale
). Je trouve ça chouette que tu lui poses des questions parce que ça peut l'aider à s'en poser elle-même, à voir els choses autrement... même si ça peut prendre du temps.
En tout cas comme le dit La_Belette qu'elle soit démissionnaire c'est son choix mais elle n'a pas à perturber les cours, car ses camarades n'ont pas forcément fait le même choix
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Je pense que globalement dans ce genre de cas il faut être hyper à l'écoute, ne pas l'infantiliser et surtout pas se montrer condescendant (mais je suis sûre que ce n'est pas ce que tu fais @LovelyLexy je parle de manière générale
). Je trouve ça chouette que tu lui poses des questions parce que ça peut l'aider à s'en poser elle-même, à voir els choses autrement... même si ça peut prendre du temps.En tout cas comme le dit La_Belette qu'elle soit démissionnaire c'est son choix mais elle n'a pas à perturber les cours, car ses camarades n'ont pas forcément fait le même choix
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@Jessiflé (sur la colline) (Top 10 des pseudos) L'article est là et effectivement il est pas mal mais en tant que "chieuse officielle" il y a donc un mais, ou peut être plusieurs.
Passons l'image d'illustration sexiste pour dénoncer le sexisme, passons le besoin irrépressible de certains de comparer racisme/homophobie/sexisme quitte à dire des bêtises et regardons de plus près qui s'exprime. Des femmes blanches de milieux aisées (Il y aura même l'ancienne présidente du MEDEF). D'ailleurs l'article ne parle pas d'usine mais de bureaux et on ne cite que des situations qui ressemblent à celles de cadres. On oublie complètement ces femmes de ménages qui ne subissent pas uniquement le sexisme ordinaire mais le harcèlement sexuel, voire le viol. On a l'impression que notre seul et unique problème c'est le sexisme dit ordinaire alors que non.
Mais alors ce qui m'énerve encore un peu plus c'est les "Faire sauter le déni" "Mesdames réveillez vous" ne sont là que pour culpabiliser les femmes, ils ont même appeler un psy spécialiste es sexisme ordinaire :
Et pas seulement les hommes : les femmes aussi !»renchérit le psychologue Benoît Dardenne. Un provocateur ? Non. Un spécialiste du «sexisme bienveillant», le plus subtil et le plus difficile à repérer. «Par exemple : nous allons au resto, et je paie car vous êtes une femme et que je présuppose que vous n’avez pas autant de moyens financiers que moi. Ou je vous explique des équations mathématiques et je vais lentement, bien plus lentement qu’avec un homme.»
Mais attention il est plus intelligent que nous le Benoit, lui il arrive à repérer la subtilité alors que nous après tout qu'est ce qu'on en connait du sexisme...
Passons l'image d'illustration sexiste pour dénoncer le sexisme, passons le besoin irrépressible de certains de comparer racisme/homophobie/sexisme quitte à dire des bêtises et regardons de plus près qui s'exprime. Des femmes blanches de milieux aisées (Il y aura même l'ancienne présidente du MEDEF). D'ailleurs l'article ne parle pas d'usine mais de bureaux et on ne cite que des situations qui ressemblent à celles de cadres. On oublie complètement ces femmes de ménages qui ne subissent pas uniquement le sexisme ordinaire mais le harcèlement sexuel, voire le viol. On a l'impression que notre seul et unique problème c'est le sexisme dit ordinaire alors que non.
Mais alors ce qui m'énerve encore un peu plus c'est les "Faire sauter le déni" "Mesdames réveillez vous" ne sont là que pour culpabiliser les femmes, ils ont même appeler un psy spécialiste es sexisme ordinaire :
Et pas seulement les hommes : les femmes aussi !»renchérit le psychologue Benoît Dardenne. Un provocateur ? Non. Un spécialiste du «sexisme bienveillant», le plus subtil et le plus difficile à repérer. «Par exemple : nous allons au resto, et je paie car vous êtes une femme et que je présuppose que vous n’avez pas autant de moyens financiers que moi. Ou je vous explique des équations mathématiques et je vais lentement, bien plus lentement qu’avec un homme.»
Mais attention il est plus intelligent que nous le Benoit, lui il arrive à repérer la subtilité alors que nous après tout qu'est ce qu'on en connait du sexisme...
Bonjour ici
Je m'incruste si vous le permettez, parce que je bouillonne dans mon bureau depuis un bon 1/4h suite à un mail que je viens de recevoir. En l'occurrence, la newsletter d'une asso de ma ville, qui promeut les logiciels libre. Et cette asso annonce donc fièrement qu'elle va participer à la prochaine journée de la femme ... où elle présentera les logiciels "open food facts" et "open facts beauty".
Je ne doute pas que ces logiciels soient très pratiques (paraitrait qu'ils aident à consommer responsable, rien que ça), mais j'ai quand même bien envie de leur faire remarquer qu'en plus d'être capable d'utiliser un ordinateur, une femme peut même l'utiliser pour autre chose que d'aller chercher un tuto maquillage ou une recette sur marmitton...
Je m'incruste si vous le permettez, parce que je bouillonne dans mon bureau depuis un bon 1/4h suite à un mail que je viens de recevoir. En l'occurrence, la newsletter d'une asso de ma ville, qui promeut les logiciels libre. Et cette asso annonce donc fièrement qu'elle va participer à la prochaine journée de la femme ... où elle présentera les logiciels "open food facts" et "open facts beauty".
Je ne doute pas que ces logiciels soient très pratiques (paraitrait qu'ils aident à consommer responsable, rien que ça), mais j'ai quand même bien envie de leur faire remarquer qu'en plus d'être capable d'utiliser un ordinateur, une femme peut même l'utiliser pour autre chose que d'aller chercher un tuto maquillage ou une recette sur marmitton...
@LittleMyrtille Tu peux peut être leur envoyer un lien vers cette étude qui démontre les biais contre les femmes dans le domaine du logiciel libre. En effet les contributions faites par des femmes sont en général mieux acceptées que celles faites par des hommes sauf quand le genre des femmes est iddentifiable et où la bizarrement la tendance s'inverse.
https://peerj.com/preprints/1733/
Ps j'ai pas encore lu l'étude en entier et je voulais la partager apres mais la je pense que ça colle plutôt bien avec ton problème
https://peerj.com/preprints/1733/
Ps j'ai pas encore lu l'étude en entier et je voulais la partager apres mais la je pense que ça colle plutôt bien avec ton problème
@Lucyoll effectivement, c'est une idée, d'autant qu'en creusant un peu je viens de voir que les femmes ne représenteraient que 2% dans le domaine du logiciel libre, alors que c'est censé être un mouvement participatif, ouvert à tous et donc inclusif ... 
@Cantor Métrique Parce qu'en vrai le reste c'est les ministères des hommes, de la guerre et de l'argent. Normal.
@Cantor Métrique C'est pire que de mauvais goût, c'est comme ça qu'il voit le monde et pas uniquement le gouvernement. Aux femmes, la famille et les enfants (et l'écologie aussi mais bon...). Aux hommes, tout le reste.
Je suis désolée de débarquer en milieu de conversation mais je suis en train de lire un roman qui à mon avis pourrait en intéresser certaines. J'en ai parlé dans le sujet "info à suggérer", donc je fais un copié-collé ici (en espérant que vous n'en avez pas déjà parlé, je ne suis pas le topic avec assiduité) :
" Le roman s'appelle La Justice de l'Ancilliaire. Bon déjà, ce livre a gagné tous les prix SF de l'année passée, dont les très prestigieux Hugo et Nébula. Mais surtout, ce qui me semblait intéressant dans ce livre, c'est qu'il est raconté par un.e narrateur.e qui vient d'une culture qui n'a aucune idée des genres ou quasi. Du coup, ielle genre tout le monde au féminin par défaut, tout en se tracassant régulièrement de se tromper. Parfois des personnages extérieurs donnent des indices, mais souvent, on est laissé dans le flou.
Si j'en parle, c'est parce que j'ai été frappée par la réaction que mon compagnon a eu en le lisant : il m'a dit avoir eu une sorte d'épiphanie et avoir réalisé que dans l'immense majorité des situations, en lecture du moins, le genre n'a au final aucune importance. Ce qu'il ne m'aurait jamais dit avant.
Et donc, lui comme moi, on s'est retrouvé à imaginer tous les personnages comme indéfinis/vaguement féminins, sans vraiment s'interroger d'avantage."
" Le roman s'appelle La Justice de l'Ancilliaire. Bon déjà, ce livre a gagné tous les prix SF de l'année passée, dont les très prestigieux Hugo et Nébula. Mais surtout, ce qui me semblait intéressant dans ce livre, c'est qu'il est raconté par un.e narrateur.e qui vient d'une culture qui n'a aucune idée des genres ou quasi. Du coup, ielle genre tout le monde au féminin par défaut, tout en se tracassant régulièrement de se tromper. Parfois des personnages extérieurs donnent des indices, mais souvent, on est laissé dans le flou.
Si j'en parle, c'est parce que j'ai été frappée par la réaction que mon compagnon a eu en le lisant : il m'a dit avoir eu une sorte d'épiphanie et avoir réalisé que dans l'immense majorité des situations, en lecture du moins, le genre n'a au final aucune importance. Ce qu'il ne m'aurait jamais dit avant.
Et donc, lui comme moi, on s'est retrouvé à imaginer tous les personnages comme indéfinis/vaguement féminins, sans vraiment s'interroger d'avantage."
@Kettricken Je note le nom pour me l'offrir! Il a l'air vraiment chouette se bouquin! Merci beaucoup pour l'info 
Sur cette histoire de "ministère des femmes, des ovules et des serviettes hygiéniques", ici un billet de Cafe Langue de Pute.
