@Autumn. ,ça ressemble fort à une réaction plutôt qu'une action réfléchie et c'est porte ouverte aux abus...
Ca me fait penser à une femme qui a témoigné sur le réseau social Quora qu'elle a un jour donné une fessée ET fracturé la clavicule de son gosse dans un de ces scénarios que beaucoup de gens estiment justifier la violence. Même longtemps après les faits,elle estimait ne pas avoir eu le choix,que c'était une question de vie ou de mort même si elle était désolée de lui avoir fracturé la clavicule,c'était moins grave que ce qui aurait pu arriver.
Pour moi,ce n'est pas différent des autres cas,ça reste une façon de gérer ses émotions,de se défouler en somme.
Ca me fait penser à une femme qui a témoigné sur le réseau social Quora qu'elle a un jour donné une fessée ET fracturé la clavicule de son gosse dans un de ces scénarios que beaucoup de gens estiment justifier la violence. Même longtemps après les faits,elle estimait ne pas avoir eu le choix,que c'était une question de vie ou de mort même si elle était désolée de lui avoir fracturé la clavicule,c'était moins grave que ce qui aurait pu arriver.
Pour moi,ce n'est pas différent des autres cas,ça reste une façon de gérer ses émotions,de se défouler en somme.
). La deuxième fessée, c'était parce que j'avais menti et que je continuais dans mon mensonge (d'ailleurs, ça a du me traumatiser, car je dis toujours ce que je pense maintenant
)
, ce que je retiens, c'est plutôt la honte que j'ai éprouvé à ce moment là. Je pense que la fessée est plus humiliante que douloureuse et la fierté en prend un sale coup.
" ou "encore "attention, la dame va se fâcher 
). Mes parents n'ont jamais eu d'acte de violence envers moi et comme je le disais, la fessée ne m'a pas provoqué de douleur,car son but n'était pas de me faire mal, mais juste de me faire comprendre que ce n'était pas bien (et honnêtement, s'il ne l'avait pas fait, je pense que j'aurais continué. Je le savais que c'était mal mais c'était plus fort que moi).

