Par définition, la violence est une contrainte, physique ou morale, exercée sur une personne. Légalement, faire usage de violence à l'encontre d'une personne vulnérable (enfant, personne âgée ou handicapée) est un facteur aggravant.
On est donc en plein dedans lorsqu'un adulte fait usage de sa force (physique ou psychologique), dans le but de se faire obéir d'un enfant. Il ne s'agit plus d'éducation, mais de dressage. Peu importe la forme que prend cette violence, elle ne peut être admise comme "bonne" ou pas "si grave".
Pour faire une comparaison, ce serait comme dire qu'une agression sexuelle n'est pas si grave. Certes ce n'est pas un viol, ça n'en reste pas moins inacceptable, peu importe si certaines victimes n'en ont pas été traumatisées.
Alors oui bien sûr, nous somme nombreux.ses à avoir été victimes de violence éducative et oui, nous sommes nombreux.ses à perpétuer cette violence (même à "petite échelle" - par la parole par exemple), il n'empêche qu'il ne peut être que positif de tenter de travailler dessus. Et la première étape c'est probablement d'en prendre conscience, sans se trouver d'excuses ni en trouver à ses parents (ce qui n'empêche pas de pardonner bien sûr).
On est donc en plein dedans lorsqu'un adulte fait usage de sa force (physique ou psychologique), dans le but de se faire obéir d'un enfant. Il ne s'agit plus d'éducation, mais de dressage. Peu importe la forme que prend cette violence, elle ne peut être admise comme "bonne" ou pas "si grave".
Pour faire une comparaison, ce serait comme dire qu'une agression sexuelle n'est pas si grave. Certes ce n'est pas un viol, ça n'en reste pas moins inacceptable, peu importe si certaines victimes n'en ont pas été traumatisées.
Alors oui bien sûr, nous somme nombreux.ses à avoir été victimes de violence éducative et oui, nous sommes nombreux.ses à perpétuer cette violence (même à "petite échelle" - par la parole par exemple), il n'empêche qu'il ne peut être que positif de tenter de travailler dessus. Et la première étape c'est probablement d'en prendre conscience, sans se trouver d'excuses ni en trouver à ses parents (ce qui n'empêche pas de pardonner bien sûr).