S
Vos textes libres
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
c'est beau ....
M
morrigan
Guest
@KiwiBlue J'ai beaucoup aimé! C'est très beau!
---------------------------
J'essaye de m'y remettre doucement. Je vais écrire un bouquin illustré par mes soins pour mon copain.
Voici la petite (touuuute petite) histoire d'accroche.
Bon. C'est quoi encore ce bordel?
En haut le ciel tonnait, la foudre tombait. Malgré cela, le ciel restait relativement clair. L'orage n'allait pas durer, les étoiles allaient revenir rapidement, briller de mille feux.
Un peu plus sur la gauche, un petit groupe jouait la fanfare. Au coeur de celui-ci se trouvait le batteur. Le rythme était rapide, fort, désarticulé. Il tapait n'importe où, ne semblant plus trop comprendre ce qu'il se passait.
Et en bas, des papillons par milliers se bousculaient. Ils étaient enfermés dans un creux, bien trop petit pour tous les accueillir.
C'était quoi ce bordel? C'était si soudain! Plus haut, l'orage avait laissé place aux étoiles. Mais elles semblaient trop nombreuses elles aussi, anormalement pétillantes.
Bon sang, qu'est-ce qu'elle fout? Faudrait songer à remettre de l'ordre dans ton corps ma vieille!
Ah? Un sourire niais...
Cédric je suppose. Bon courage. Je te déclare officiellement amoureuse.
Cordialement, ta conscience.
---------------------------
J'essaye de m'y remettre doucement. Je vais écrire un bouquin illustré par mes soins pour mon copain.
Voici la petite (touuuute petite) histoire d'accroche.
Bon. C'est quoi encore ce bordel?
En haut le ciel tonnait, la foudre tombait. Malgré cela, le ciel restait relativement clair. L'orage n'allait pas durer, les étoiles allaient revenir rapidement, briller de mille feux.
Un peu plus sur la gauche, un petit groupe jouait la fanfare. Au coeur de celui-ci se trouvait le batteur. Le rythme était rapide, fort, désarticulé. Il tapait n'importe où, ne semblant plus trop comprendre ce qu'il se passait.
Et en bas, des papillons par milliers se bousculaient. Ils étaient enfermés dans un creux, bien trop petit pour tous les accueillir.
C'était quoi ce bordel? C'était si soudain! Plus haut, l'orage avait laissé place aux étoiles. Mais elles semblaient trop nombreuses elles aussi, anormalement pétillantes.
Bon sang, qu'est-ce qu'elle fout? Faudrait songer à remettre de l'ordre dans ton corps ma vieille!
Ah? Un sourire niais...
Cédric je suppose. Bon courage. Je te déclare officiellement amoureuse.
Cordialement, ta conscience.
@Morrigan merci beaucoup !!
J'aime beaucoup ton accroche mais je veux la suite...
la suite la suite la suite
J'aime beaucoup ton accroche mais je veux la suite...
la suite la suite la suite
M
morrigan
Guest
kiwiblue;4905263 a dit :@Morrigan merci beaucoup !!
J'aime beaucoup ton accroche mais je veux la suite...
la suite la suite la suite
Merci à toi!!
La suite je sais pas quand. Je sais même pas sur quel sujet la faire. Si tu as des idées, je suis preneuse..
Ou si d'autres veulent m'aider? Quelles sont les thèmes qu'on peut aborder sur l'amour/le couple?
Confusion matinale des mots.
"Endroit de refuge. Je t'aimerais chaud, orangé, tempéré ; à la saveur des joyaux et guérisseur de mes maux.. Salvateur du vice et hospice de mes peurs.
Enfoui dans les ténèbres sans fin, à la lumière du chemin je te retrouve enfin. Prends-moi les mains, tu es mien, je suis tienne, envole mes peines.
Parfois absent, parfois présent, je te retrouve, je te perds, tu t'égailles, tu t'échappes.
Mon flou, ma clarté, mon obscurité, mon éclaircie.
Joue-moi des tours, je te retrouverai mon amour.
Maintenant, quelque part en moi je sais que tu es là.
Ne t'en va pas.
Pas si vite.
Laisse-moi t'apprivoiser, te découvrir sans encombres, traverser la pénombre et t'adorer.
Te connaître de fond en combles.
Çà et là, je peux me retrouver avec toi.
Ici, je peux être bien.
Là, j'ai besoin de toi."
"Endroit de refuge. Je t'aimerais chaud, orangé, tempéré ; à la saveur des joyaux et guérisseur de mes maux.. Salvateur du vice et hospice de mes peurs.
Enfoui dans les ténèbres sans fin, à la lumière du chemin je te retrouve enfin. Prends-moi les mains, tu es mien, je suis tienne, envole mes peines.
Parfois absent, parfois présent, je te retrouve, je te perds, tu t'égailles, tu t'échappes.
Mon flou, ma clarté, mon obscurité, mon éclaircie.
Joue-moi des tours, je te retrouverai mon amour.
Maintenant, quelque part en moi je sais que tu es là.
Ne t'en va pas.
Pas si vite.
Laisse-moi t'apprivoiser, te découvrir sans encombres, traverser la pénombre et t'adorer.
Te connaître de fond en combles.
Çà et là, je peux me retrouver avec toi.
Ici, je peux être bien.
Là, j'ai besoin de toi."
Dernière édition :
M
morrigan
Guest
@KiwiBlue Voilà une petite suite. Enfin, j'ai choisi de faire plusieurs courtes histoires, toujours en faisant apparaître ma "conscience".
(Je tente les 7 pêchés capitaux. Je pense avoir commencé par le plus dur, l'Orgueil. C'est dégueulasse, c'est moche, m'enfin... Au pire je t'enterais une amélioration plus tard
)
---------------------------------------------
La lune était ronde et pleine. Elle surplombait la vallée, se frayant un chemin parmi les feuillages épais des arbres, les rochers posés ça et là. Son reflet sur la rivière la rendait omniprésente.
Merveilleuse, sûre d'elle, elle semblait tout contrôler. Mère reine veillait sur ce paysage : le moindre mouvement était visible, le moindre fourmillement, la moindre vaguelette.
Pourtant, ce phénomène était rare. Une telle pleine lune n'apparaissait qu'une fois par mois, et encore. Cette supériorité lui revenait donc de droit. Devoir attendre tant de temps pour devenir belle et puissante!
Même plus besoin de se demander pourquoi "la lune" est un nom féminin! Belle, puissante, triomphante, ...
"Eh, oh, c'est pas parce que t'as attendu 17 piges avant d'être en couple que tu dois te comparer à la lune! Petite orgeuilleuse!"
C'est le moment que choisit le soleil pour apparaitre et cacher la lune avec ses gros sabots. Enfin, rayons.
"Te vexe pas, t'en auras d'autres des phases d'orgueil comme ça. Et sans vouloir casser ton délire, la lune est UN satellite. Donc masculin."
Saleté de conscience.
------------------------------------------
@Fiel
J'ai beaucoup aimé ton texte, il exprime très bien ce sentiments si complexe..
(Je tente les 7 pêchés capitaux. Je pense avoir commencé par le plus dur, l'Orgueil. C'est dégueulasse, c'est moche, m'enfin... Au pire je t'enterais une amélioration plus tard
)---------------------------------------------
La lune était ronde et pleine. Elle surplombait la vallée, se frayant un chemin parmi les feuillages épais des arbres, les rochers posés ça et là. Son reflet sur la rivière la rendait omniprésente.
Merveilleuse, sûre d'elle, elle semblait tout contrôler. Mère reine veillait sur ce paysage : le moindre mouvement était visible, le moindre fourmillement, la moindre vaguelette.
Pourtant, ce phénomène était rare. Une telle pleine lune n'apparaissait qu'une fois par mois, et encore. Cette supériorité lui revenait donc de droit. Devoir attendre tant de temps pour devenir belle et puissante!
Même plus besoin de se demander pourquoi "la lune" est un nom féminin! Belle, puissante, triomphante, ...
"Eh, oh, c'est pas parce que t'as attendu 17 piges avant d'être en couple que tu dois te comparer à la lune! Petite orgeuilleuse!"
C'est le moment que choisit le soleil pour apparaitre et cacher la lune avec ses gros sabots. Enfin, rayons.
"Te vexe pas, t'en auras d'autres des phases d'orgueil comme ça. Et sans vouloir casser ton délire, la lune est UN satellite. Donc masculin."
Saleté de conscience.
------------------------------------------
@Fiel
J'ai beaucoup aimé ton texte, il exprime très bien ce sentiments si complexe..
@Morrigan ne te cache pas il est bien ce texte !! j'aime bien cette façon d'exprimer l'orgueil à la fois douce et drôle !
@fiel jolie texte !
@fiel jolie texte !
Ca fait longtemps que je n'ai pas publié un de mes écrits sur Internet (le site sur lequel j'avais mes petites habitudes et mes amis a fermé), c'est non sans une pointe de timidité que je m'y remets, après vos très belles contributions que j'ai pu lire 
Que les corps crient
Et que les cœurs hurlent
Je suis épris de ta folie
C'est ta laideur qui est jolie
Sale comme tu es
L'âme libérée
Dans une danse désarticulée
La valse des fantômes et des morts
Car c'est bien cela ton sort
Le tambour dans ton corps
L'ivresse comme décor
As-tu encore conscience de qui je suis
Toi-même tu n'es plus que ta propre lubie
Mon Iphigénie
Dieu nous aurait-il maudit ?
Toi incomprise beauté
Splendeur désavouée
Moi sur le Styx égaré
Comme une bête désinhibée
S'y noieront mes remords
De t'avoir aimé encore
Plus fort
Le grâce de la nuit
Nous rend aujourd'hui
Nos squelettes fragilisés
Dans l'ombre de l'obscurité
Entre les étoiles sonne le cor
De Roland presque mort
Mais soudain tu ris
Dieu quelle mélodie !
C'est une insulte pour lui
Ton regard face à la vie
Perçant et alerté
Flamboyant de fierté
Viens, je veux t'accompagner
Je ne vois plus que ton immensité
Car je ne fais que t'aimer encore
Plus fort
Que les corps crient
Et que les cœurs hurlent
Je suis épris de ta folie
C'est ta laideur qui est jolie
Sale comme tu es
L'âme libérée
Dans une danse désarticulée
La valse des fantômes et des morts
Car c'est bien cela ton sort
Le tambour dans ton corps
L'ivresse comme décor
As-tu encore conscience de qui je suis
Toi-même tu n'es plus que ta propre lubie
Mon Iphigénie
Dieu nous aurait-il maudit ?
Toi incomprise beauté
Splendeur désavouée
Moi sur le Styx égaré
Comme une bête désinhibée
S'y noieront mes remords
De t'avoir aimé encore
Plus fort
Le grâce de la nuit
Nous rend aujourd'hui
Nos squelettes fragilisés
Dans l'ombre de l'obscurité
Entre les étoiles sonne le cor
De Roland presque mort
Mais soudain tu ris
Dieu quelle mélodie !
C'est une insulte pour lui
Ton regard face à la vie
Perçant et alerté
Flamboyant de fierté
Viens, je veux t'accompagner
Je ne vois plus que ton immensité
Car je ne fais que t'aimer encore
Plus fort
