@selfish @Tamiat
Il m'est difficile de me détacher de gens que je suis obligée de fréquenter, sur qui mon épanouissement professionnel dans ma boite s'est en partie construit (je me sentais malheureuse dans cette boite avant de les rencontrer et je n'ai plus envie de me barrer depuis que je connais le groupe Romain, Julie and co).
Vous êtes plusieurs à m'avoir donné ce conseil ici et si je pouvais le faire, vraiment je n'entendrais plus jamais parler d'eux. Mais c'est pas si facile, ça veut dire que je dois renoncer à d'autres gens que j'apprécie et de toute façon, même si je fais ça, que je tire un trait sur Clémence, Thierry and co, je devrais quand même continuer à voir et entendre parler de Julie et Romain.
C'est comme une histoire familiale, je ne peux pas y échapper tant que je serais dans cette boite.
Quant au fait d'essayer de comprendre, de me poser des questions, de me préoccuper encore de gens qui ont compté, oui, c'est nécessaire pour moi. Peu importe que ce soit des spéculations ou des hypothèses, comme l'a dit mon amie de vacances, refuser d'admettre la possibilité que Romain n'ait jamais eu d'affection pour moi, j'en avais besoin pour passer la première étape et accepter ce qui s'était passé.
J'ai toujours fonctionné comme ça. Quand j'ai quitté le pays de Dan, je me suis convaincue que je retournerais y vivre, c'était ma manière de supporter le départ, passer à autre chose ne se fait pas du jour au lendemain.
Pour ce qui est du message que j'ai posté initialement, ce qui me préoccupait c'était aussi : je me suis réjouis du malheur de quelqu'un. C'est pas moi, c'est pas mes paroles, et je m'en veux pour ça, surtout si justement ce malheur n'a strictement rien à voir avec moi, ça veut dire que quelqu'un va mal et que je pense "dans ta gueule", c'est pas cool.